Le Salon de l'Immobilier Marocain en Europe (Simmeurope) aura lieu à Genève du 25 au 27 Novembre 2011 au Palais des Congrès Palexpo. Cette édition intervient après celles organisées en 2009 à Lyon et à Montpellier où vit une importante communauté d'origine marocaine.
Plus de 90.000 visiteurs avaient visité les Salon de Lyon et de Montpellier à en croire le site Internet de Simmeurope.
“Le choix de Genève s'explique, par son statut de capitale mondiale des affaires. Ajouté à cela Genève est une ville frontalière avec la France où vivent 150.000 MRE dont le niveau de vie a augmenté de 30%. Lors de ce salon, l'ensemble des catégories du haut standing au social seront présentées”, a confié, Abdellatif Essadki directeur de Simmeurope, dans une déclaration à aufait.
Un Salon de proximité
Abdellatif Essadki se dit convaincu que des niches et des marchés à l'international restent à exploiter et c'est la raison pour laquelle les salons qu'organise Simmeurope se veulent d'abord des manifestations de proximité: “Il faut que les promoteurs immobiliers marocains comprennent qu’il y a encore des marchés à exploiter et que la communauté marocaine est en attente d'un salon de proximité. Le marché de immobilier marocain est toujours attractif” affirme t-il.
Un forum à Genève sur l'investissement au Maroc
“Afin d'accompagner l’ouverture du Maroc sur l'international, nous avons pensé à l'organisation, simultanément avec le Salon de l'immobilier, d'un forum sur l'investissement multisectoriel, qui se déroulera du 25 au 27 novembre au Palais des Congre?s de Gene?ve”, explique Abdellatif Essadki.
Ce dernier nous a précisé être sur le point de finaliser une convention de partenariat avec un groupe bancaire helvétique dont il a préféré taire le nom, avant la conclusion finale de ce projet de partenariat.
15/9/2011, Samir Benmalek
Source : Aufait
À la veille de l'interdiction de prier dans les rues, le ministre de l'Intérieur, ministre des Cultes, Claude Guéant, explique pourquoi il n'entend pas céder sur ce point.
LE FIGARO. - La prière dans la rue doit cesser demain. À la veille de cette date butoir, peut-on dresser un état des lieux de cette pratique en France ?
Claude GUÉANT . - Trois villes sont touchées par ce phénomène. Outre Paris, où plus d'un millier de personnes occupent les rues Myrha et Polonceau, lors de l'office du vendredi, le problème persiste à Marseille autour de deux mosquées et à Nice où la tentation d'occuper l'espace public existe encore en dépit de l'organisation de transport des fidèles en autocar vers une autre mosquée. Ma vigilance sera sans faille pour que la loi soit appliquée. Prier dans la rue n'est pas digne d'une pratique religieuse et contrevient au principe de laïcité.
Au cas où ces fidèles n'observent pas cette interdiction, aurez-vous recours à la force publique ?
J'ai voulu que cette affaire soit conduite dans la concertation plutôt que par le recours à la force publique. Dès ma prise de fonctions, j'ai indiqué que la prière dans la rue devait cesser car elle heurte la sensibilité de nombre de nos compatriotes, choqués par l'occupation de l'espace public par une pratique religieuse. Cela n'est pas conforme au principe de laïcité qui nous régit. Tous les responsables du culte musulman en sont d'ailleurs convaincus.
Le dossier le plus sensible est celui du quartier de la Goutte d'Or, à Paris. Avez-vous enfin trouvé un accord avec les associations cultuelles ?
Tout à fait, une convention a été signée mercredi soir. Au terme de plusieurs semaines de négociations, nous avons trouvé une solution pour que les fidèles qui priaient rues Myrha et Polonceau pratiquent désormais leur culte dans des locaux disponibles et situés à proximité. Ils offrent une surface de 2000 m². Les responsables du culte musulman et ceux des deux mosquées de la Goutte d'Or, qui se sont constitués en association cultuelle, ont convenu qu'ils pouvaient pratiquer leur religion sur ce site qui appartient à l'État. Ce dernier sera loué 30.000 euros par an, selon le prix fixé par l'administration, pour un bail de trois ans qui s'achèvera en 2014. Les fidèles n'auront plus intérêt à prier dans la rue, car il n'y aura plus de culte à l'intérieur des mosquées du quartier pendant les premières semaines.
