samedi 6 juillet 2024 18:19

Les Marocains établis à Lyon (centre de la France) et autres ressortissants maghrébins ont été au rendez-vous samedi avec une soirée festive et de retrouvailles, animée par les chanteurs Abderrahim Souiri et Rachid Lamrini.

Le temps d'un concert organisé dans le cadre de la 3ème édition du salon de l'immobilier marocain (Simmeurope), les deux artistes ont enflammé la scène du Centre des congrès de Lyon avec des morceaux puisant dans les répertoires arabo-andalous et chaâbi.

Aux rythmes du chaâbi et plus particulièrement de la Aïta, Rachid Lamrini a conquis un public assoiffé des airs du pays tandis qu'une partie des spectateurs est entrée en transe.

De son côté, Souiri a impressionné avec ses monologues et ses mawals arabo-andalous, avant d'enflammer la scène avec des morceaux tantôt traditionnels, mêlant panégyriques à la gloire du prophète et musique d'al-Ala.

En duo inédit, surprise de la soirée, les deux artistes ont fait de la soirée un moment mémorable pour les milliers de MRE présents, en interprétant avec brio des refrains patriotiques tels "Nidae Al Hassan" et "Laâyoune Ayniya".

En variant savamment les styles, Souiri et Lamrini sont parvenus à satisfaire tous les goûts, ceux d'une première génération attachée à ses racines, mais aussi d'une jeuness venue nombreuse à la quête de son identité.

8/5/2011

Source : MAP

Les législateurs de l'Arizona souhaitent que davantage de clôtures soient érigées le long de la frontière avec le Mexique, que le gouvernement fédéral estime que ce soit nécessaire ou non.

Ils projettent de parvenir à leurs fins grâce à des dons faits via Internet et en se servant de détenus à titre de main-d'oeuvre. S'ils obtiennent suffisamment d'argent, il ne leur manquerait que la coopération des propriétaires des terres situées à la frontière pour aller de l'avant.

La gouverneure de l'Arizona, Jan Brewer, a récemment signé un texte de loi aux fins du projet, qui doit débuter par la mise en place d'un site Web afin de recevoir des dons en vue des travaux.

«Nous avons l'intention de construire ces clôtures aussi rapidement que possible, et nous leur ferons toute une campagne de promotion», a lancé Steve Smith, le sénateur républicain derrière le projet de loi.

L'Arizona — qui traverse une crise budgétaire — se sert déjà de dons publics pour payer les avocats embauchés afin de défendre la loi SB1070, adoptée pour lutter contre l'immigration illégale.

L'État fait appel de la décision rendue par un juge fédéral, qui s'oppose à plusieurs clauses de la loi, notamment l'obligation pour les nouveaux arrivants d'avoir certains documents d'inscription pour immigrer.

Pour inciter la population à donner, des certificats seront fournis aux citoyens ayant contribué au financement de la construction du «mur d'Arizona», a expliqué M. Smith.

Le chantier pourrait commencer dès la fin de cette année, a-t-il ajouté.

«Si le site Web suscite un engouement pour notre projet et nous permet d'amasser des millions de dollars, je ne vois pas pourquoi les premiers coups de pelles ne pourraient être donnés», a indiqué le sénateur.

Sur les 3200 kilomètres de frontières séparant les États-Unis et le Mexique, 1050 d'entre eux sont munis d'une clôture, et près de la moitié de ces murs sont érigés en Arizona. La frontière de cet État est la porte d'entrée aux États-Unis pour de nombreux immigrants illégaux et trafiquants de marijuana.

Les autorités fédérales refusent de commenter l'affaire, a fait savoir le porte-parole du département de la Sécurité intérieure, Matthew Chandler.

Le directeur des services correctionnels de l'État, Charles Ryan, a pour sa part indiqué que trouver de la main-d'oeuvre parmi les détenus pour aider à la construction de la clôture ne sera pas problématique.

