jeudi 4 juillet 2024 16:15

On vient de l’apprendre aujourd’hui. La Fouine, le rappeur français d’origine marocaine, sera bientôt sur les écrans de cinéma. Il fera, en effet, une apparition dans le dernier film de l’humoriste, acteur et réalisateur marocain Saïd Naciri. Intitulé « Un Marocain à Paris », ce long métrage réunit une brochette de stars françaises dont Jean-Marie Bigard, Francis Lalanne et Jean-Pierre Castaldi ou encore Booder.

Cependant, si le film est doté d’un casting impressionnant, la bande annonce du film, qui dure tout de même 5 minutes et 5 secondes, laisse à désirer. Le réalisateur promet un film « plein de rebondissements avec un jeu d’acteurs marocains et français », mais aussi « une belle rencontre entre trois cultures différentes, avec un jeu d'acteurs marocains et français, où l’humour est au rendez-vous ». Des affirmations qui restent, toutefois, à vérifier. La sortie du film est prévue pour printemps 2012.

22/12/2011

Source : Yabiladi

On vient de l’apprendre aujourd’hui. La Fouine, le rappeur français d’origine marocaine, sera bientôt sur les écrans de cinéma. Il fera, en effet, une apparition dans le dernier film de l’humoriste, acteur et réalisateur marocain Saïd Naciri. Intitulé « Un Marocain à Paris », ce long métrage réunit une brochette de stars françaises dont Jean-Marie Bigard, Francis Lalanne et Jean-Pierre Castaldi ou encore Booder.

Cependant, si le film est doté d’un casting impressionnant, la bande annonce du film, qui dure tout de même 5 minutes et 5 secondes, laisse à désirer. Le réalisateur promet un film « plein de rebondissements avec un jeu d’acteurs marocains et français », mais aussi « une belle rencontre entre trois cultures différentes, avec un jeu d'acteurs marocains et français, où l’humour est au rendez-vous ». Des affirmations qui restent, toutefois, à vérifier. La sortie du film est prévue pour printemps 2012.

22/12/2011

Source : Yabiladi

La ville d’Aurillac a abrité le samedi 17 décembre 2011 la signature de la convention de jumelage entre les communes d’Aurillac et Arpajon-sur-Cère et la commune d’Aït Ishaq…Suite

L’affaire s’envenime. Il est vrai que si les accusations de propos racistes portées par Kamel Chafni étaient avérées, elles seraient gravissimes…Suite

L'Allemagne a enregistré un fort rebond de l'immigration au premier semestre 2011, notamment en provenance des pays européens touchés par la crise, a annoncé jeudi l'Office fédéral des statistiques Destatis.

Quelque 435.000 personnes en provenance d'un pays étranger se sont installées en Allemagne au premier semestre 2011, un chiffre en hausse de 19% par rapport à la même période de 2010.

Dans le même temps, le nombre de personnes quittant l'Allemagne a légèrement reculé, provoquant une explosion du solde migratoire (différence entre les arrivées et les départs) de 61.000 à 135.000 personnes, soit +122%. Un peu moins de 300.000 personnes ont quitté l'Allemagne au premier semestre.

Parmi les nouveaux arrivants, 381.000 étaient des étrangers, essentiellement européens. L'immigration en provenance de l'Union européenne (UE) a bondi de 29%.

"Le fait marquant est la forte hausse de l'immigration en provenance des pays de l'UE les plus touchés par la crise financière", souligne Destatis. Le nombre de nouveaux immigrés grecs a bondi de 84% au premier semestre à 4.100 personnes, l'immigration espagnole a augmenté de 49% à 2.400 personnes.

L'Office allemand des statistiques souligne aussi la hausse de 30% de l'immigration en provenance des pays de l'élargissement de l'UE en Europe centrale : +30%. Cette progression serait liée à la levée des dernières restrictions sur le marché du travail allemand pour les ressortissants de ces pays.

L'économie allemande a jusqu'ici mieux résisté à la crise que les autres pays européens et affiche un taux de chômage de 6,5%, bien meilleur que ses voisins. L'Allemagne cherche à attirer des immigrés pour compenser le déclin ancien de sa natalité et lutter contre les pénuries de main-d'oeuvre qui affectent déjà certains secteurs de son économie.

22/12/2011

Source : Les échos/AFP

Soulignant que la circulaire Guéant ne relevait "pas de sa compétence", le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, a tout de même désapprouvé sa mise en place, qui empêche nombre de diplômés étrangers de rester travailler en France.

Jean-Pierre Chevènement disait: "un ministre, ça ferme sa gueule ou ça démissionne". Frédéric Mitterrand, lui, a choisi une autre option. Ce matin sur BFMTV, le ministre de la Culture a désapprouvé la circulaire Guéant, tout en soulignant que ce sujet "n'est pas de (sa) compétence".

"En tant que citoyen vous répondant, je vous dis que la circulaire me pose problème, en tant que ministre, je n'ai pas de conseils à donner à un autre ministre que je respecte", a-t-il insisté.

"Mon avis, c'est que j'ai passé mon temps à accueillir des étrangers. Cette circulaire me pose problème", a déclaré Frédéric Mitterrand.

Mais, a-t-il ajouté, "je n'ai pas de conseils à donner au ministre de l'Intérieur, qui est par ailleurs un homme tout à fait compétent dans ce domaine. Ca ne me regarde pas".

A la suite de la circulaire Guéant, de nombreux diplômés étrangers, dont certains très qualifiés, n'ont pas pu obtenir un changement de statut (d'étudiant à salarié), un sujet d'inquiétude pour universités et grandes écoles.

"La vocation de la France était d'accueillir les étudiants étrangers"

Une centaine de personnalités, dont le prix Nobel de Physique Albert Fert, ont notamment lancé une pétition demandant "le retrait" de cette circulaire.

