mardi 19 novembre 2024 00:23

Le ministère chargé des Marocains résidant à l'étranger a lancé, jeudi soir à Casablanca, une plateforme virtuelle dédiée aux compétences marocaines du monde baptisée "MAGHRIBCOM" (www.maghribcom.gov.ma).

Cette plateforme, lancée sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI, se veut une passerelle interactive qui met en relation les acteurs institutionnels, économiques et sociaux du Maroc avec l'expertise, le savoir et le savoir-faire des citoyens marocains ayant choisi l'émigration comme projet de vie ou de carrière, a souligné le ministre délégué chargé des Marocains résidant à l'étranger, Abdellatif Maazouz.

"MAGHRIBCOM" a l'ambition de servir de cadre formel de mise en circulation de l'information en termes d'opportunités d'affaires, de collaboration ponctuelle, d'investissement ou d'emploi, a-t-il indiqué, notant que son objectif est de servir de tremplin pour établir des partenariats gagnant-gagnant entre les opérateurs économiques, les universités et les institutions de recherche au Maroc et les compétences marocaines résidant, de manière temporaire ou permanente, à l'étranger.

Ouverte à différents secteurs d'activités (techniques, scientifiques, industrielles, agricoles, commerciales, sociales, culturelles, artistiques, sportives...), cette plateforme se donne comme objectif prioritaire de canaliser des compétences marocaines là où elles se trouvent, et de mettre à leur disposition les moyens de contribuer directement au développement intégré et durable du Maroc, tout en confortant leur insertion dans les pays d'accueil.

La mise en place de "MAGHRIBCOM" répond aussi au besoin d'un Maroc en grande mutation, a-t-il dit, soulignant qu'elle intervient dans un contexte national et international caractérisé par une compétition internationale sur le marché des compétences dans lequel la mobilité des talents tend à devenir une règle de son fonctionnement.

"MAGHRIBCOM", qui devrait assurer un cadre de collaboration et de partenariat interactif entre les Marocains du monde et les acteurs publics et privés marocains, fonctionne comme un réseau social où se rencontrent virtuellement (à travers la toile) les acteurs nationaux (Etat, entreprises publiques et privées et associations) établis au Maroc et les compétences marocaines vivant en terre d'émigration.

L'approche ayant présidé à la mise en place de cette plateforme s'articule autour de quatre axes, à savoir identifier et segmenter la demande marocaine en compétences pour chacun des secteurs répertoriés, accompagner et encadrer les réseaux thématiques ou géographiques de compétences, inscrire les projets (actuels ou futurs) et mobiliser les moyens humains et logistiques pour la mise en Âœuvre de la politique globale d'intégration des compétences.

Les Marocains résidant à l'étranger constituent une communauté d'environ 5 millions de personnes, a indiqué le ministre, ajoutant que différents horizons professionnels caractérisent l'expertise et l'expérience acquises par cette communauté, qui peuvent être mises au service du développement global du Maroc moderne.

Et de préconiser que "MAGHRIBCOM" permettra aussi aux pouvoirs publics de mieux connaître le potentiel de ses citoyens de l'étranger, à l'entreprise marocaine de mieux identifier et utiliser les compétences émigrées, aux Marocains de l'étranger de cerner le marché de l'offre et de la demande dans leur pays en termes de profils et de projets.

31 janv. 2013

Source : MAP

Le ministère chargé des marocains résidant à l'étranger a signé, jeudi soir à Casablanca, trois conventions avec la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM), l'Université Al Akhawayn et l'Université Internationale de Rabat et ce pour la mise en Âœuvre du site électronique "MAGHRIBCOM".

Ces conventions ont été paraphées par le ministre délégué chargé des marocains résidant à l'étranger, Abdellatif Maâzouz, le vice-président de la CGEM, Salaheddine Kadmiri, le président de l'Université Al Akhawayn, Driss Ouaouicha et le président de l'Université Internationale de Rabat, Noureddine Mouaddeb.