Et si certains persistent à pratiquer dans la rue le vendredi ?
Je le répète, j'avais dit que la pratique des prières dans la rue devait cesser et elle cessera à la date prévue. Nous pourrions aller jusqu'à l'emploi de la force si nécessaire, mais c'est une hypothèse que j'écarte car le dialogue qui a été conduit porte ses fruits. Le service de la grande prière de vendredi aura donc lieu dans les locaux de l'ancienne caserne et nulle part ailleurs. Cette affaire est résolue.
Mais l'interdiction est-elle vraiment applicable, compte tenu du grand nombre de manifestations et processions religieuses de toute confession ?
Il y a un droit à l'expression publique de la religion en France. Toute manifestation sur la voie publique doit faire l'objet d'une déclaration préalable et peut être interdite si elle est susceptible de porter atteinte à l'ordre public. En revanche, les manifestations de caractère traditionnel sont reconnues par la jurisprudence administrative comme ayant un droit à perdurer. Mais là, nous avons un problème supplémentaire à traiter, qui est celui de l'interprétation que certains se font du principe de laïcité. J'ai observé dans les mois qui se sont écoulés que deux personnalités socialistes avaient pris position sur le sujet. Le maire de Nantes, Jean-Marc Ayrault, qui n'est autre que le président du groupe PS à l'Assemblée nationale, avait failli interdire dans sa ville un rassemblement œcuménique à l'occasion de Pâques pourtant traditionnel organisé par diverses églises chrétiennes. Le maire socialiste du XVIIIe arrondissement de Paris, Daniel Vaillant, a, quant à lui, déclaré que les prières de rue ne le dérangeaient pas. Je suis certain que cela dérange beaucoup de nos compatriotes. Ils n'ont rien contre telle ou telle religion, mais que l'espace public soit ainsi approprié n'est pas conforme au principe de laïcité auquel ils sont très attachés.
Croyez-vous qu'il y ait assez de mosquées en France ?
Ce n'est pas à moi de répondre à cette question, mais plutôt aux musulmans de France et notamment le Conseil français du culte musulman (CFCM). J'observe, pour ma part, que la France compte 2 000 mosquées et salles de prière. En dix ans, il s'en est créé un millier. Et nous avons connaissance aujourd'hui d'à peu près 200 projets. J'ajoute d'ailleurs qu'il y a un projet dans le XVIIIe arrondissement de Paris. Ce qui fait que la solution conclue aujourd'hui ne sera que transitoire.
Mais l'État doit-il inciter, favoriser ou ignorer la création de lieux de culte ?
La loi est claire : l'État ne peut apporter de contribution à la construction de mosquées ou d'églises, pas plus que les collectivités locales. Ce sont des affaires du culte, donc des fidèles. Il n'y a pas de contribution publique à la réalisation d'un édifice du culte.
Vous vous posez en garant de la cohésion nationale. Craignez-vous une montée du communautarisme ?
Si je plaide vigoureusement et sans relâche pour l'unité nationale, c'est que je crains que, si nous ne faisons pas ce qu'il faut, il y ait une montée des communautarismes. Et cela, je le redouterais beaucoup pour mon pays. D'ailleurs, j'observe que dans nombre de pays ce refus des communautarismes est en train de s'imposer. Il est important que notre pays reste un pays très unitaire, complètement attaché et fidèle à un certain nombre de valeurs et de principes, à une façon de vivre. C'est la raison pour laquelle, j'agis pour maîtriser les flux migratoires et pour favoriser une meilleure intégration des étrangers que nous accueillons en France.
Le ministre s'inquiète d'un risque de repli communautaire
Claude Guéant le dit au Figaro concernant les étrangers voulant intégrer la communauté nationale : «Je compte être plus exigeant sur leur connaissance de la langue française.»
