samedi 28 décembre 2024 06:13

Après la fermeture de l'usine Renault à Billancourt en 1992, quelques anciens travailleurs de l'Ile Seguin se réunissaient de manière tout à fait informelle. L'objectif était double : garder un lien entre eux, par solidarité, mais aussi pour surmonter le traumatisme lié à la fermeture.


 

Nous sommes des parents, des travailleurs sociaux et des chercheurs issus ou non de l'immigration marocaine. Nous avons constaté que, d'une part il y a une forte demande d'apprentissage de la langue arabe et que d'autre part chez les jeunes issus de l'immigration marocaine  la demande de transmission des valeurs est très forte, signifiant ainsi leurs besoins de repères fondamentaux pour se construire et définir leur identité. Nous avons en commun la conviction que ces enfants, ces jeunes, pour devenir des citoyens responsables, entreprenants et utiles à leur pays, doivent non seulement maîtriser parfaitement la culture française mais également la culture du pays d'origine de leurs parents ou grands-parents.


Des cours d'arabe sont proposés actuellement  d'une part, dans le cadre du programme Langues Culture Origine (LCO) mais dispensés principalement  dans les écoles des quartiers sensibles ; avec un temps imparti aux LCO d'une heure seulement par semaine donc trop léger pour un programme aussi ambitieux. Et d'autre part, la langue arabe est aussi  enseignée dans le cadre des associations religieuses et dans les mosquées donc réservée aux musulmans.

En ouvrant l'apprentissage de l'arabe hors du contexte religieux, nous pouvons accueillir les enfants de toutes origines, de tous milieux sociaux et ainsi créer un espace de mixité sociale, de tolérance, d'ouverture culturelle et religieuse.

Il nous paraît aussi important d'isoler notre initiative de toutes lectures politiques et religieuses, privilégiant ainsi une approche culturelle ouverte, valorisant l'apprentissage d'une langue et d'une civilisation qui souffrent d'un regard stigmatisant. Nous souhaitons nous situer dans une posture favorisant une pédagogie des regards croisés.


En outre, une bonne connaissance de la langue et la civilisation arabe pour la jeunesse de demain. Contribuera à abattre les murs de l'incompréhension dont les fondations sont l'ignorance et la peur de l'inconnu.

Pour ce faire, nous avons donc constitué une association que nous avons dénommée « la maison d'Averroès ».

L'association a juste un an d'existence et déjà deux cours se déroulant à Dreux et accueillant des enfants marocains en majorité, mais aussi des enfants d'origines, de milieu social et de religions différentes aussi bien français de souche qu'issus de l'immigration ou de mariages mixtes.


Notre souhait est  que cette initiative puisse être exportée sur d'autres villes, voire d'autres pays. Actuellement, nous avons été approchés, lors du colloque organisé par le CCME, pour des projets similaires en France, aux Pays Bas et au Canada.



Naïma M'Faddel

Présidente

Directrice centres socioculturels

Sociologie appliquée à l'action sociale


Rachid Benzine

Vice-président

Universitaire, écrivain

Spécialiste de l'Islam


Secrétaire : Olivier Roy

Directeur de recherche au CNR, écrivain

Politologue - spécialiste de l'islam


Secrétaire adjoint : Hafid Ntidam

Chirurgien


Trésorier : Eugène Henri Moré

Consultant politique de la Ville


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La contribution économique de « la » MRE : cas du Royaume Uni


Comme l'a dit Margaret Thatcher
"If you want something said, ask a man; if you want something done, ask a woman. "
"Si vous voulez que quelque chose soit dite, demandez a un homme , Si vous voulez que quelque chose soit faite, demandez a une femme ».


Donc l'objet de l'intervention sera d'essayer de dire :

  • en quoi la migration des femmes marocaines vers le Royaume Uni est différente par rapport aux autres pays Européens
  • que sa contribution économique et financière est plus importante lorsque l'environnement politique, social et économique dans lequel elle évolue lui est plus favorable
  • un certain nombre de recommandations pour développer un lien différent qui ne se base plus seulement sur les transferts mais sur d'autres types d'investissements économiques et sociaux au Maroc.


