C'est une fois de plus le moment de dire adieu à l'année qui s'achève et de saluer la nouvelle année et la communauté chinoise à l'étranger, constituée de Chinois d'outre-mer, de ressortissants chinois à l'étranger et d'étrangers d'origine chinoise, se préoccupe tout particulièrement des changements qui interviendront peut-être en son sein dans la nouvelle année et surtout de la possibilité pour les étrangers d'origine chinoise de participer aux affaires politiques et publiques de leur pays d'accueil respectif, du comportement des commerçants d'origine chinoise dans la situation où l'économie est en plein marasme, de la politique d'immigration appliquée par les principaux pays du monde qui acceptent de recevoir les immigrés.
1. La participation aux affaires politiques et publiques pourra-t-elle réussir de nouvelles percées ?
En début de l'année 2011, et plus précisément le 3 janvier, Guan Lizheng (Jean Quan), une Américaine d'origine chinoise âgée alors de 61 ans, a prêté serment à l'occasion de son entrée en fonction de maire de la municipalité d'Auckland de l'Etat de Californie, aux Etats-Unis. Aux élections intermédiaires de l'année précédentes qui ont été très animées, bruyantes et échauffées, la campagne électorale de la candidate démocrate Guan Lizheng a vivement ému la communauté chinoise de la ville qui la soutenait de plein cœur. Celle-ci n'a pas trompé son attente en réussissant à battre tous ses adversaires et a pu réaliser pour la première fois le rêve politique des Américains d'origine chinoise de sa ville en devenant le premier maire d'origine chinoise de sexe féminin depuis la fondation d'Auckland il y a quelques 158 années. Guan Lizheng était également alors le maire élu d'origine chinoise de la plus grande et plus importante parmi les villes américaines.
En réalité aux Etats-Unis, pour les Américains d'origine chinoise, la participation aux affaires politiques et publiques ne constituait déjà plus une nouveauté. Elaine Lan Chao a été la première femme asiatique et la première d'origine chinoise à occuper un poste dans un gouvernement américain la 24e secrétaire au Travail, nommée en 2001 dans le cabinet présidentiel de l'administration Bush et confirmée une nouvelle fois en 2005. Judy May Chu, la première femme d'origine chinoise membre de la Chambre des Représentants américaine, a proposé une résolution au Congrès destinée à présenter des excuses pour l'Acte d'Exclusion des Chinois de 1882, lequel impose une stricte limite sur l'immigration chinoise, interdit les descendants des travailleurs chinois de devenir citoyens américains et interdit le mariage entre une personne blanche et un Chinois et qui n'a été aboli qu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Edwin Mah Lee est le 43ème et actuel Maire de San Francisco, en Californie. Il a été désigné par le Board of Supervisors le 11 janvier 2011 pour servir la fin du mandat du précédent maire Gavin Newsom, après que celui-ci a démissionné suite à son élection au poste de Lieutenant-gouverneur de Californie4. Lee est le premier Américain d'origine chinoise à devenir maire de San Francisco et également le premier américain d'origine chinoise à devenir maire d'une des dix plus grandes villes américaines par le PIB et la population. Il a accédé à son poste le 9 novembre 2011 avec un suffrage de 61,21% de voix favorables.
En Europe, les étrangers d'origine chinoise n'ont pas encore pu obtenir de tels succès sur la scène politique européenne. En Grande-Bretagne, il n'y a jusqu'ici aucun membre d'origine chinoise au Parlement britannique, En 2010, il y a eu huit Anglais d'origine chinoise qui s'étaient lancés dans la campagne électorale pour disputer un siège à la Chambre des Communes, ce qui a suscité l'intérêt de divers milieux. Mais, ce qui est regrettable, c'est qu'ils ont tous perdus et n'ont pas pu réaliser leur pari. Les ressortissants chinois, qui résident en Grande-Bretagne, en France, en Italie et dans d'autres pays européens, sont nombreux, toutefois, ils doivent déployer encore plus d'efforts pour pouvoir remporter des succès sur la scène politique.