Ces trois conventions définissent les rôles et les responsabilités de chaque partie dans la mise en Âœuvre du site "MAGHRIBCOM" (www.maghribcom.gov.ma) à travers une action de contact et d'établissement de relations entre la demande et l'offre des compétences.

Le ministère s'engage notamment à développer une base de données des compétences marocaines résidant à l'étranger, administrer la base de données de la demande potentielle de différents acteurs publics et privés ainsi qu'élaborer et mettre en application la stratégie de communication de "MAGHRIBCOM".

La CGEM, pour sa part, s'engage notamment à diffuser l'information sur "MAGHRIBCOM" à l'ensemble des membres de la Confédération, à diffuser le matériel promotionnel de la plateforme et fournir les coordonnées des présidents de fédérations affiliés à la CGEM en vue d'établir un contact direct entre le ministère et les fédérations concernées.

L'université Al Akhawayn se prête, entre autres, à effectuer des activités, des projets et des formations pour les MRE, particulièrement les jeunes, pour préserver leur identité culturelle et leur lien avec le pays d'origine alors que l'Université Internationale de Rabat, quant à elle, s'engage particulièrement à renforcer les relations des compétences marocaines résidant à l'étranger afin de contribuer au développement économique et social du Royaume, organiser des rencontres et des conférences pour vulgariser le site "MAGHRIBCOM" ou encore mettre en Âœuvre un cadre général pour collaborer avec le ministère chargé des MRE, le but étant de promouvoir notamment les études et la recherche scientifique.

A rappeler que ces conventions ont été signées à l'issue du lancement, jeudi soir, de la plateforme virtuelle de mobilisation des compétences marocaines du monde "MAGHRIBCOM" par le ministère charges des MRE

01 févr. 2013

Source : MAP

Abdellatif Maazouz a donné, hier jeudi, le coup d'envoi à «Maghribcorn », un site web destiné au Marocains résidant à l'étranger (MRE). L'objectif est de leur donner plus de visibilité sur les offres du marché de l'emploi national et sur les opportunités d’investissement dans leur pays d'origine…Suite

Les comptes en dirhams convertibles gardent oujours leur attrait auprès des Marocains résidents à l'étranger (MRE), mais sont légèrement en perte de vitesse chez les exportateurs de bien et services. D'après les derniers chiffres communiqués par l'Office de change à La Vie éco, ils ont été quelque 136 756 MRE à disposer de ce type de comptes à fin septembre 2012 contre 132939 en 2011…Suite

Les étrangers installés au Maroc devront à l'avenir fournir un certificat médical et un casier judiciaire pour pouvoir renouveler leur titre de séjour annuel au Maroc.

L’expression «féministe musuLmane » peut sembler paradoxale à un grand nombre de personnes du fait de la tendance des médias à représenter les musulmanes en victimes…Suite

Maghreb TV, la chaîne destinée à la communauté maghrébine de Bruxelles, lancée il y a deux ans et disponible à Bruxelles via Belgacom TV et canal 297, est désormais captée, depuis le mardi 29 janvier 2013, via le câblo-distributeur flamand Telenet, actif à Bruxelles.

Présent sur huit des dix-neuf communes de la Ville de Bruxelles, Telenet offre déjà dans ses bouquets la possibilité de capter des chaînes en langue arabe, notamment des chaînes marocaines.

Le directeur de Maghreb TV, Mohamed Tijjini, a annoncé que Maghreb TV sera proposée sur les autres cablos bruxellois, Numericable et VOO, avant fin 2013.

1/2/2013

Source : CCME

Le ministère chargé des Marocains résidant à l’étranger a lancé, le 31 janvier 2013, à Casablanca, une plateforme virtuelle dédiée aux compétences marocaines du monde baptisée “MAGHRIBCOM”. Cette plateforme, lancée sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI, se veut une passerelle interactive qui met en relation les acteurs institutionnels, économiques et sociaux du Maroc avec l’expertise, le savoir et le savoir-faire des citoyens marocains ayant choisi l’émigration comme projet de vie ou de carrière, a souligné le ministre délégué chargé des Marocains résidant à l’étranger, Abdellatif Maazouz.