Le ministre de l'Intérieur ajoute : «Les personnes qui arrivent chez nous sans un minimum de maîtrise de notre langue risquent la marginalisation au sein de la société. Celle-ci peut conduire à l'isolement d'une communauté. Ce qui est inquiétant, car les personnes qui y vivent sont bien souvent à l'écart de la communauté nationale.» Selon lui, «leurs enfants, malheureusement, ont des difficultés à s'intégrer, parce qu'ils vivent dans une autre culture, bien qu'ils aillent à l'école.» Le ministre conclut par cette mise en garde : «Il est essentiel que la France demeure un pays uni. C'est, je crois, le vœu profond de nos compatriotes.»
Les motifs des refus
Claude Guéant veut visiblement éviter que se constituent des sortes de ghettos communautaires. «C'est le sens de son action» , dit-on dans son entourage. Mais l'hôte de Beauvau n'a pas souhaité désigner ces zones de repli identitaire, soucieux de ne pas stigmatiser tel ou tel quartier, telle ou telle communauté.
La loi du 16 juin 2011 relative à l'immigration, à l'intégration et à la nationalité est censée garantir une politique plus rigoureuse en matière d'immigration. Sans attendre, le 24 août dernier, le ministre de l'Intérieur a adressé à ses préfets une première circulaire «relative au contrôle de la condition d'assimilation dans les procédures d'acquisition de la nationalité française».
«Assimilation» : le mot avait disparu du vocabulaire politique depuis les années Pasqua. «Il signifie simplement que les demandeurs étrangers doivent se fondre dans le creuset républicain», explique un préfet.
La circulaire Guéant expose les motifs de refus de nationalité par les préfectures : le manque de «loyalisme» vis-à-vis du fisc, des organismes sociaux, la fraude répétée, en somme, mais aussi le prosélytisme contraire aux valeurs de la République, la polygamie, la violence et l'attitude discriminatoire envers les femmes.
L'évaluation de la maîtrise de la langue fera bientôt l'objet d'un décret. Mais, d'ores et déjà, il est acquis que celui qui veut devenir français devra avoir «un niveau équivalent à celui de la fin de scolarité obligatoire», prévient le ministre. En clair : celui d'un Français de 16 ans.
14/9/2011, Jean-Marc Leclerc, Christophe Cornevin, Arnauld Dingreville
Source : Le Figaro
Le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, veut augmenter le nombre de retours aidés des sans-papiers dans leur pays afin de parvenir à son objectif de 30.000 reconduites à la frontière
Le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, veut augmenter le nombre de retours aidés des sans-papiers dans leur pays afin de parvenir à son objectif de...
Le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, veut augmenter le nombre de retours aidés des sans-papiers dans leur pays afin de parvenir à son objectif de 30.000 reconduites à la frontière, selon une note obtenue par France Terre d'Asile (FTA) consultée mardi par l'AFP.
"Vous veillerez, les prochains mois de l'année 2011, à ce que ce dispositif soit mieux utilisé afin d'atteindre le nouvel objectif de 30.000 mesures d'éloignement", écrit M. Guéant au directeur général de l'Office français de l'immigration et de l'intégration (OFII).
"Je souhaite que du 10 octobre au 10 novembre des démarches systématiques de proposition des aides au retour aux personnes déboutées du droit d'asile soient mises en oeuvre dans chaque CADA (centre d'accueil des demandeurs d'asile) sur le territoire national", ajoute le ministre dans ce document daté du 1er septembre.
Selon lui, "les aides au retour sont un facteur décisif de réussite de la politique d'éloignements, en ce qu'elles permettent de mettre en oeuvre des retours volontaires".
M. Guéant demande à l'OFII de rendre compte "régulièrement" de "l'effet de ce plan sur l'augmentation du nombre de retours aidés".
Les aides au retour ont été instaurées en 2007 par Nicolas Sarkozy lorsqu'il était ministre de l'Intérieur.
Le dispositif comprend l'Aide au Retour humanitaire (ARH) accordée aux Roms (billet de transport, 300 euros par adulte et 100 euros par enfant mineur), l'Aide au Retour volontaire (ARV) accordée aux étrangers hors UE (billet de transport, 3.500 euros pour un couple marié, 2.000 euros pour un adulte seul, 1.000 euros par enfant mineur jusqu'au troisième et 500 euros pour les enfants mineurs suivants) et l'aide à l'insertion (AI, jusqu'a 7.000 euros pour la création d'une activité économique).