2. Faut-il repartir à zéro en raison de la situation économique désastreuse ?
Des médias irlandais ont rapporté dernièrement que la crise financière internationale a fait que les chaînes industrielles se sont enfoncées dans un cercle vicieux et que des commerçants irlandais d'origine chinoise font face à de grandes difficultés dans leurs affaires. Suite à la marée de faillite de restaurants chinois et de boutiques de vente à emporter tenus par des Chinois, laquelle a débuté à partir de l'année 2009, un grand nombre de ces derniers n'ont pu s'empêcher de s'interroger sur leur avenir, car ils doivent surmonter de plus en plus de difficultés dans le commerce, leurs affaires marchent de mal en pis et leur niveau de vie s'abaisse rapidement.
Tout comme leurs collègues irlandais, les commerçants grecs et italiens d'origine chinoise se trouvent également dans une situation difficile et rencontrent beaucoup de problèmes épineux. Depuis l'éclatement de la crise de la dette souveraine en Grèce, la situation économique du pays devient de plus en plus mauvaise et certains des ressortissants chinois ont préféré quitter la Grèce pour aller s'installer dans d'autres pays ou bien même pour retourner en Chine et repartir tout à zéro. La crise de la dette a complètement perturbé la vie des Grecs qui ne savent plus à quoi s'en tenir, tandis que les commerçants d'origine chinoise voient leurs chiffres d'affaires diminuer de façon vertigineuse. Quant à certaines fortes et puissantes entreprises, leur patron d'origine chinoise apercevant qu'il n'y a plus de profit à gagner commencent à vendre leurs biens en solde pour les convertir en argent et à retourner à la case départ pour créer du nouveau.
En Espagne, l'économie a parcouru ces dernières années un tracé parabolique et une fois avoir connu des succès brillants et resplendissants, il s'était opéré un changement brusque et complet et la situation économique du pays commence à devenir désastreuse, ce qui fait de moins en moins de ressortissants chinois achètent des affaires pour les faire développer, alors qu'au contraire de plus en plus d'entre eux vendent leurs boutiques pour pouvoir rembourser leurs dettes.
3. Est-il possible qu'on accorde une plus grande importance aux immigrés ?
Le quotidien canadien en langue chinoise le « Ming Pao » a rapporté récemment qu'à Toronto, un avocat chevronné qui se charge spécialement des affaires de l'immigration a rappelé aux demandeurs de l'immigration technique qu'ils doivent prêts à affronter et à surmonter toutes sortes de risques après avoir remis leur demande, car il serait possible qu'à tout moment il verraient leur demande refusé en raison du nombre limité des solliciteurs dont la demande serait acceptée. Même si dans le cas où la politique d'immigration connaîtrait une restriction et un resserrement, mais pour les principaux pays du monde favorables à l'immigration, dont le Canada, l'Australie et la Nouvelle Zélande, ils ont déjà accueilli un nombre non négligeable d'immigrés d'origine chinoise.
Nombreux sont les nouveaux immigrés qui se sentent toujours étrangers dans le pays d'accueil. Par exemple en Nouvelle Zélande, l'Association néo-zélandaise Grey Power's Auckland Zone, qui œuvre pour la défense des personnes âgées et qui fait partie du courant principal de la société néo-zélandaise, a boycotté en 2011 la politique d'immigration et la campagne de boycottage a été lancé et organisée par un vieillard de 71 ans qui appartenait à cette organisation. La campagne visait en fait les immigrés d'origine asiatique dont le nombre augmentait à vue d'œil et c'est pourquoi un appel a été lancé pour combattre et enrayer leur arrivée dans le pays.