“MAGHRIBCOM” a l’ambition de servir de cadre formel de mise en circulation de l’information en termes d’opportunités d’affaires, de collaboration ponctuelle, d’investissement ou d’emploi, a-t-il indiqué, notant que son objectif est de servir de tremplin pour établir des partenariats gagnant-gagnant entre les opérateurs économiques, les universités et les institutions de recherche au Maroc et les compétences marocaines résidant, de manière temporaire ou permanente, à l’étranger.

Il s’agit notamment de rassembler sur la même plateforme les informations relatives aux plans et programmes nationaux en œuvre au Maroc, aux opportunités d’affaires et d’investissements, au programme de mobilisation de compétences mis en œuvre par le MCMRE en partenariat avec les différents acteurs nationaux, les pays d’accueil et les réseaux de compétences.

Cette plateforme permet également l’accès facile aux guides pratiques et aux annuaires thématiques ou géographiques élaborés par le Ministère et ses partenaires.

1/2/2013

Source : Maroc-Canad info

La fermeture de bureaux de traitement des demandes d'immigration du Canada se poursuit avec celle, annoncée discrètement lundi, des bureaux de Detroit, Seattle et Caracas.

Cette annonce a été faite sur le site web du ministère fédéral de l'Immigration, le jour même où quelques dizaines de personnes manifestaient devant le parlement contre les retards importants occasionnés par la fermeture du bureau de Buffalo, en mai.

Près de 10 000 demandeurs attendent depuis plus d'un an une réponse à leur demande de résidence permanente, selon les chiffres fournis par un groupe qui se fait appeler Les Oubliés de Buffalo. Les Oubliés se plaignent des nombreux inconvénients occasionnés par ces délais inhabituels, dont le fait d'être forcé de retourner dans leur pays d'origine ou de ne pas pouvoir travailler. Près de 2000 avaient été présélectionnés par le Québec.

Difficile transition

Le ministre de l'Immigration, Jason Kenney, a annoncé une restructuration de certaines sections du Ministère dans la foulée des compressions budgétaires imposées à l'ensemble de l'appareil fédéral. Cette restructuration entraîne l'abolition de dizaines de postes, la mise sur pied d'un nouveau système informatique et la fermeture de bureaux de traitement des demandes d'immigration.

Or, depuis plusieurs mois, de nombreux demandeurs et intervenants en matière d'immigration se plaignent des retards de traitement ainsi que du manque de cohésion, de transparence et d'accessibilité du nouveau système. Des visas d'immigration ont même été délivrés par erreur, ce qui a forcé le ministre Kenney à intervenir en faveur des personnes touchées.

Ainsi, le NPD craint que la situation de Buffalo ne se répète avec ces nouvelles fermetures. «Cette décision est un autre exemple de la mauvaise gestion du ministre de l'Immigration. Le ministre doit révéler son plan aux demandeurs dans l'attente et dans l'incertitude afin que le cafouillage de Buffalo ne se répète pas», a déclaré la porte-parole adjointe du NPD en matière d'immigration, Sadia Groguhé, dans un communiqué de presse.

Le communiqué de presse d'Immigration Canada précise aussi que certains services ne seront plus rendus au bureau d'immigration de l'ambassade de Washington et que des postes seraient abolis à Sydney, en Australie.

Au bureau du ministre Kenney, on a confirmé que plusieurs des dossiers actuellement traités dans les bureaux touchés seront confiés à un centre de traitement «pilote» à Ottawa, là même où ont abouti ceux des Oubliés de Buffalo.

On affirme que ces fermetures sont nécessaires, d'une part, pour rapatrier des emplois au Canada et, d'autre part, parce que le gros des dossiers est maintenant rempli de manière électronique. Malgré certaines difficultés observées dans les derniers mois, le nouveau système deviendra plus efficace, plus rapide et plus économique que l'ancien, soutient le Ministère.