Il existe très peu de statistiques et de recherche sur la migration féminine marocaine au RU. De ce fait nous avons base notre approche sur notre expérience et sur des données empiriques recueillies a travers plusieurs interviews de femmes marocaines établies au RU.


Brève histoire de l'immigration au RU

  • Historiquement et a la différence d'autres pays européens les femmes ont depuis le départ été plus nombreuses que les hommes dans la population immigrée en Angleterre.
  • la 1ere vague d'immigration a lieu au début des années 60 et concerne surtout des femmes sous contrat de 2 ans avec attribution d'un permis de travail et destinées a travailler dans le secteur agricole (cueillette de fruits et légumes) et en provenance essentiellement des régions de Berkane et Meknès.
  • la 2eme vague a lieu vers le milieu des années 60 avec des contrats de travail offerts dans le Nord du Maroc, particulièrement la région des Jbala (Khmiss Sahel, Beni Gharfet, Beni Arouss), Larache, Asilah ,Tetouan et Tanger et aussi une petite communauté de Meknes et Oujda. Ce mouvement a concerne plus les femmes, pour des emplois dans les secteurs de l'hôtellerie et les hôpitaux tout particulièrement.
  • Nous ne pouvons pas passer sous silence une petite vague d'immigration représentant plusieurs centaines de femmes recrutées comme call girls principalement a Casablanca et El Jadida a partir de 1977 et jusqu'à la mise en place du visa par l'Angleterre vers 1987. Ce mouvement correspondait au boom suivant les chocs pétroliers de 1973 et surtout celui de 1979 et a la volonté du Royaume Uni d'attirer les investisseurs des pays arabes du Golfe.


Type de migration et place de la femme immigrée dans la société Britannique :

  • la plupart des femmes migrant vers le RU venaient en tant que célibataires à la différence d'autres pays européens ou les femmes émigrent avec leur mari ou le rejoignent. Dans ce dernier cas la tendance est à la reproduction au sein de la famille des relations calquées sur les pratiques du pays d'origine. Même lorsque ces femmes travaillent elles sont souvent le seul soutien économique de la famille, le mari étant fréquemment au chômage, et de ce fait leur contribution économique au pays d'origine est moindre.
  • Par contre les femmes MRE en Grande Bretagne sont le plus souvent arrivées seules. Certaines sont restées seules ou se sont mariées à des non marocains. D'autres sont à l'origine du regroupement familial en ouvrant au mari, résidant au Maroc, la voie de l'immigration.


De ce fait la femme jouit d'une position plus favorable, sur le plan décisionnel et au niveau de son autonomie. Elle est plus actrice du changement et de l'intégration.

  • Le fait que la société britannique soit plus tolérante, plus cosmopolite , plus riche culturellement et surtout avec une dualité britannique-non britannique beaucoup moins prononcée que d'autres pays européens , va rendre plus facile l'ascension de la femme marocaine.
  • la catégorie socio-professionnelle de la femme marocaine au RU a énormément évolué de génération en génération : rarement simple femme au foyer elle était le plus souvent et dés le départ une employée venue avec un permis de travail.


Etant très ambitieuse pour l'éducation des ses enfants, elle assure aussi la continuité culturelle et un enracinement de l'identité marocaine.


De ce fait une partie non négligeable des marocaines de la 2eme génération occupent des positions de cadre dans divers secteurs (banques, cabinets d'avocat, entreprises multinationales, enseignement supérieur, organisations non gouvernementales, etc......).

Dans plusieurs pays européens, exemple de l'Allemagne et de la France, le secteur public, en particulier les services sociaux et hospitaliers sont fermés aux immigré(e)s ne disposant pas de la nationalité du pays d'accueil, mais ce n'est pas le cas au Royaume-Uni. De ce fait les femmes immigrées ne se concentrent pas dans le secteur domestique informel, et bénéficient d'une plus grande protection légale sur le marché du travail.

Les marocaines du RU sont représentées dans le commerce, les activités immobilières et financières, dans le secteur public, dans l'éducation, la santé et les services sociaux.