Quant aux immigrés d'origine chinoise, ils souhaitent de tout leur cœur pouvoir s'intégrer dans le courant principal de la société afin de pouvoir obtenir encore plus d'opportunités de l'éducation et de l'emploi. Ils espèrent que le gouvernement leur accorde encore plus d'importance et que les voix discordantes qui leur témoignent le mécontentement par la froideur et des reproches ne se font plus entendre. Des spécialistes en matière de l'immigration ont indiqué que pour pouvoir être appréciés à leur juste valeur et être accepté par le courant principal de la société du pays d'accueil, les immigrés d'origine chinoise doivent faire de plus grands efforts pour gagner la faveur de la population locale.
4/1/2011
Source : Le Quotidien du peuple
La famille Ekoman est à bout. Leur fils, Jean-Claude Bissa-Ekoman, reconnu de père et de mère français est enfermé depuis 35 jours au centre de rétention de Cornebarrieu : « Comment est-ce possible que mon fils soit enfermé dans un centre de rétention pour étrangers alors qu'il s'agit d'un ressortissant français ? », s'interroge Arlette Ekoman, la mère de Jean-Claude, française et originaire du Cameroun qui vit aujourd'hui en concubinage avec Pascal Lugol, le père adoptif de Jean-Claude.
Des enfants reconnus par le beau-père
Dès 2002, Pascal Lugol entreprend les premières démarches pour adopter les enfants de sa compagne. Et après plusieurs mois de procédures en France et au Cameroun, Jean-Claude décide de venir rejoindre sa famille avec un passeport provisoire Français valable un an, « il n'avait pas encore 18 ans quand il est venu nous rejoindre en France » témoignent de concert son père et sa mère. Depuis, Jean-Claude Ekoman a essuyé un premier refus de nationalité française par les services de l'État, avant d'obtenir un titre de séjour provisoire que les autorités françaises refusent de lui renouveler. « Aujourd'hui il, se retrouve dans une situation d'apatride, le gouvernement camerounais le considère comme français et la France ne veut pas le reconnaître comme français », explique sa mère qui termine : « Mon fils est français, je veux être entendu par les services de la préfecture pour le faire libérer du centre de rétention ». Contactée, la préfecture n'a pas souhaité s'exprimer sur cette affaire.
04/01/2012, Thomas Belet
Source : La Dépêche
La police new yorkaise a interpellé mardi matin un homme soupçonné d'avoir lancé plusieurs engins incendiaires dimanche soir dans le quartier du Queens à New York, dont deux contre des lieux de culte, a annoncé le chef de la police Ray Kelly lors d'une conférence de presse.
L'enquête en cours devra déterminer s'il s'agit d'un crime raciste ou anti-religieux, a précisé le commissaire Kelly qui a rappelé que personne n'avait été blessé dans ces attaques.
Deux engins explosifs artisanaux ont visé un centre islamique, la Fondation Imam Al-Khoei, où une centaine de personnes venaient de terminer un rassemblement. Seule la porte a été endommagée.
Un autre a été lancé contre une maison qui héberge un petit temple hindou, une troisième a visé un magasin appartenant à un Yéménite musulman, et un quatrième engin a visé une maison particulière habitée par des Chrétiens.
Selon un témoignage, le suspect avait été expulsé du magasin le 27 décembre, alors qu'il essayait d'y voler du lait et une bouteille de café frappé, et avait promis d'y revenir, a précisé le commissaire Kelly.
Le chef de la police new yorkaise a ajouté que dans quatre des cinq attaques (quatre dans le quartier du Queens, une autre dans le comté voisin de Nassau) des bouteilles de café frappé avaient été utilisées.
Elles avaient été transformées en coktail molotov par l'ajout d'un liquide inflammable.
Queens, dans le nord-est de New York, est un quartier d'immigration où cohabitent de nombreuses religions et nationalités, ses habitants venant d'Asie, d'Amérique latine, et du Moyen-Orient notamment.
Des caméras de surveillance ont permis d'identifier le suspect dont la voiture est également vue sur les enregistrements vidéo, a également indiqué M. Kelly.