«Ce que le NPD dit vraiment, c'est qu'il est contre les emplois pour les Canadiens et contre le fait de fournir un service plus efficace et plus rapide aux visiteurs et aux nouveaux arrivants», a tranché l'attachée de presse de M. Kenney, Alexis Pavlich.

31/1/2013, Hugo de Grandpré

Source : La Presse.ca

Selon un sondage CBS, 51 % des Américains sont favorables à l'idée d'offrir un chemin vers la naturalisation aux clandestins. Mais cette proportion n'est que de 35 % chez les républicains.

La nécessité d'une réforme du système d'immigration américain suscite un rare consensus au sein des partis républicain et démocrate, mais ce dossier doit encore franchir des obstacles qui ont été fatals à de précédentes tentatives.

Tant le président Barack Obama que ses adversaires au Congrès ont poussé ces dernières semaines pour une telle réforme, des conservateurs ayant réalisé que leur opposition stricte à la régularisation de clandestins leur avait coûté cher dans les urnes en novembre : 71 % des Hispaniques ont choisi M. Obama face au républicain Mitt Romney.

«Il est rare de voir Washington bouger plus vite qu'attendu», remarque Ali Noorani, directeur du «National Immigration Forum», un groupe militant pour une réforme du système d'immigration. «Maintenant, la question n'est pas de savoir quand le processus va démarrer, mais à quelle vitesse il va aller», explique-t-il.

M. Obama a présenté mardi ses principes pour faire «sortir de l'ombre» les quelque 11 millions de personnes vivant illégalement aux États-Unis, au lendemain de la présentation d'un plan assez similaire par huit sénateurs, quatre républicains et quatre démocrates.

Mais malgré ce mouvement, le destin de tels plans au Congrès reste encore flou, des questions ayant fait échouer une tentative précédente en 2007 sous George W. Bush restant encore non résolues.

Par exemple, le plan des sénateurs conditionne un éventuel processus de naturalisation pour les clandestins à un renforcement de la sécurité aux frontières, une façon d'apaiser les élus les plus conservateurs, hostiles à toute législation qui pourrait ressembler à une «amnistie».

Une partie serrée pour les républicains

M. Obama a reconnu que ce débat allait susciter des «passions». Mais «nous ne pouvons pas laisser la réforme de l'immigration s'enliser dans un débat sans fin», a-t-il aussi prévenu.

De leur côté, les républicains jouent une partie serrée, à l'image de l'une de leurs étoiles montantes, le sénateur Marco Rubio. Membre du groupe des huit, il est proche du mouvement ultra-conservateur Tea Party et nourrit de possibles ambitions pour la présidentielle de 2016.

Ce descendant de Cubains sait aussi qu'une victoire républicaine dans quatre ans s'obtiendrait en récupérant une partie des votes des minorités, et que soutenir une réforme de l'immigration pourrait s'avérer payant.

Pour Brad Bailey, dirigeant du groupe «Texas Immigration Solution» d'obédience républicaine, il «ne pourrait y avoir de meilleur porte-parole à ce sujet du côté droit de l'échiquier politique» que M. Rubio.

«Beaucoup de gens dans notre parti sont ouverts à l'idée de solutions sur l'immigration, plutôt qu'à de grandes phrases», assure-t-il.

La Chambre des représentants dominée par les républicains, qui devra approuver une réforme dans les mêmes termes que le Sénat aux mains des démocrates, risque pourtant de poser problème. Des conservateurs, menacés par d'éventuelles primaires en vue des législatives de 2014, pourraient refuser un vote dangereux pour eux.

Selon un sondage CBS, 51 % des Américains sont favorables à l'idée d'offrir un chemin vers la naturalisation aux clandestins. Mais cette proportion n'est que de 35 % chez les républicains.