Investissement et attachement au pays :

La femme semble plus attachée que l'homme à sa patrie d'origine par le lien familial, culturel et économique (achat de la maison ou de terrain, affaire personnelle, ...).

A titre d'exemple la plupart des maisons de Larache ont été construites après la fin des années 60. Ces maisons, pour la plupart a 3 niveaux dont 1 a 2 réservés a la location, étaient finances en plus grande partie par la femme .Cet investissement au Maroc se faisait au détriment de leur qualité de vie au RU car la plupart louaient des logements sociaux au lieu d'acheter leur logement dans le pays d'accueil.

Concernant la 3eme génération un rapport datant de 1997 de la North Westminster Community School, ou est concentrée un nombre important d'élèves d'origine marocaine souligne que les filles marocaines réussissent beaucoup mieux aussi bien par rapport aux garçons marocains qu'aux aux autres groupes ethniques.


Le cas des marocaines diplômées venues récemment de France pour travailler en Angleterre :

  • mouvement qui a démarré vers le milieu des années 90 .Face a la discrimination a l'embauche et dans le travail a l'encontre des élites d'origine maghrébine en France, plus d'un millier de marocains, dont plus du quart sont des femmes , ont choisi de venir vivre et travailler au Royaume Uni.
  • Il existe un décalage sensible entre les 2 pays du fait que les candidats a un poste ne sont pas juges sur leur couleur de peau, leur patronyme ou leur adresse en banlieue, mais sur leur compétence et leur rigueur avec une spécificité des marocains qui ont au niveau de la City bancaire une réputation de matheux.


La plupart de ces femmes ont une formation d'école d'ingénieur ou d'école de commerce et beaucoup d'entre elles s'occupent de vente dans les salles de marché et certaines se spécialisent dans les modèles mathématiques prisés par les banques d'affaire.

  • Londres est la capitale financière Européenne et l'incitation financière est importante du fait que les salaires + bonus avec moins de 5 ans d'expérience peuvent atteindre facilement 250.000 £ en moyenne par an avec des pointes pouvant atteindre et même dépasser 1 M £.
  • un phénomène intéressant est qu'avec la crise actuelle certaines d'entre elles ont du quitter Londres pour aller travailler dans diverses institutions financières situées dans les pays du Golfe, en particulier Dubaï, Bahreïn et Abu Dhabi. Nous ne pouvons que mettre en évidence le rôle de ces femmes marocaines pour changer l'image de la femme marocaine dans les pays du Golfe.
  • la défense des droits de la femme au RU peut être mise en évidence par la compensation de 10 millions de livres sterling (plus de 12 millions €) obtenue il y a quelques semaines par les deux sœurs jumelles marocaines qui poursuivaient leur ex-employeur, le courtier TSAF à Londres, pour discrimination religieuse, raciale et sexuelle.

Ce niveau de compensation n'est pas pensable dans d'autres pays européens.


MRE en Grande Bretagne et Transferts d'argent

  • le nombre de MRE au RU s'élève à prés de 60.000 personnes disposant à prés de 70% de la nationalité britannique et concentrée pour la plus grande partie dans la région de Londres. Prés de 65 % de ces MRE sont des femmes.
  • les transferts MRE en provenance du RU représentent à fin 2007 prés de 2,5 milliard dh, soit prés de 4 % de l'ensemble des transferts MRE vers le Maroc. A signaler que ces transferts dépassent ceux de l'Allemagne qui dispose d'une population MRE bien supérieure.
  • Selon le Bureau de la Banque Populaire qui a ouvert au consulat en 1980, mais qui était présent de manière indirecte en Angleterre bien avant, des le départ  la majorité de la clientèle était des femmes et cette tendance ne s'est jamais démentie depuis.
  • D'après notre expérience depuis 1997 et le recoupement avec celles des responsables des autres banques marocaines établies au RU nous pouvons avancer sans gros risque de se tromper que « la » MRE représente  entre prés de 65 % des comptes et des transferts d'argent vers le Maroc (soit prés de 1,5 milliards de dirhams à fin 2007 à partir du seul RU).