Des prisonniers de centres de détention à sécurité minimale ont déjà aidé, par le passé, à nettoyer les broussailles où se cachent des immigrants illégaux, a-t-il rappelé.

9/5/2011

Source : De The Associated Press

Grâce à un arrêt rendu par la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) le 28 avril, il n'est désormais plus possible pour la France d'emprisonner un étranger pour le seul motif qu'il s'est maintenu en situation irrégulière sur le territoire. La France campe sur ses positions.

Dans le monde associatif, la nouvelle est accueillie comme une petite révolution. A la Cimade, Alexandre Le Clev, responsable national des actions de l'organisation, explique :

« C'est une décision très importante : en considérant qu'une personne illégale ne peut être poursuivie pénalement pour cette seule raison, la CJUE établit clairement que ce n'est pas parce qu'on est sans-papiers qu'on est forcément délinquant. »

L'Italie rappelée à l'ordre, la France aussi concernée

Le premier pays visé par cet arrêt n'est pas la France mais l'Italie. Hassan el-Dridi, un ressortissant algérien arrivé illégalement dans la péninsule et passible de prison, a saisi la cour d'appel, laquelle a ensuite sollicité la CJUE.

L'Italie n'est cependant pas le seul pays à être dans la ligne de mire de la cour. En France, l'article L621-1 du code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile rend aussi possible l'incarcération d'un individu au seul titre de l'irrégularité de sa présence dans le pays.

Le L624-1, encore plus sévère, punit de trois ans de prison ceux qui se sont maintenus sur le territoire français après avoir reçu une injonction de quitter le pays. Selon Alexandre Leclev, ils seraient en France entre 3 000 et 4 000 derrière les barreaux pour cette raison.

C'est d'abord ce dernier article qui est remis en cause par la CJUE. La cour a cependant précisé que sa décision s'aplique à tous les Etats membres, et non seulement à l'Italie.

Le cas français, vraiment « suffisamment différent » ?

La France n'aura d'autre choix que de modifier son code pénal. Pourtant, le ministère de l'Intérieur et de l'Immigration n'est pour le moment pas décidé. Selon lui, le dispositif existant en droit français est « suffisamment différent ».

Jointe par téléphone, une employée du ministère déclare :

« En Italie, tout étranger en situation irrégulière est passible d'une peine d'emprisonnement, ce qui n'est pas le cas en France. Il peut y avoir incarcération seulement quand la personne doit quitter le territoire français mais s'y maintient. »

Le ministère a dû oublier de relire le code pénal puisque que l'article L621-1 prévoit bien un an de prison pour toute personne sans-papiers présente en France.

En ce qui concerne l'article français qui condamne, au même titre que l'Italie, une personne qui reste sur le territoire alors qu'elle a déjà été enjointe à le quitter, la réponse du ministère est tout aussi surprenante :

« La soustraction à une mesure d'éloignement constitue un comportement délibéré de fuite, de rébellion. »

C'est cette rébellion qui serait punie, selon le ministère.

Le projet de loi Besson, une chance de faire bouger les choses ?

L'examen du projet de loi Besson sur l'immigration, qui débute vendredi en commission mixte paritaire (CMP), pourrait cependant changer la donne. L'emprisonnement des étrangers illégaux ayant déjà eu une injonction de quitter la France est en effet réaffirmé dans le projet de loi. Joint par Rue89, François-Noël Buffet, rapporteur du texte au Sénat, souligne :

« Une analyse juridique doit être effectuée mais à mon avis, il est possible que cet article soit retiré du projet de loi. L'arrêt de la CJUE aura incontestablement des conséquences.

La CMP a en tout cas la possibilité de retirer l'article, il faut à présent en discuter pour savoir si cela doit être fait. »

Prisonniers libérés, étrangers privés de centres de rétention ?

Dès à présent, l'arrêt doit être appliqué. La CJUE demande aux juridictions de s'abstenir de prononcer des peines d'emprisonnement pour les étrangers illégaux pour ce motif.