Dans un courrier adressé fin novembre aux présidents d'universités et de grandes écoles françaises, le Premier ministre François Fillon avait défendu la circulaire Guéant, tout en soulignant l'apport des étudiants étrangers.

"Je suis pour que l'on applique les préconisations de la lettre de François Fillon", a encore indiqué Frédéric Mitterrand.

Le Premier ministre "a expliqué qu'il y avait eu des abus, qu'il y avait eu des parcours erratiques, mais que la vocation de la France était d'accueillir les étudiants étrangers", a-t-il ajouté.

22/12/2011

Source : L’Express/AFP

Il estime que l'actuelle politique des visas aux États-Unis, qui empêche les personnes qualifiées de s'y installer, "sabote" l'économie du pays.

"Ce qui fait du mal aux immigrés nous fait du mal à tous", a coutume dire le maire de New-York, Michael Bloomberg. Il a réaffirmé ce matin, mercredi 21 décembre, sa conviction selon laquelle l'actuelle politique des visas aux États-Unis, qui empêche les personnes qualifiées de s'y installer, était un "suicide national".

"Lorsque les gens laissent leur ancienne vie derrière eux, quittent leur foyer d'origine avec leur famille pour une vie meilleure et un endroit où ils pourront pratiquer librement leur religion et être maîtres de leur destin, ils viennent aux États-Unis. Ils ne vont pas en Chine. Nous nous en plaignons, mais nous ne devrions pas", a-t-il déclaré.

"Si vous voulez régler le problème des grandes villes en décomposition, faites venir des immigrants. Cela résoudra les problèmes du jour au lendemain pour un coût proche de zéro. Si vous souhaitez avoir une vie meilleure, vous devez continuer d'accueillir ceux qui ont fait la grandeur de l’Amérique." Pour le maire de New York, l'actuelle politique des visas aux États-Unis est  "un suicide national".

En septembre dernier, Michael Bloomberg avait parlé à ce sujet de "suicide collectif" : cette politique "sabote notre économie. J'appelle cela un suicide collectif, et je le pense vraiment", avait-t-il déclaré lors d'un Forum sur l'immigration. Le maire est fermement convaincu depuis longtemps que les restrictions actuelles handicapent les États-Unis dans la compétition internationale de plus en plus féroce pour attirer les talents et les personnes les mieux éduquées.

"Et le résultat, c'est que les États-Unis ne sont plus le carrefour inévitable pour l'innovation et l'entreprise", avait-t-il ajouté en soulignant les opportunités qu'offraient d'autres pays, de l'Amérique du Sud à l'Asie. Il avait alors souligné que sur le million de nouveaux résidents admis chaque année aux États-Unis, 15% seulement obtenaient des visas pour répondre aux besoins économiques du pays. Les 85% restants en bénéficient pour raisons familiales ou personnelles.

21/12/2011

Source : Atlantico

Alors qu’un récent sondage a dévoilé les faits les plus appréciées des français en 2011, certains médias ont trouvé bon de se focaliser sur la place réservée à l’interdiction du voile et des prières de rue.

Mardi dernier, une dépêche de l’AFP reprise par plusieurs médias, annonçait les résultats d’un sondage de l'institut Médiascopie. Ce dernier, mené entre le 2 et le 9 décembre portait sur l’appréciation faite des Français des grands moments de l’année qui s’achève. 800 personnes interrogées donnaient une note de 1 à 10 sur ce qui les a marqués.

Au rayon des décisions gouvernementales, l'instauration d'une taxe sur les hauts revenus a obtenu 7,7. Le relèvement du SMIC a reçu une la note de 7,5. L’interdiction du port du voile intégral dans les lieux publics, en vigueur depuis cette année complète le podium, avec un score de 7,1. Plus loin arrive la mesure sur interdiction des prières de rue de septembre dernier (6,4).

Dangereux amalgames

Que les individus interrogés livrent un avis sur une question qui leur est posée n’a rien de choquant en soi. En revanche, la manière dont les résultats ont été présentés par certains médias français prête à confusion. Le quotidien Libération n’hésite pas à titre sur son site « Interdiction du voile, des prières de rue et du Bisphénol, mesures les plus applaudies en 2011 ». Moins véhément mais dans le même esprit, 20 Minutes titre « Les Français plébiscitent l'interdiction du voile, des prières de rue et du Bisphénol ».

D’après les résultats de l’enquête, l’interdiction du voile intégral et des prières dans les rues, dont le référent commun est l’islam, ont eu un écho favorable auprès des personnes sondées. Cependant leur présentation par les médias en question prête à croire qu’elles arrivent en tête des mesures plébiscitées, ce qui n’est clairement pas le cas.

Dans le classement, les restrictions concernant le port du voile dans les lieux publics et les prières de rues sont séparées par l'interdiction du bisphénol (7,1) et la prime aux salariés des entreprises ayant augmenté leurs dividendes (6,7). Pourtant, les titres de Libération et 20 Minutes, laissent facilement sous-entendre que l'interdiction du voile intégral et des prières de rue arrivent ensemble en tête des mesures les plus appréciées par des Français. Dans le commentaire qu’il fait du sondage, Denis Muzet, sociologue et président de l’institut qui a réalisé le sondage, parle de tentations de «chasse aux islamistes». Serait-ce dans cette logique que s’inscriraient Libération et 20 Minutes, deux des plus importants quotidiens français ?

Des quotidiens d’une telle envergure ne devraient-ils pas se montrer davantage soucieux de ne pas verser dans la surenchère alors que plusieurs voix se sont déjà élevées pour dénoncer la montée d’un sentiment islamophobe en France ?

21/12/2011

Source : Yabiladi

Google+ Google+