Conclusions et recommandations

  • Egalité hommes-femmes: Le Maroc classé 125e

Selon le dernier classement mondial sur l'inégalité homme-femme, publié jeudi 8 novembre 2008 par le World Economic Forum, organisateur du forum de Davos (Suisse), Le RU a régressé de 2 places et est classé 11eme mais a toujours fait partie des 10 premiers pendant très longtemps.

La France a fait le plus important bond, soit 36 places, pour se classer 13eme contre 51eme l'année dernière grâce a une amélioration concernant l'égalité des salaires, et le % des femmes législateurs, haut fonctionnaires, responsables d'entreprises, parlementaires et ministres.

le Maroc figure a la 125eme sur 130 pays, avec le Yémen et l'Arabie Saoudite qui ferment la marche.

La question qui se pose est de savoir comment la femme marocaine au RU ou dans d'autres pays européens pourrait aider à changer le classement catastrophique de notre pays. Les représentantes du CCME ainsi que les femmes d'origine marocaine qui occupent des postes de responsabilité dans le secteur public et prive ont une expérience très riche en enseignements qui doit être prise en considération pour toute stratégie de développement de la société du Maroc.

  • La contribution financière des femmes MRE va elle continuer indéfiniment ? rien n'est moins sur.

Les femmes de la 3eme génération ne compte pas rentrer définitivement au Maroc, en raison de plusieurs décalages (barrière de la langue anglaise qui est encore peu parlée au Maroc par rapport au français, droits de la femme, travail, environnement socio- culturel, mentalités....).

Elles vont effectuer moins de transferts de solidarité vers l'arrière grand mère ou la famille éloignée. Comme le montre le cas du Mexique elles seront attires par des investissements ciblés.

  • une des priorités des représentants du CCME et du ministère est de faire du brain storming pour mettre en évidence les opportunités d'investissement qui sont offertes au Maroc et comment les packager pour les offrir a la communauté a l'étranger.
  • on a besoin au niveau du Royaume Uni d'une structure pour orienter et faciliter les procédures administratives de l'investissement au Maroc. A signaler que la Tunisie dispose au Royaume Uni d'une telle structure. Cette structure devrait donner une importance particulière a l'investissement immobilier car en donnant un large choix, en facilitant les procédures administratives et s'occupant de la location éventuelle des biens immobiliers achetés, car beaucoup de ces logements seront des résidences secondaires achetés par les 3eme générations et suivantes dans le « pays des parents »Conclusions et recommandations
  • encouragement a la création au Maroc d'entreprises basées sur un transfert de savoir. Les incitations a l'investissement sont multiples et comprennent aussi bien l'attribution de terrains et locaux , que des exonérations fiscales en passant par la création d'infrastructure et la formation de la main d'œuvre locale.
  • partenariats des MRE avec les association marocaines pour des projets concrets : un tout petit exemple concerne le centre de dialyse a Mont Aroui avec hôtel pour les malades venant de loin. Dans ce cas la contribution du ministère de la sante et des associations locales concerne le recrutement de médecins, l'entretien de l'hôpital, etc....
  • accords bilatéraux pour les soins de sante en faveur des MRE du 3eme âge désirant passer leur retraite au Maroc tout en recevant une couverture de soins de sante du RU. La aussi nos voisins Algériens et Tunisiens ont une longueur d'avance sur nous. Ce serait aussi un moyen d'attirer les générations futures vers un pays qui prend soin de leurs parents et grands parents.
  • Possibilité d'investissements collectifs regroupant une multitude de MRE. Il s'agirait de sortes de fonds de placement pour des projets spécifiques dans divers secteurs et gérés d'une manière efficace :exemple achat d'une seule chambre dans un projet d'hôtel avec participation aux bénéfices, projets agricoles structurés, projets industriels ou autres ciblant les régions d'origine des MRE, .....
  • Enfin le tissu associatif à l'étranger est un puissant moyen de vendre le Maroc auprès des gouvernements, entreprises et décideurs de toutes sortes. Par exemple il est aberrant que la British Airways ait supprime ses dessertes sur le Maroc, 2 par jour, alors qu'elle maintient ses vols sur l'Algérie et la Tunisie qui enregistrent pourtant un trafic beaucoup moins élevé. Si le Maroc avait un lobby puissant cette décision aurait pu être remise en cause.