03/01/2012
Source : AFP
A mal Hadrami est née en 1981 en Savoie. Elle la quitte à 11 ans pour suivre un cursus sport-études danse au conservatoire de Grenoble d'où elle sort 5 ans plus tard médaillée d'or en danse classique et contemporaine. Elle continue sa route en suivant la formation professionnelle en danse contemporaine au conservatoire national supérieur de Paris durant laquelle elle travaille avec plusieurs grands chorégraphes.
Elle ressent très vite le besoin de créer à son tour, de mettre en scène.
Via le geste et la parole, elle tente d'exprimer cette lutte intérieure constante due à la sensation d'écartèlement son pays d'origine, le Maroc et le pays où elle vit. Pour comprendre cette dualité, elle part une fois diplômée au Maroc entreprendre des recherches théoriques et pratiques sur l'art populaire marocain…Suite
M. Abdellatif Maâzouz que SM le Roi a nommé, mardi, ministre délégué auprès du chef de gouvernement chargé des Marocains résidant à l'étranger, est né le 18 août 1954 à Sefrou.
Après une licence ès économiques de l'Université Sidi Mohammed Ben Abdellah de Fès en 1978, M. Maâzouz a décroché une maîtrise ès sciences économiques, option économie d'entreprise (Toulouse 1979) et un DESS de l'Institut de préparation aux affaires (IPA, Toulouse 1981).
M. Maâzouz est également titulaire d'un doctorat de 3-ème cycle ès sciences de gestion de l'Université des Sciences sociales de Toulouse et d'un Doctorat d'Etat ès sciences économiques de l'Université Hassan II de Casablanca en avril 2000.
M. Maâzouz a occupé plusieurs fonctions dont celles de directeur de développement et membre du comité scientifique au Centre Marocain de Conjoncture (CMC) de 1998 à 2003, et de consultant senior auprès de l'USAID pour le développement régional et la promotion des investissements dans le cadre du projet d'appui aux Centres d'Investissements Régionaux (CRI) et à la Direction des investissements.
De 1982 à 2006, il était professeur de l'enseignement supérieur à la faculté de droit et des sciences économiques (université Hassan II de Casablanca). Il a aussi été professeur associé au cycle supérieur de gestion de l'ISCAE (Cycle supérieur de gestion et Master en management des services publics).
En octobre 2007, M. Maâzouz a été nommé par SM le Roi Mohammed VI ministre du commerce extérieur.
Il a été décoré par SM le Roi du Wissan du mérite national en février 2007. M. Maâzouz est marié et père de deux enfants.
3/1/2012
Source : Le Matin
L'édition 2012 du Salon de l'immobilier et l'art de vivre marocain «Morocco Property Expo» se tiendra les 19, 20 et 21 Janvier à Dubaï, avant de faire escale à Montréal et Frankfurt respectivement en avril et juin prochains.
Placé sous l'égide du ministère chargé de la Communauté marocaine à l'étranger et du ministère de l'Habitat, de l'Urbanisme et de l'Aménagement de l'espace, le salon « Morocco Property Expo» de Dubai, rendez-vous incontournable de la promotion de l'investissement immobilier marocain, se définit comme un espace de rencontres entre les professionnels de l'habitat et les éventuels acquéreurs de biens immobiliers désireux d'investir au Maroc. Il se présente comme une véritable vitrine de l'immobilier marocain, indique lundi un communiqué «Morocco Property Expo» parvenu à la MAP.
Cet évènement constitue une occasion unique de rencontres entre la communauté marocaine qui réside à Dubai - environ 70% des 500.000 MRE installés aux Emirats Arabes Unis sont établis à Dubaï-, et les promoteurs immobiliers, administrations, banques et investisseurs marocains et émiratis.
Cette manifestation permettra aux exposants marocains d'augmenter leur visibilité face à une clientèle motivée et de prospecter de nouveaux clients pour leurs biens immobiliers, souligne-t-on de même source.
