Tessa et Yamila nous racontent la genèse de leur histoire, comment elles ont mené, chacune à sa manière, leur combat pour l’éligalité des chances, la participation politique et l’affirmation de leurs convictions.
Je hais l’amour est, à la fois, une carte d’identité poétique et la biographie d’un émigré moderne. Un recueil écrit dans un esprit rebelle : un mouvement contre la poésie classique, contre l’amour et contre un monde de plus en plus « macdonaldisé ».
Le processus d'enracinement de l'islam dans les pays européens, marqués par une « laïcité culturelle » et l'émergence de nouvelles générations de musulmans européens réactive le débat sur le statut juridique de l'islam en Europe.
Cette Anthologie des écrivains marocains de l’émigration composée par le romancier et critique littéraire Salim Jay fait son écho à son Dictionnaire des écrivains marocains ( Eddif/Paris-Méditerranée, 2005). Vous trouverez dans cette anthologie matière à admiration et à réflexion.
Le congrès de recherches féministes francophones « Le féminisme face aux défis du multiculturalisme » a pour but de débattre la question des inégalités en droits et des discriminations subies par les femmes comme l’un des griefs les plus importants contre l’idée d’octroyer aux groupes culturels la liberté de vivre conformément à leurs valeurs culturelles et pratiques.
"Rebeu un jour, rêveur toujours. On croit qu'il suffit de s'intégrer parfaitement, professionnellement, matrimonialement, pour avoir droit à la sérénité.
Les actes du colloque international sous le théme « Migrations, droits humains et développement », organisé par la Cellule d’Etudes des Relations Internationales du Maroc (CERIM), transformée en Laboratoire d’Etudes et de Recherches Internationales (LERIM), en partenariat avec The Refugee Studies Center at the University of Oxford et le British Council Higher Education Link Scheme (Rabat) les 16 et 17 mars 2006, sont publiés dans le numéro 15 de la Revue Marocaine d’Etudes Internationales (REMEI) avec le concours du Conseil de la Communauté Marocaine à l’Etranger (CCME).
Tout comme l’opinion publique et l’administration marocaine, les récents incidents de Tanger, impliquant des citoyens marocains et des migrants subsahariens…Suite
Ces retraités franco-marocains se sont mobilisés depuis cet été pour éviter l'expulsion de leur hôtel meublé parisien.
Un total de 14.219 immigrés espagnols se sont installés en Argentine lors des dix dernières années, occupant ainsi la première place quant au nombre d'expatriés européens établis dans ce pays d'Amérique du Sud, a rapporté lundi l'agence de presse argentine Télam.
Pour aider les migrants qui tentent d'entrer clandestinement aux Etats-Unis, une association, "Les anges de la frontière", cache des bouteilles d'eau dans les zones désertiques frontalières.
La musique marocaine dans sa richesse et son authenticité a été bien représentée au World music festival de Copenhague (3 au 7 septembre), un rendez-vous annuel phare du calendrier artistique de la capitale danoise.
Le think tank américain Pew Research Center a récemment publié une étude mettant en évidence 7 traits majeurs des migrations internationales de 1990 à 2013. Celle-ci rappelle tout d’abord que depuis que les premiers hommes modernes (descendants des Homo Sapiens archaïques), nos ancêtres, ont quitté l’Afrique il y a de cela 60.000 ans au moins, de nombreuses migrations de population eurent lieu, et ce malgré l’affirmation des Etats et leur établissement de frontières.
La Chine est actuellement le théâtre d’un vaste mouvement d’émigration qui concerne notamment beaucoup de Chinois aisés. Cette tendance sans précédent inquiète, et pour plusieurs raisons, les autorités locales.
Dans le port de pêche sicilien de Mazara del Vallo, les chalutiers partent pour près d’un mois en haute mer, parfois au large des côtes tunisiennes ou libyennes. Ils se retrouvent alors en première ligne face aux bateaux de migrants qui tentent de rejoindre l’Europe. Et n’hésitent pas à sauver les vivants et à ramener à terre les corps de ceux morts pendant la traversée.
Les conservateurs ont fait de la reconnaissance des titres de compétences des nouveaux arrivants l'une de leur priorité, mais les immigrants ont déclaré lors d'une recherche commandée par le gouvernement qu'ils faisaient face à des «obstacles majeurs» les empêchant de dénicher un emploi même quand leurs compétences sont reconnues.
Les six ex-grévistes de la faim avaient été arrêtés le 30 août par les autorités marocaines.
Retenus dans le sous-sol de l’aéroport Mohammed V de Casablanca depuis mardi dernier, six subsahariens arrêtés à Tanger, ont finalement été libérés grâce aux efforts conjoints des associations de défense des migrants et du Centre national des droits de l’homme (CNDH).
Parmi les 25 migrants raflés samedi 30 août à Tanger, suite à la mort du Sénégalais Charles Ndour dans un climat de violences racistes, six ont refusé d’être expulsés vers leurs pays d’origine. Ces six subsahariens, quatre camerounais, un Nigérian et un Nigérien, refusaient la décision administrative de les expulser, sans pouvoir faire appel comme l’autorise la loi.
Ils avaient donc entamé une grève de la faim, mercredi dernier, afin de dénoncer les pressions qu’ils subissaient pour quitter le territoire marocain.
Les associations de défense des migrants, comme le Groupe antiraciste d’accompagnement et de défense des étrangers et des migrants (Gadem), se sont mobilisés afin que ces six hommes ne soient pas séparés de leur famille et que la loi sur les expulsions de migrants soit respectée. Finalement, les autorités marocaines ont fait volte-face et les six subsahariens ont été libérés dans la journée de samedi.
Les 19 autres migrants arrêtés à Tanger avaient quant à eux, été expulsés dans la journée du mardi.
Parmi eux, le cousin de Charles Ndour, présent au moment de sa mort, et dont le témoignage aurait permis de faire toute la lumière sur ce qui s’est réellement passé ce vendredi 29 septembre dans le quartier de Boukhalef.
9/9/2014
Source : aufait.ma
Le nouveau haut-commissaire de l'ONU aux droits de l'homme, le Prince jordanien Zeid Ra'ad Al Hussein, a dénoncé la détention arbitraire et les expulsions de bateaux de demandeurs d'asile.
S’il y a des enseignements à tirer des deux fêtes organisées par les marocain(e)s du Canada pour célébrer Aïd El Fitr et la fête du trône, c’est d’abord cette vitalité, cet entrain et cette grande capacité de mobilisation dont vient de faire preuve la communauté MRE d’ici ! 15.000 ? 30.000 ? Qu’importe les chiffres! Et Il y a de quoi être fier de son appartenance, au Maroc, au Canada et au Québec !
Les promoteurs et les agents immobiliers disent avoir reçu beaucoup de visites de ressortissants marocains mais très peu se sont décidés à achter…Suite
- Communiqué du CCME à l'issue de la séance de travail sur la révision du code de la famille présidée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI
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