L'enjeu fondamental pour notre pays est de développer un lien différent qui ne se base plus seulement sur les transferts. Tout dépendra de l'environnement que l'on aura préparé au Maroc pour attirer d'autres formes d'investissements, développer le tissu associatif et prendre en charge le 3eme âge. Si cet environnement n'est pas propice, ces marocains au lieu de devenir des « têtes de pont » a l'étranger préféreront investir et aussi s'investir localement ou dans d'autres pays plus incitatifs, et malheureusement bien loin du Maroc.


Le CCME a de ce point de vue énormément de pain sur la planche.

La femme a aussi un rôle essentiel a jouer, ne serait ce que parce que comme on dit chez nous :

« Ali bghatou lala mimouna, bghah lakrim moulana » !


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L'Institut Français du Nord a organisé le Salon International du Livre et des Arts à Tanger du 15 au 19 avril 2009 au Palais des Institutions Italiennes. Orienté cette année sur la création artistique, le salon a proposé au public d'explorer "L'au-delà des oeuvres" en associant plasticiens, cinéastes, danseurs, musiciens et conteurs lors de tables-rondes, vernissages et spectacles.

 

Voir le programme

  • M. Sami Ainane, Director, Undergraduate Studies and Student Affairs, Department of Mechanical Engineering, University of Maryland - Etats-Unis
  • M. Ahmed Akhchichene, Ministre de l'Education Nationale, de l'Enseignement Supérieur, de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique - Maroc
  • M. Mohamed Ameur, Ministre Délégué auprès du Premier Ministre chargé de la Communauté marocaine résidant à l'étranger - Maroc
  • Mme Marie-Hélène Amiot, Responsable des Relations Internationales, Ecole Spéciale d'Architecture de Paris - France
  • M. Olivier Aptel, ESC Rennes - France
  • Mme Sihame Arbib, Directrice Générale, Link World Vision - France
  • M. Ahmed Baroudi, Marketing and Sales Manager, Thales - France
  • M. Thierry Beauvais, Vice-Président R&T , Thales Air System - France
  • Mme Rachida Belliard, Directrice Générale chargée du Développement, Pertinence - France
  • M. Saad Benkassem, Professeur des Sciences Physiques, Attaché de Recherche au Laboratoire de Physique et Mécanique des Matériaux Université Paul Verlaine - Metz - France
  • Mme Amina Benkhadra, Ministre de l'Energie, des Mines, de l'Eau et de l'Environnement - Maroc
  • M. Abderrahime Benslimane, Professeur, Université d'Avignon - France
  • M. Abdelkader Betari, Maitre de Conférences, Université d'Aix-Marseille - France
  • M. Rachid Benzine, Chercheur, Enseignant à l'IEP Aix en Provence, Observatoire du religieux, Membre du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger - France
  • M. Rachid Bichri, Business Solution Manager, Affinia Group Inc. - Etats-Unis
  • Mme Michaela Bohn Berthaud , Chargée de Mission Scolarité Internationale, Institut des Etudes Politiques de Grenoble - France
  • Mme Haya Hynd Bouhia, PHD - Etats-Unis
  • Mme Soundouss Bouhia - Etats-Unis
  • M. Salim Bounou, Directeur de Projets-Technology Transfer Manager, Université de Sherbrooke & Gestion SOcPRA inc. - Canada
  • M. Abdellah Boussouf, Secrétaire Général du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger - Maroc
  • M. Thierry Brizard, Vice Président R&T - Thales Naval - France
  • M. Esteban Busso, Professeur et Directeur du Centre des Matériaux, Ecole des Mines Paris Tech - France
  • Mme Michèle Cambra, Adjointe du Directeur Général, IRD - France
  • M. Ahmed Réda Chami, Ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies - Maroc
  • M. Mohammed Cherkaoui, Professeur, Georgia Tech - France
  • M. Omar Cherkaoui, Professeur, Université du Quebec - Canada
  • M. Nasr Chouhaid , PSA Business Manager, Sews-M, Kénitra - Maroc
  • M. Bertrand Commelin, Directeur, Nestlé - France
  • M. Hervé Coum , Directeur du Développement et des Relations Extérieures, ENSIETA - France
  • M. Jean-Christophe Deberre, Directeur du Bureau Sous Régional pour Afrique de l'Ouest et du Centre, PNUD Afrique - Sénégal
  • Mme Odile Decq, Directrice Générale, Ecole Spéciale d'Architecture de Paris - France
  • M. Mohamed Chakib Dellaoui, Directeu, Centre de Formation Supérieure - France
  • M. Jean-Jacques Durand, Université de Rennes 1 - France
  • M. Jane Edwards , Associate Dean for International Affairs, Yale University - Etats-Unis
  • Mme Amal El Fallah, Professeur, Université de Paris 6 - France
  • M. M'jid El Guerrab, Conseiller Parlementaire, Sénat - France
  • Mme Najwa El Haïte Confaits, Chargée de Mission, Direction de la Citoyenneté Conseil Général de Seine Maritime - France
  • Mme Laila El Harouchi, Chercheur, Responsable du Service Formation à L'Institut de Recherche en Economie et Gestion, Sphinx Développement - France