Toutefois, les arguments de M. Rubio en faveur d'une réforme et les dividendes électoraux à en attendre semblent avoir séduit certains influents commentateurs de radio, qui avaient au contraire milité contre la remise à plat du système en 2007.

«Certains énumèrent le nombre de façons dont nous pourrions manquer les objectifs» d'une réforme, remarque M. Noorani. «Mais le débat n'est pas le même qu'en 2007», constate-t-il.

31/1/2013, Stephen COLLINSON

Source : Agence France-Presse

En partenariat avec l’Association de Prévention du Site de la Villette (APSV), l'association Ancrages présente du 7 au 21 février l’exposition « Ici, là bas. La sociologie de l’émigration – immigration » et propose ainsi d'ouvrir le débat sur les questions de transmission, d’appropriation et de référence à la pensée d’Abdelmalek Sayad.

Comment la sociologie participe-t-elle à valoriser les différents apports des immigrés à la Nation ? Quel traitement permet-elle en complément des mises en perspectives historiques et de l’approche géographiques ? Quelles ont été les apports de cette sociologie et comment intégrer davantage ces apports pour produire les contre feux du discours médiatique et politique sur les migrations ?

Voici quelques pistes pour révéler au grand public les enjeux de la pensée d’Abdelmalek Sayad, au moment où les migrations internationales sont présentées comme un enjeu majeur tout en donnant lieu à de nombreuses controverses.

Pour l'association Ancrages, il s’agit de défendre des approches qui intègrent une mise en réflexion des demandes sociales de mémoire : à quel moment émergent-elles ? Sous quelles formes ? commet les co-fabriquer, les mettre en partage ici et là-bas ?

« Les sociétés d’accueil et d’origine devraient avoir à cœur toutes les deux, d’intégrer à leur propre histoire, la part qui leur revient respectivement dans la relation qui les lie l’une à l’autre et d’accepter cette part d’histoire, en toute connaissance de cause, sans aucun complexe, ni sentiment de honte ou de culpabilité. », Abdelmalek SAYAD (1933-1998), sociologue.

Le vernissage de l'exposition aura lieu le jeudi 07 février à 18h30. A 19h se tiendra une table-ronde sur « Apports et actualités de la pensée d’Abdelmalek Sayad » avec la participation de Saïd Belguidoum, sociologue, maître de conférences à l’Université d’Aix-Marseille Université, Yves Jammet, coordinateur formation à l’association de prévention du site de la Villette et Samia Chabani, déléguée générale de l’association Ancrages…En savoi plus

Publié aux éditions L’Harmattan, en janvier 2013, l’ouvrage Migrants solidaires, destins jumelés ? Pratiques et coopérations transnationales est le fruit de réflexions de Clémence Aschenbroich et Altay Manço.

Les auteurs essaient de disséquer les comportements et les mouvements d'entraide parmi les migrants installés en Belgique. Ils affirment que « les études présentées envisagent la solidarité dans un contexte d'émigration/immigration comme moteur d'une dynamique sur deux ou plusieurs espaces. Les initiatives ciblent principalement des projets qui lient la Belgique à l'Afrique à travers les efforts des migrants, dans un contexte comparatif international ».

31/1/2013

Source: CCME

Organisée depuis 20 ans, l’élection du « Bruxellois de l’année » aspire à « mettre en valeur des femmes, des hommes qui, dans leur domaine et par leur action, ont contribué au rayonnement de la Région de Bruxelles-Capitale ». Les habitants de Bruxelles votent pour leur personnalité préférée dans cinq catégories : politique, société, économie, culture et sport. Un événement organisé par des médias de la capitale de l’Europe, à savoir Vlan Bruxelles, La Capitale, Télé Bruxelles et la radio Vivacité.

Les lauréats de l’année 2012 ont été dévoilés et récompensés lors d’une grande soirée, mercredi 30 janvier 2013, à Bruxelles.