Comme le qualifie Patrick Henriot, cet arrêt est un vrai « boulet de canon ». Selon le secrétaire national du Syndicat de la magistrature, la CJUE a déclaré que son arrêt était rétroactif :

« Au même titre qu'Hassan el-Dridi, dont la cour a exigé la libération, les personnes emprisonnées pour ce motif devraient être remises en liberté. »

Un autre problème de taille risque de se poser. La cour exige que les Etats ne placent les illégaux en centre de rétention qu'en cas extrême. Mais pour placer un individu en ce lieu, il faut avant tout le mettre en garde à vue.

Or, cela est possible seulement pour un motif qui est passible d'une peine d'emprisonnement – ce que la CJUE vient d'interdire.

La « directive retour » rappelle le droit des étrangers

Il se trouve que pour rendre cet arrêt, la cour se base sur le texte de la « directive retour », adoptée par le Parlement européen en 2008 et très décriée à l'époque. Dans sa lettre, la CJUE précise en effet que l'emprisonnement « risque de compromettre […] l'objectif poursuivi par la directive […] : l'instauration d'une politique efficace d'éloignement et de rapatriement des ressortissants de pays tiers en séjour irrégulier. »

Opposé depuis longtemps à la pénalisation de l'irrégularité des étrangers, Patrick Henriot remarque :

« C'est en effet la position volontariste et ferme de l'UE en matière d'éloignement des étrangers illégaux qui fait obstacle à la détention des étrangers en situation irrégulière pour ce motif ! »

Nuancé, le magistrat rappelle tout de même que l'arrêt met aussi en lumière les aspects protecteurs de la directive :

« Elle rappelle que les mesures prises envers les étrangers sans-papiers doivent être graduelles et leurs droits fondamentaux respectés. »

5/5/2011, Marie Kostrz 

Source : Rue89 

 

 Tout est parti d'une "envie un peu folle et généreuse", comme le résume Marie Rennes. "Un petit groupe de femmes a voulu essayer de changer le regard que l'on pouvait porter sur l'immigration, en démontrant que celle-ci a enrichi notre patrimoine culturel commun", poursuit la présidente de la Maison des Potes de Narbonne. L'idée a donné naissance au "Mois des richesses de l'immigration et de la diversité", dont la 7e édition débute aujourd'hui et se poursuivra jusqu'au 29 mai.

"Le rendez-vous est monté en puissance au fil des ans", précise la responsable. Un rapide coup d'oeil au programme de ce cru 2011 suffit pour s'en convaincre. Expos, visites, conférences, cinéma, spectacles, concerts, soirées (lire ci-contre)… Autant d'initiatives pour découvrir l'autre, et cultiver le vivre ensemble. "C'est un principe que nous défendons avec force", insiste Marie Rennes. "Le vivre ensemble ne se décrète pas : il se construit au quotidien, au fil des rencontres, des échanges et des actions en commun". En la matière, deux temps forts sont à mettre en exergue. Le premier est une conférence programmée le 27 mai à la Maison des Services : "Comment vivre ensemble avec nos différences dans une République laïque et démocratique ?" Le rendez-vous sera animé par Rachid Benzine, chargé de cours au Master "religions et société" de l'IEP d'Aix.

Mais d'abord et surtout, les Narbonnais sont invités à participer à la Fête de la Diversité qui se déroulera dimanche 22 mai sur la place de l'Hôtel-de-Ville. "Il s'agit ici encore de favoriser la rencontre de personnes d'origines culturelles et sociales différentes", indique Yann Rudent, le directeur de la Maison des Potes. "Nous voulons mettre en place un moment privilégié, ouvert à toutes les différences". Après six éditions au succès grandissant, peut-on dire aujourd'hui que ce "Mois" pas comme les autres commence à porter ses fruits ? "C'est difficile à quantifier", tempère Marie Rennes. « On ne va pas dire que l'on vit mieux dans les quartiers depuis que ce rendez-vous existe ! La paupérisation et les gens en difficulté sont toujours là ! En revanche, cette manifestation prouve que l'envie de s'ouvrir à l'autre est bien réelle. C'est sur ce créneau que l'on gagne et qu'on progresse !" Yann Rudent confirme : "L'autre objectif de l'événement, c'est de fédérer les diverses associations narbonnaises sensibles à la diversité, et de montrer que plein de monde se mobilise sur ce thème". A ce jour, les partenaires de la Maison des Potes ont toujours rempilé. C'est forcément bon signe.