Alors qu'en début d'année, l'objectif fixé par son prédécesseur Brice Hortefeux était de 28.000 reconduites à la frontière, M. Guéant a décidé de le porter à 30.000, ce qui serait, selon lui, le "meilleur résultat historiquement enregistré" par la France.
13.09.2011 , Patrick Kovarik
Source : Public Sénat/AFP
Jusqu’à 1500 mineurs non accompagnés arrivent en Suisse chaque année. Joël Konan propose des pistes pour faciliter leur intégration
Joël Konan est quotidiennement confronté au problème au sein de l’internat pour adolescents garçons Home-Chez-Nous, au Mont-sur-Lausanne. C’est donc naturellement que cet éducateur a choisi l’intégration des mineurs étrangers non accompagnés (MNA) – des jeunes migrants en provenance essentiellement d’Afrique et d’ex-Yougoslavie – comme sujet de mémoire de fin d’études. Son travail vient de sortir sous la forme d’un livre. «J’ai été confronté à la réalité de leur accueil, sans que l’équipe n’y soit préparée. J’ai voulu faire connaître ce sujet et donner des pistes de réflexion, notamment pour mieux déceler les problèmes des jeunes.» Ainsi, aider le jeune migrant à récapituler son histoire s’avère primordial.
Les différences de valeurs entre la personne migrante et les autochtones sont aussi souvent sources d’incompréhension et de conflits. «En Afrique, détourner les yeux face à un adulte est un signe de respect, alors qu’en Suisse, cette attitude sera mal perçue», donne en exemple l’Ivoirien d’origine. En prolongement de son ouvrage, il prévoit de publier un manuel à l’intention des professionnels, pour rapprocher les diverses cultures.
Le problème de l’incompréhension est particulièrement sensible en Suisse, troisième pays accueillant le plus de MNA en Europe. Ces jeunes migrants sont souvent poussés à l’exode par les guerres ou la pauvreté. «La migration rend la période de l’adolescence plus difficile pour ces jeunes isolés, constate l’éducateur. Un sentiment d’injustice, d’incompréhension ou de haine peut provoquer un comportement agressif, voire violent.»
Déstabilisés, ces migrants subissent encore des pressions importantes. Beaucoup tentent leur chance en Suisse pour avoir une bonne formation et pouvoir aider financièrement les leurs. «Si ces «mandatés» n’accomplissent pas leur mission, ils se sentent responsables du malheur de la famille. En cas d’échec, leur souffrance peut les mener jusqu’au suicide.» Face à cette situation, les accompagnants donnent à cette population déracinée une forme d’éducation pour mieux se comporter et vivre dans le respect de l’autre. «Un jeune m’a beaucoup touché en déclarant qu’il avait découvert les Européens autrement que l’image véhiculée chez lui et qu’il nous considérait comme sa famille.»
Mineurs étrangers, leur laborieuse intégration de Joël Konan. Editions Bénévent, 2011.
13/9/2011
Source : 24 Heures
Le plan de lutte contre la délinquance roumaine pourrait être contesté devant les institutions européennes. La France fait déjà face à trois procédures et a été condamnée deux fois.
Le plan de lutte contre la délinquance roumaine qui prévoit la possibilité d'expulser des jeunes roumains et de les remettre aux autorités de protection de l'enfance roumaine pourrait conduire à l'ouverture de nouvelles procédures européennes contre la France. La Convention internationale des droits de l'enfant comme le droit français stipulent, en effet, qu'un mineur doit être protégé et en peut être reconduit à la frontière ou renvoyé dans son pays d'origine. L'association "Hors la Rue", de soutien aux mineurs étrangers en difficulté, rappelle ainsi qu'un accord entre la France et la Roumanie de rapatriement des mineurs "avait été censuré par le conseil constitutionnel le 4 novembre 2010".
Si le ministre de l'Intérieur mettait sa menace à exécution, il risquerait donc d'avoir à affronter une plainte déposée par des associations devant le Comité européen des Droits Sociaux qui a déjà lancé trois procédures contre la France. La première procédure, déposée par le Centre sur les droits au logement et les expulsions (COHRE) date du 15 novembre 2010. Elle porte sur d'éventuelles discriminations contre les Roms. La décision sur le bien fondé de cette plainte devrait être disponible cet automne.