Nominée dans la catégorie Culture, la pièce de théâtre « La vie c’est comme un arbre » a été doublement primée : elle a eu le prix dans la catégorie Culture, et a été plébiscitée par plus de 8000 voix comme Bruxellois de l’année 2012.

La pièce est produite par les « Voyageurs sans bagages », une troupe composée en grande majorité d’artistes d’origine marocaine (Issam Akkel, Mohamed Ouachen, Rachid Hirchi, Ilyas Mettioui, Omar Meloul …), menés par le metteur en scène Belgo-marocain Mohamed Allouchi.

« La vie c’est comme un arbre » est le succès théâtral par excellence de l’année 2012, avec des représentations à guichet fermé durant plusieurs semaines. Elle relate l’histoire de trois jeunes marocains qui quittent Tanger en 1964 pour immigrer en Belgique. Un regard emprunt de comédie sur l’histoire de l’immigration marocaine en Belgique.

La pièce a reçu le soutien du CCME pour son unique présentation au Maroc, au théâtre National Mohammed V de Rabat, le 10 mai 2012.

31/1/2013

Source: CCME

 

Le Conseil national des Marocains du Sénégal (CNMS) organise le 9 février à Dakar, en collaboration avec le Forum social sénégalais, une rencontre sur la migration entre les pays de la Cédéao et le Maghreb…Suite

«Nous sommes très vigilants quant à la sauvegarde des droits des Marocains résidant à l’étranger »…Suite

Le gouvernement britannique a annoncé, mercredi, son intention de durcir la procédure d'octroi de visa aux entrepreneurs étrangers désirant s'installer dans le pays.

"Les règles destinées à encourager les investisseurs à s'installer dans le Royaume-Uni font l'objet d'abus et doivent être durcies", a indiqué le ministre chargé de l'immigration, Mark Harper.

Les autorités britanniques devront procéder à une nouvelle évaluation de ces règles, a dit le responsable.

Les nouvelles mesures entreront en vigueur à partir de jeudi, a fait savoir M. Harper dans une déclaration aux Communes (chambre basse du parlement), ajoutant que les règles mises en place dans ce sens en 2011 ont conduit à une hausse du nombre de demandes de visa faites par des entrepreneurs étrangers.

30 janv. 2013

Source : MAP

Le Ministre délégué auprès du Chef de Gouvernement Chargé des Marocains Résidant à l'étranger, Abdellatif Mâzouz, s'est entretenu, mercredi à Rabat, avec la ministre déléguée chargée des Sénégalais de l'Extérieur, Seynabou Gaye Touré des questions intéressant les ressortissants des deux pays établis à l'étranger.

Dans une déclaration à la presse, M Mazouz, a fait savoir que cette rencontre rentre dans le cadre de l'échange d'expertise et de savoir faire en matière de gestion des questions ayant trait aux ressortissants des deux pays établis à l'Etranger.

Il a indiqué, lors de cette entrevue, que la visite de la responsable sénégalaise représente un point de départ pour une coopération fructueuse et profonde dans l'ambition d'améliorer les conditions de vie, de travail et de séjour des communautés marocaine et sénégalaise résidant à l'étranger.

Pour sa part, la ministre sénégalaise s'est félicitée de la réussite de la politique "exemplaire" que le Maroc adopte dans la gestion des affaires de ses ressortissants établis à l'étranger, ajoutant que cette "grande expertise" du Royaume sera un modèle et une source d'inspiration pour le Sénégal.

Elle a également souligné la nécessité d'étudier les modalités d'une coopération dans la perspective d'un transfert des expériences et de savoir-faire entre les deux pays amis.

Gaye Touré avait rencontré, mardi à Rabat, le ministre délégué aux Affaires étrangères et à la coopération, Youssef Amrani.

30 janv. 2013

Source : MAP

Le jeune skieur maroco-canadien Sami Lamhamedi a remporté une médaille d'or en slalom et une autre d'argent en slalom géant, lors de la compétition Can-Am de ski alpin, la plus relevée en Amérique du nord, qui s'est déroulée du 26 au 29 janvier dans deux stations de ski (Alpine et Osler Bluff ski club) situées près de Collingwood (Ontario, Canada).