9 mai 2011 , Lionel Ormières

Source : L’Indépendant

 

L’Europe est-elle condamnée à ouvrir ses portes aux flux migratoires en provenance de la rive sud de la Méditerranée à long terme ? La réalité économique et les défis futurs qui guettent l’Union européenne sont loin de démentir cette tendance. Le consensus sur la gestion des flux migratoires est plus qu’une nécessité pour les deux parties afin de sauvegarder la pérennité des domaines où la coopération est sur le point de se renforcer, comme les volets économique et commercial.

Mis en place en 2010 par la Commission européenne pour se pencher sur les perspectives géopolitiques euro-méditerranéennes à l’horizon 2030, un groupe d’experts, spécialisés dans divers domaines, (économie, politique), vient de mettre au point un rapport détaillé qui fait ressortir de nombreux éléments qui concourent à un rapprochement inévitable entre le nord et le sud de la Méditerranée.    
Au volet relatif à l’évolution démographique dans la région, le rapport souligne : «La population des pays actuellement membres de l’Union européenne restera en 2030 pratiquement à son niveau actuel (500 millions d’habitants). Cependant, du fait de son vieillissement, elle perdra 20 millions d’actifs dans les tranches d’âge de 15 à 65 ans, ce qui posera des problèmes aigus notamment pour le financement des systèmes sociaux.

Celle des pays du sud et de l’est de la Méditerranée, particulièrement jeune aujourd’hui, passera dans le même temps de près de 300 millions à 370 millions. La tranche d’âge de 15 à 65 ans croîtra d’environ 55 millions».

Pour compenser le déficit en main-d’œuvre qu’induira le ralentissement de la croissance démographique au niveau local, les pays européens devront s’ouvrir à l’émigration, déduit ce groupe d’experts qui suggère, au chapitre des propositions qui ont été formulées pour la transition, la mise en place d’«une politique d’immigration visant à un meilleur accueil et à une meilleure intégration des immigrés – tout en reconnaissant les préoccupations légitimes des pays hôtes.

Cela serait de nature à réduire l’impact des pratiques politiques essentiellement électoralistes et démagogiques». Les flux migratoires sont appelés en tout cas à s’accentuer vers le Nord à la faveur de la croissance démographique dans les pays du sud méditerranéens où, estiment ces experts, «le développement économique des pays du sud et de l’est de la Méditerranée ne suffira pas à créer des emplois dans la même proportion – alors même que le taux de participation au marché du travail y est déjà faible et que le besoin d’emploi devrait être accentué par un désir accru de participation des femmes».

Pour une meilleure régulation de transfert de la main-d’œuvre des pays du Sud vers le Nord, le même document suggère une sorte de solution pratique en soulignant qu’ «il y a là un facteur de complémentarité entre le besoin européen de travailleurs actifs et le besoin d’emploi du sud et de l’est de la Méditerranée, pour peu qu’on renonce à la peur de l’immigration et que des efforts soient mis en oeuvre pour résoudre les problèmes objectifs qu’elle peut poser».

Le consensus sur la gestion des flux migratoires est plus qu’une nécessité pour les deux parties afin de sauvegarder la pérennité des domaines où la coopération est sur le point de se renforcer, comme les volets économique et commercial où, souligne le rapport sur l’Euromed 2030, «les intérêts mutuels sont à l’évidence forts : l’Union européenne est, de loin, le premier partenaire commercial de nombreux pays méditerranéens et le restera malgré la montée en puissance d’autres acteurs du commerce mondial.