  • M. Abderahim El Mourad, Senior project manager, Sumitomo - Japon
  • M. Driss El Yazami, Président du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger - Maroc
  • Mme Shereen Faiza , Los Angeles - Etats-Unis
  • M. Taïeb Fassi Fihri, Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération - Maroc
  • M. Mounir Ferram, Docteur, Enseignant Chercheur Universitaire, Conservatoire National des Arts et Métiers de Paris - France
  • M. Mokhtar Ghambou, Professor of Postcolonial Studies and American Litterature; President of the American Moroccan Institute (AMI), Yale University - Etats-Unis
  • M. Mounir Ghogho, Université Internationale de Rabat - Royaume Uni
  • M. Driss Guerchi, Professeur Assistant , UAE University - Emirats Arabes Unis
  • M. Khalid Hajji, Professeur et chercheur - Allemagne
  • M. Jacques Hervé, Directeur Thales Naval Maroc- France
  • M. Fabrice Honoré, Directeur Thales Maroc - France
  • M. Kirk Hooks, Special Assistant to the Dean of Yale College for Intergroup and Intercultural Relations , Yale University - Etats-Unis
  • M. Olivier Ihl, Directeur, Institut des Etudes Politiques de Grenoble - France
  • M. Idriss Ilali, Membre de l'Equipe Projet (UIR), Université Internationale de Rabat - France
  • Mme Marcia Inhorn, Professor of Anthropology and International Affairs, Chair of the Council on the Middle East, Yale University - Etats-Unis
  • M. Anouar Jamali, Professeur, Université du Quebec - Canada
  • M. Adil Jazouli, Responsable de la Mission Prospective et Stratégie Délégation Interministérielle à la Ville Ministère de l'Emploi, de la Cohésion Sociale et du Logement; Membre du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger - France
  • M. Christian Jochum, Associate Professor, ENSIETA - Brest - France
  • M. Abdelhak Kamal, Enseignant-chercheur; consultant, Laboratoire d'Economie Appliquée au Développement (LEAD) Université du Sud Toulon - France
  • M. Ali Kenchaf - France
  • M. Pierre Laffitte, Président de la Fondation Sophia Antipolis, Sénateur Honoraire, chargé de Mission auprés du Président de la République Française Fondation Sophia Antipolis - France
  • M. Faouzi Lakhdar-Ghazal, Maître de conférences des universités, Laboratoire d'Immunovirologie des Lentivirus des Primates, Université Paul Sabatier ; Membre du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger - France
  • M. Saad Laraqui, Professor, University of Maryland - Etats-Unis
  • M. Abdelwahab Meddeb, Professeur Université de Paris - France
  • M. Olivier Menard, Vice Président (en charge du patrimoine), Université de Nantes -France
  • M. Abdellatif Miraoui, Professeur des Universités - Vice Président - Recherche, Université de Technologie de Belfort Montbéliard (UTBM) - France
  • M. Abdel-illah Mouaddib, Professeur, Université de Caen Basse-Normandie - France
  • M. Noureddine Mouaddib, Professeur, Polytech, Université de Nantes Université Internationale de Rabat - France
  • Mme Khadija Mouhaddab, Communication Vice Présidente Marketing & Projects, Suez Environnement - France
  • M. Hassan Mountassir, Professeur des Universités , Laboratoire d'Informatique Université de Franche-Comté (LIFC) - France
  • M. Mohamed Naimi, Professeur des Universités en Informatique, Université de Cergy Pontoise - France
  • M. Kamal Oudrhiri, Chercheur, Los Angeles, Etats-Unis
  • M. Abdallah Ougazzaden, Professeur, Directeur de l'UMI, Georgia Tech (CNRS) Georgia Institute of Technology - France
  • M. Bernard Remaud, Président, Commission des Titres d'Ingénieur (CTI) - France
  • M. Ahmed Rhallabi, Professeur des Universités, Institut des Matériaux Jean Rouxel Université de Nantes - France
  • M. Cherkaoui Roudani, École Nationale Supérieure de Mécanique et d'Aérotechnique - France
  • M. Mohamed Saadaoui, Enseignant Chercheur, Ecole des Mines de Saint Etienne - France
  • M. Abdelkader Sbihi, Associate Professor, Audencia Nantes - School of Management - France
  • M. Mohammed Sehli, Ingénieur géotechnicien, Professeur à l' EHTP - Maroc
  • M. Omar Seghrouchni, Directeur, Stragis - France
  • M. Ian Shapiro, Director of the Mac Milan Center for International Affairs; Professor of Political Science , Yale University - Etats-Unis
  • M. Karim Smine, Senior Advisor,Pharmacope - Etats-Unis / Maroc
  • M. Yves Thomas, Direction du Développement International et des Relations Industrielles, Institut Supérieur de l'Aéronautique et de l'Espace, Toulouse - France
  • M. Alain Vailly, Maîtres de Conférences, Université de Nantes - France
  • M. Driss Yachou, Expert en Microélectronique et des Outils EDA, Consultant FL - France
  • M. Abderrahim Zeghloul, Professeur, Université de Metz - France