La Can-Am est un évènement international dont l'objectif est de mesurer le niveau des skieurs élites de la catégorie U16 (âgés de 15 à 16 ans), de l'Est du Canada et des Etats-Unis d'Amérique (Can-Am Est U16).

Les 108 skieurs élites masculins ayant participé à cette compétition ont eu leur qualification selon un processus de sélection basé sur les résultats obtenus lors de plusieurs compétitions relevées en ski alpin. Ces jeunes athlètes ont disputé quatre principales épreuves de ski alpin, notamment deux slaloms et deux slaloms géants. Il s'agit de la première phase de la 2e édition de la Can Am Est. Les deux autres prochaines phases de la Can Am Est 2013 auront lieu à Québec (Canada) et à Sugarloaf (Etats-Unis) respectivement en février et mars 2013.

Lors de cette compétition, le jeune athlète maroco-canadien Sami Lamhamedi (15 ans) a montré encore une fois son talent exceptionnel dans les deux disciplines de ski alpin, et ce en présence des meilleurs skieurs de sa catégorie en Amérique du nord. Sami s'est distingué par sa touche raffinée sur la neige, sa force et ses prouesses techniques exceptionnelles.

En ce qui concerne la 2ème compétition de slalom, le jeune skieur marocain a perdu un ski lors de la 1ère manche de ce 2è slalom, ce qui l'a forcé à abandonner la course.

Pour le slalom géant, les précipitations intenses de la première journée ont forcé le jeune athlète à ralentir sa course mais ceci ne lui a pas empêché de remporter une médaille d'argent.

En 2011 et 2012, Sami a accumulé des performances exceptionnelles en étant sacré champion de la région de Québec, champion de la province de Québec et champion de la Can-Am Est K2 en slalom géant. L'enchaînement de ces victoires exceptionnelles est le fruit d'une passion, une détermination, une confiance en soi, une discipline de rigueur lors des entraînements physiques en été et en hiver, de sacrifices de la part de l'athlète, ainsi que du goût de se dépasser pour vaincre.

Sami Lamhamedi est un skieur du club de ski de compétition de Stoneham, de Skibec Alpin (Québec, Canada), de la Fédération Royale Marocaine de Ski et Montagne et athlète de haut niveau du Comité national olympique marocain.

30 janv. 2013

Source : MAP


La Coupe d’Afrique des Nations (CAN) qui se déroule en Afrique du Sud ne doit pas faire oublier que des jeunes footballeurs qui rêvent d’une carrière à la Drogba voient leur rêve se briser en Europe victime de faux-agent de joueurs !

Un pseudo-agent s’est ainsi trouvé sur le chemin de David, jeune footballeur camerounais. « j’avais 16ans et je jouais un match amical à Douala avec mon club de Bamenda», raconte ce jeune encore sous le choc. « Il est venu dans les vestiaires » se souvient David, look impeccable, attaché case et portable dernier cri. » Il se fait appeler Christopher « Je veux t’aider à partir jouer en Europe», annonce-t-il d’entrée de jeu. Commencent alors le manège et les mensonges à tout va. Le pseudo-agent prétend avoir fait recruter des joueurs de l’As Cannes, Montpellier ou encore Marseille.

Il exhibe des photos, souvent obtenues à la fin de matchs ou de lors de rencontres de gala. Mais qui en Afrique va mettre en doute sa parole et dire que Drogba n’est pas son pote ou qu’il nest pas mandaté par un club? Personne, hélas ! Toujours est-il que notre pseudo-agent demande à rencontrer les parents de David. Accueil en grande pompe. Il détaille son plan… à 2300 euros.
Réunion de famille au sommet. « Mon père a annoncé la nouvelle à toute la famille et il a dit qu’il faut maintenant trouver l’argent. » « Ma mère a soldé ses tontines et a contracté des dettes ». L’argent reuni, David se rend à Douala, à 400kms de chez lui.Voyage en car toute la nuit. Le pseudo-agent encaisse l’argent, revient quelques jours après avec un faux visa.