Appuyer la transition démocratique

L’un des objectifs majeurs du Processus de Barcelone était de constituer une zone euro-méditerranéenne de libre-échange et de développer les échanges commerciaux – les résultats observés actuellement sont modestes, mais le potentiel est bien réel». Les vulnérabilités auxquelles sont confrontées les économies des deux rives, elles aussi, nécessitent le rapprochement entre le Nord et le Sud.Pour relever le défi énergétique, le document requiert la nécessité de «renforcer les réseaux d’approvisionnement à travers la Méditerranée, pétrole, gaz et électricité par des réseaux interconnectés, d’améliorer l’usage efficace de l’énergie, (jusqu’à présent cela n’a pas constitué une priorité sur les rives méridionale et orientale, où des politiques d’énergie subventionnée ont des effets pervers à la fois sur le développement économique et sur le plan social, les subventions profitant en réalité davantage aux plus riches qu’aux plus pauvres) et d’exploiter le potentiel considérable d’énergies renouvelables, notamment solaire, des pays de la région ».

Dans le domaine politique, les experts qui ont élaboré le rapport Euromed 2030, suggèrent à la Commission européenne plus d’implication dans la promotion de la démocratie dans les pays du sud. Il y est noté, à cet effet : «Du côté du Sud et Est, où certains régimes autoritaires en place peuvent constituer en eux-mêmes un frein, il faut soutenir l’évolution profonde des sociétés orientées vers l’ouverture. L’Union européenne ne peut pas et ne doit pas chercher à pousser elle-même hors du pouvoir ceux qui le détiennent, mais elle peut accompagner les mouvements sociétaux endogènes qui le permettront un jour».

En conséquence, Bruxelles tiendra-t-elle compte de cette recommandation en s’impliquant davantage dans les mutations profondes que traverse actuellement la rive sud avec les mouvements révolutionnaires qui ont tendance à n’épargner aucun régime despotique ?        

9/5/2011, Mohamed Naili

Source : El Watane

Ce lundi, l’assemblée nationale discutera d’un texte sur l’immigration - un de plus. Il s’agit cette fois de réduire le nombre d’étrangers venant se faire soigner en France, et de rendre plus efficaces les procédures d’expulsion des illégaux.

Depuis des mois, le débat politique français est dominé par les questions de l’immigration, de l’identité nationale et de l’islam. Les Français «ne se sentent plus chez eux», a expliqué le ministre de l’Intérieur Claude Guéant, qui veut limiter l’immigration légale par un système de quotas ne disant pas son nom.

L’Europe est au diapason. Jeudi, les ministres de l’Intérieur se réunissent à Bruxelles pour discuter du sort à réserver aux Tunisiens débarquant en Italie depuis la Révolution de Jasmin. La tendance est à une redécouverte des frontières intérieures à l’Union, à rebours de l’ouverture imposée par le traité de Schengen.

C’est la conséquence d’une poussée de populisme en Europe, qui se traduit d’ailleurs dans les urnes, expliquent les politologues: le Front national aux dernières cantonales en France, les Vrais Finlandais qui entrent dans le gouvernement de leur pays, sans parler de la Belgique, du Danemark, etc.

Et pas qu’en Europe, rectifie Nicolas Sarkozy, citant dans un entretien récent à «L’Express» les «Tea parties» aux Etats-Unis et Chavez au Venezuela: «La mondialisation a renforcé le besoin d’enracinement», commente le Président.

C’est dans ce contexte très lourd qu’intervient l’affaire des quotas du football. Et comment pouvait-il en être autrement, dans le sport qui est à la fois le plus mondialisé et le plus identitaire ?

8/5/2011, Francis Brochet

Source : Le Progrès

Le dernier plat concocté par Fatema Hal est plus littéraire que culinaire. L'ambassadrice de l'art culinaire marocain en France vient d'éditer «Fille des frontières» chez Philippe Rey…Suite

 

Les Etats devront débattre d'un projet qui met à mal un pilier de la construction européenne…Suite

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