 

Un colloque du CCME organisé avec le concours des principales associations de retraités marocains à l'étranger


Communiqués de presse

 - Programme

Expositions

Allocution d'ouverture de M. Jamal Rhmani, Ministre de l'emploi et de la formation (version arabe)

Introduction aux travaux : Amina Ennceiri, Présidente du groupe de travail Approche genre et nouvelles générations, CCME 

Contributions

Allocutions de clôture

Synthèse de l'atelier 1 : Solidarité et expériences innovantes : l'action des associations

Recommandations finales

Liste des participants

Dossier de presse

 

3-4 mars 2009, la déclaration de Rabat adoptée par les 17 pays présents


Communiqué du 27 février 2009

Programme

Message Royal

Allocution d'ouverture, Driss El Yazami, président du CCME

 

Contributions

Les intervenants

Déclaration finale

Institutions et conseils de l'émigration de par le monde

Communiqué final

Revue de presse

 

Le CCME organise un colloque international sur le culte musulman en Europe. Le processus de sécularisation de l'islam dans les pays européens, marqués par une « laïcité culturelle », entraine plusieurs problématiques de nature référentielle et sociologique.

Argumentaire

Programme

Communiqué de presse

Près de 450 femmes de plusieurs horizons, d'une même origine autour d'un objectif commun

Argumentaire : Femmes et Migration: quelques points de repère

Programme

Message Royal


Allocutions d'ouverture


Conférences d'ouverture


Allocutions de clôture


Synthèses


Les grands témoins


Contributions

Revue de presse

Des dizaines de chercheurs, de dirigeants associatifs et politiques débattent du statut juridique de l'islam en Europe.

- Argumentaire

- Communiqué du 9 mars 2009

- Programme

- Allocutions d'ouverture


    - Contributions


    - Allocution de clôture, José-Maria Ferré de la Penã - Espagne (version espagnole)

    - Communiqué du 16 mars 2009

    - Liste des participants

    - Revue de presse

    - Dossier de presse

    - Rapport de synthèse

     

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