Paris, bonjour la galère

Nous débarquons à Paris, dans un hôtel du 19ème arrondissement. Quelques jours plus tard Christopher m’emmène au Mans. J’attends. Je finis par passer un test au bout d’une semaine. » « On vous appellera. » lui dit-on. Retour à Paris. L’agent véreux demande à David de se loger, en attendant d’autres tests à venir. David a 16 ans, ne connaît personne à Paris. Le faux agent disparaît dans la nature. David atterit, alors, dans un squat à Levallois. « Dormir dans un trou comme ça. C’est pire qu’en Afrique. »

Aujourd’hui, David sous loue une piaule dans le 19ème arrondisement. Il ne joue plus au foot. Il est déménageur occasionnel. Travail évidemment non déclaré. Récemment, un ivoirien l’a emmené à Toulouse charger un container de pneus. « J’étais logé dans un préfabriqué et payé 40 euros par jour. A Bamenda, le club me versait 100 euros par mois ! »

Traversée en pirogue

L’histoire de David ressemble à celle d’Ablaye, jeune sénégalais, mais plus dure encore. Lui, un certain Nasser l’a abordé lors du tournoi de détection des jeunes de moins de 13 ans pour l’équipe nationale du Sénégal. Cheveux gominés, cartable, flanqué de quelques acolytes sénégalais. Même discours, « je veux t’aider à intégrer un grand club, en Europe.»

Rencontre avec le grand frère d’Ablaye, présent au match. Une aubaine pense le frère et tuteur. La mère informée, vend ses bijoux pour payer les 1300 euros réclamés par Nasser.

Le faux agent propose d’aller au Maroc pour le visa. Trois jours de route. Au Maroc, Nasser le fait travailler dans son atelier de couture, puis disparaît. Il a chargé trois complices de le faire traverser en pirogue. La nuit du départ, réveil à 3h du matin. "Nous sommes 17 dans la pirogue. On avait des gilets de sauvetage. Pain et riz au lait au menu. Deux personnes sont mortes durant la traversée"

En Espagne, les passeurs prétendent un rendez-vous avec Nasser et disparaissent. « J’ai passé la nuit sur un banc devant la mairie de Grenade » se souvient Ablaye, un regard de môme, souriant malgré le traumatisme.

Il finit à la croix rouge. Et Ablaye rencontre des compatriotes sénégalais qui l’hébergent un an durant. Il veut aller en France. Des sénégalais l’accueillent dans un foyer du 13ème arrondissement. Aujourd’hui, Ablaye s’entraîne dans un club de la banlieue parisienne. En juin dernier, il a passé les tests au PSG, mais sans papiers, aucun club ne voudra de lui.

Le football qui fait sa fête en Afrique du Sud pendant la CAN fait rêver beaucoup de jeunes pour qui il est synonyme de gloire et prospérité. David et Ablaye étaient de ceux là.

31/1/2013

Source : Grico.com

La réforme constitutionnelle, que l'Élysée souhaite voir adopter avant l'été, prévoit la suppression du mot «race» qui figure dans l'article 1er de la Constitution, qui stipule: «La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée».

La suppression du terme race «figure dans le projet de texte qui fait l'objet des consultations que le premier ministre va engager» avec les présidents des groupes parlementaires, affirme au Figaro un conseiller du président de la République.

Durant sa campagne, François Hollande avait pris cet engagement. «Il n'y a pas de place dans la République pour la race. Et c'est pourquoi je demanderai au lendemain de la présidentielle au Parlement de supprimer le mot “race”de notre Constitution» avait déclaré en mars 2012 le candidat socialiste, lors d'un meeting consacré à l'Outre-mer à Paris.

31/1/2013, Anne Rovan

Source : Le Figaro

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