vendredi 6 septembre 2024 20:20

Le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME) a reçu, mardi à Rabat, une délégation ivoirienne composée de plusieurs départements ministériels pour une séance de travail en vue d'échanger avec le Conseil sur les questions de gestion de la migration et sur le travail accompli en la matière.

Au moins 2.000 migrants, dont des femmes et des enfants, sont pris au piège depuis 40 jours sur des embarcations au large de la Birmanie, a déploré mardi le Haut commissariat pour les réfugiés des Nations Unies.

 La "boîte à outils" proposée par Bruxelles face aux tragédies humaines en Méditerranée prévoit des mesures à court et moyen terme, pour répartir au mieux les demandeurs d'asile entre les différents pays de l'Union européenne.

Le ministre délégué à l'Intérieur, M. Cherki Drais, a exposé mardi à Lisbonne, la stratégie marocaine en matière de gestion des flux migratoires et de lutte contre le terrorisme et le crime organisé.

L’Europe défend, dans son discours, des valeurs universelles qui ne sont, le plus souvent, que des paroles creuses.

Le gouvernement libyen reconnu par la Communauté internationale a déclaré lundi qu’il rejettera l’opération maritime que l’Union européenne compter mener pour prévenir la migration illégale si elle n’est pas concertée avec lui.

Des centres d’accueil de candidats au départ vont voir le jour au Sahel, dont un pionnier à Agadez (Niger). Un premier pas pour dissuader certains de tenter l’aventure.

Le Salon a l’ambition de faire découvrir toutes les opportunités et les services offerts aux nouveaux arrivants avec plus de 180 professionnels pour conseiller et orienter dans les domaines de la recherche d’emploi, la formation, l’entrepreneuriat, le réseautage, l’installation, le logement, l’immigration, la vie quotidienne, etc.

La justice allemande a annoncé lundi avoir ouvert une enquête pour des maltraitances présumées infligées à des réfugiés par un policier de Hanovre (nord), après des révélations qui ont provoqué l'indignation.

L'Union européenne a mis sur pied lundi une opération navale sans précédent pour combattre les trafiquants qui "font mourir" des migrants en Méditerranée en les obligeant à des traversées vers l'Europe au péril de leur vie.

Le gouvernement libyen reconnu par la communauté internationale a rejeté lundi toute action militaire contre l'immigration clandestine, après le feu vert de l'Union européenne à une opération navale sans précédent notamment au large de la Libye pour combattre les passeurs de migrants.

Un bateau charge de migrants voguant en mer d'Andaman n'a pas donné de nouvelles depuis deux jours, s'inquiètent lundi des organisations humanitaires qui craignent pour le sort des plus de 300 personnes à bord.

Le ministre espagnol des Affaires étrangères et de la coopération, José Manuel Garcia Margallo, a appelé, lundi, la Commission européenne (CE) à revoir sa proposition d'instaurer des quotas pour répartir les demandeurs d'asile et les réfugiés au sein de l'Union européenne (UE), en l'invitant à tenir en compte le taux de chômage enregistré dans en Espagne et l'effort déployé par ses autorités pour contrôler l'immigration illégale.

La suspension par les Pays-Bas de l'annulation, pour une durée de cinq semaines, de la Convention de sécurité sociale de 1972 avec le Maroc est "un bon signe à même de permettre aux deux parties de négocier sur une base solide les différents aspects de cette question", a estimé, lundi à Rabat, le président du Centre euro-méditerranéen pour la migration et le développement (EMCEMO), Abdou Lamnabhi.

Les Pays-Bas ont décidé, au début de ce mois, de surseoir à la dénonciation de l'accord maroco-hollandais sur la sécurité sociale signé en 1972 afin de permettre aux deux parties d'engager des négociations «sérieuses» et «substantielles» pour parvenir à «un accord qui préserve les intérêts  des deux pays». 

Pour Serge Slama, maître de conférences en droit public à l’université de Nanterre, le Premier ministre défend sur les migrants une position «assez hypocrite»…Suite

La France est officiellement opposée à l’instauration de « quotas de migrants » au niveau européen, mais plaide pour une répartition « plus équitable » des réfugiés dans l’Union. C’est la position défendue par le premier ministre, Manuel Valls, samedi 16 mai, à deux jours de la reprise au Sénat de la discussion sur la loi asile.

A l'heure où un nombre grandissant de Français rejoint les terres du djihad, l'islamologue Rachid Benzine explicite les racines sociales du phénomène. Et les dangers du salafisme radical actuel.

Afin de « prévenir les flux de migrations irrégulières », il est demandé aux pays de transit comme la Tunisie, l’Égypte, le Soudan, le Mali et le Niger de mieux contrôler les routes migratoires terrestres et maritimes. Des « officiers de liaison » européens spécialisés dans les questions migratoires seront envoyés dans ces pays pour « rassembler des informations ». Les expulsions seront facilitées, les financements dédiés au co-développement étant mis à contribution pour « promouvoir les réadmissions de migrants économiques en situation irrégulière ». Dans les pays de l’UE en première ligne (Italie, Grèce, Espagne, Malte), un nouveau programme de « retour rapide » de personnes identifiées comme n’étant pas des demandeurs d’asile sera mis en place et coordonné parFrontex.

La publication de l'agenda de la Commission sur la migration intervient dans un contexte difficile. Humainement, tout d'abord, en raison des drames récurrents et insupportables survenant en Méditerranée et auquel une réponse rapide doit être apportée. Politiquement, ensuite, compte tenu d'un contexte économique - la crise - et électoral - la montée des partis d'extrême droite et anti-européens - qui rend difficile toute discussion et action dans ce domaine.

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