La deuxième procédure a été lancée par le Forum Européen des Roms et des Gens du Voyage le 28 janvier 2011. Cette association estime que la France contreviendrait à la Charte sociale européenne en procédant à des expulsions massives et forcées de Roms depuis 2007.
La troisième réclamation en cours contre la France a été présentée par Médecins du Monde International le 19 avril 2011. L'organisation plaignante estime que les politiques publiques menées en France conduiraient à une "discrimination indirecte" envers la communauté Rom. Ce qui contrevient à l'article E de la Charte Sociale Européenne.
Si la France devait être condamnée dans ces trois dossiers, ces décisions feraient suite à deux sanctions déjà prononcées contre la France sur les mêmes dossiers concernant les roms et gens du voyage en 2007 et 2009. Dans les deux cas, le Comité européen des Droits Sociaux considère, encore, que la France ne s'est pas mise en conformité avec les décisions européennes en particulier en ne traitant pas les Roms comme les autres
13/9/2011, Laurent Chabrun
Source : L’Express.fr
Dans le cadre du projet Network Migration in Europe et en partenariat avec l'association Génériques, l'université franco-germano-turque "Migrations et Musées : Education (inter-)culturelle et diversité culturelle" se tiendra à Paris du 15 au 22 septembre.
Cette université d’été offre l'opportunité aux étudiants avancés en Sciences Sociales, Histoire, Sciences de la Culture, Muséologie et Etudes des Migrations d'approfondir leurs connaissances, de rencontrer des professionnels et d'approcher au plus près la manière dont les musées mettent en scène la diversité culturelle. Ils découvriront ainsi le rôle de la muséologie dans l’éducation interculturelle et la manière dont les musées abordent les questions de migrations et de diversité.
Au cours de cette université, les quinze étudiants sélectionnés bénéficieront de plusieurs séminaires portant sur les pratiques et usages en matière de patrimonialisation de l’histoire de l’immigration en France. Ils iront à la rencontre des responsables et conservateurs de plusieurs institutions emblématiques, pionnières sur cette question : le carré musulman du cimetière intercommunal de Bobigny, la Cité Nationale de l'Histoire de l'Immigration (CNHI), l'Institut du Monde Arabe et au Quai Branly.
Cette université d’été est conçue pour favoriser l’échange et la réflexion portant sur les pratiques muséographiques portant sur les migrations en Europe, son volet parisien étant enrichi pour une démarche similaire à Cologne (septembre 2011) et à Istanbul (novembre 2011).
13/9/2011
Source : Générique
Les migrants, acteurs et partenaires du développement. C’est le thème de la prochaine rencontre internationale organisée par le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME), les 17 et 18 courants à Saïdia. Première du genre, la manifestation réunira une centaine d’ONG et associations de développement issues des migrations marocaines, avec le concours de l'Agence de l'Oriental et de plusieurs associations de migrants marocains. Objectif, établir un état des lieux des actions de développement des ONG de migrants. Pour les organisateurs c’est également l’occasion d'examiner les politiques publiques en matière de migration et développement et de faire des propositions, le cas échéant, aux décideurs politiques, aux acteurs de la société civile et aux collectivités locales dans «le but d'un renforcement des liens entre politiques migratoires et développement». Durant ces deux jours, le débat s’articulera essentiellement autour de la problématique liée aux politiques publiques internationales en matière de migration et développement, ainsi que les apports et limites et la coopération décentralisée. La question des migrants marocains acteurs de développement sera également discutée tant sur le plan économique, social que politique.
14/9/2011
Source : Les Echos
LA Moroko Loko s'exporte sous d'autres cieux. Après avoir conquis le paysage musical underground au Maroc, 5 DJs de la Moroko Loko se produisent à Paris, le 17 septembre, lors de la Techno Parade. Au menu, Amine K, Unes, Driss Skalli, Amnaye ou encore You Shtak. Autant de DJs qui auront la «lourde» tâche de représenter le Royaume…Suite