Ce Salon cible un public désireux d'accéder à la propriété et d'investir au Maroc, que ce soit dans le moyen ou le haut standing. Il lui offre l'opportunité de rencontrer les promoteurs immobiliers marocains afin de concrétiser ses projets d'achat.
Il permet aussi de conclure plus de transaction, optimiser le volume d'affaire et gagner en image et en notoriété, ajoute le communiqué.
Cette exposition réunira également des promoteurs porteurs de projets économiques et sociaux dans différentes régions du royaume avec des espaces prévus pour l'artisanat et l'art de vivre marocain.
Par ailleurs, de multiples conférences et débats seront animés par les professionnels du secteur qui feront le point sur les grandes tendances du marché, le financement et les nouvelles dispositions fiscales et réglementaires.
Un trophée sera, en outre, remis à un projet immobilier marocain se distinguant par son architecture, son design, sa vision et son attractivité pour les MRE.
3/1/2012
Source : MAP
SM le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, accompagné de SAR le Prince-Héritier Moulay El Hassan, a nommé, mardi à la salle du Trône au Palais Royal de Rabat, les membres du nouveau gouvernement.
En voici la composition :.
- Abdelilah Benkirane : Chef de gouvernement.
- Abdellah Baha : ministre d'Etat.
- Mohand Laenser : ministre de l'Intérieur.
- Saad-Eddine El Othmani : ministre des Affaires étrangères et de la coopération.
- Mustafa Ramid: ministre de la Justice et des libertés.
- Ahmed Toufiq: ministre des Habous et des affaires islamiques.
- Driss Dahak : secrétaire général du gouvernement.
- Nizar Baraka : ministre de l'Economie et des finances.
- Nabil Benabdellah : ministre de l'Habitat, de l'urbanisme et de la politique de la ville.
- Aziz Akhannouch : ministre de l'Agriculture et de la pêche maritime.
- Mohamed El Ouafa: ministre de l'Education nationale.
- Lahcen Daoudi : ministre de l'Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de la formation des cadres.
- Mohamed Ouzzine : ministre de la Jeunesse et des sports.
- Aziz Rabbah : ministre de l'Equipement et du transport.
- El Hossein El Ouardi : ministre de la Santé.
- Mustapha El Khalfi : ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement.
- Fouad Douiri: ministre de l'Energie, des mines, de l'eau et de l'environnement.
- Abdelouahed Souhail : ministre de l'Emploi et de la formation professionnelle.
- Abdelkader Aâmara : ministre de lŒindustrie, du commerce et des nouvelles technologies.
- Lahcen Haddad : ministre du Tourisme.
- Bassima Hakkaoui : ministre de la solidarité, de la femme, de la famille et du développement social.
- Mohamed Amine Sbihi : ministre de la Culture.
- Abdessamad Qaiouh : ministre de l’Artisanat.
- Lahbib Choubani : ministre chargé des Relations avec le parlement et la société civile.
- Abdellatif Loudiyi : ministre délégué auprès du chef de gouvernement chargé de l'Administration de la défense nationale.
- Abdellatif Maâzouz : ministre délégué auprès du chef de gouvernement chargé des Marocains résidant à l'étranger.
- Charki Draiss : ministre délégué auprès du ministre de l'Intérieur.
- Youssef Amrani : ministre délégué auprès du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération.
- Mohamed Najib Boulif : ministre délégué auprès du chef de gouvernement chargé des Affaires générales et de la gouvernance
- Abdelâdim El Guerrouj : ministre délégué auprès du chef de gouvernement chargé de la fonction publique et de la modernisation de l'administration.
- Idriss Azami Al Idrissi: ministre délégué auprès du ministre de l'économie et des finances chargé du budget.
A cette occasion, les membres du gouvernement nouvellement nommés ont prêté serment devant SM le Roi.
A l'issue de cette cérémonie, Le Souverain, accompagné de SAR le Prince-Héritier Moulay El Hassan, a posé pour une photo-souvenir avec les membres de la nouvelle équipe gouvernementale.
3/1/2012
Source : MAP