Trente-trois jeunes de la ville d'Amsterdam, dont 26 d'origine marocaine et 7 Hollandaises, prennent part à un séjour culturel au Maroc, à l'initiative du ministère chargé des Marocains résidant à l'étranger.
Cette visite, organisée en partenariat avec l'association "Ibn Khaldoun" d'Amsterdam et qui se poursuit jusqu'au 6 mai, reflète l'intérêt particulier accordé par le ministère aux femmes émigrées comme composante essentielle de la communauté marocaine à l'étranger et met en avant la volonté du gouvernement marocain de consolider les relations entre les jeunes marocains résidant à l'étranger avec leur pays d'origine, en vue de renforcer leur identité nationale dans ses dimensions culturelle et linguistique, indique un communiqué du ministère.
Le programme de ce séjour comporte la visite de plusieurs administrations chargées de la femme et de la famille, dont le ministère de la solidarité, de la femme et du développement social ainsi que des établissements publics dans l'objectif de mettre en exergue les rôles que jouent ces organismes dans le processus de développement politique, économique et social du Royaume, ajoute la même source.
Le séjour comporte la visite de sites naturels et de monuments historiques à Tanger, Asilah, Tétouan, Chefchaouen, Fès, Sefrou et Rabat.
2/5/2012
Source : MAP
Mme R'Kia Laroui, professeure directrice du module du Baccalauréat en enseignement secondaire à l'Université du Québec à Rimouski, a été nommée récemment, lors d'une réunion du Conseil des ministres du Québec, Vice Présidente du Conseil du Statut de la Femme.
Créé en 1973, le Conseil du Statut de la femme conseille le gouvernement du Québec sur les questions concernant le respect des droits des femmes et joue un rôle de sensibilisation auprès du public.
Avec la présidente, les membres de cet organisme, issus de différents secteurs d'activité de la société québécoise, élaborent les grandes orientations, approuvent les études et les avis produits par l'équipe de recherche du Conseil et entérinent les recommandations transmises au gouvernement du Québec.
Forte d'une vaste expérience en enseignement universitaire de la didactique du français, de langues et de littérature francophones, la maroco-canadienne a été reconduite dans les fonctions, qu'elle exerce depuis 2004, de membre du Conseil du Statut de la Femme au sein duquel elle occupera dorénavant la fonction de Vice-présidente.
Titulaire d'un Doctorat en sciences de l'éducation (Université de Laval), d'une Maîtrise en sciences de l'éducation (Université de Sherbrooke) et d'une Licence en Lettres (Université Mohamed V, Rabat), Mme Laroui enseigne à l'Université du Québec à Rimouski depuis 2002 après avoir exercé en qualité de Professeure invitée et associée à l'université de Laval, à l'Université Hassan II de Casablanca et à l'Ecole normale supérieure de Meknès.
Membre de comités scientifiques reliés à son domaine, notamment de l'Association internationale pour la recherche en didactique du français (AIRDF), elle a participé à plusieurs colloques et missions d'études à travers le monde et publié des livres et de nombreux articles scientifiques portant sur l'enseignement, la littérature, la linguistique, la culture et l'écriture féminine.
Engagée dans le mouvement associatif féminin pour l'amélioration des conditions de vie des femmes, elle siège au conseil d'administration et au comité exécutif de l'Université du Québec à Rimouski depuis trois ans et préside le Conseil d'administration de l'organisme Accueil et Intégration du Bas-Saint-Laurent.
En 2006, Mme R'Kia Laroui avait également été nommée au Comité-conseil sur l'intégration et l'accommodement raisonnable en milieu scolaire.
2/5/2012
Source : MAP
Syriens, Libanais, Marocains, Roumains… Qui sont ces médecins qui décident de plier bagages et d’exercer en Europe ? Quelles sont leurs motivations ? Comment les pays qui assistent à cette fuite des cerveaux peuvent-ils tirer parti de cette expatriation ? Le Forum Euro-méditerranéen des Instituts de Sciences Economiques (FEMISE) apporte des réponses à ces questions dans un rapport de recherche qui vient d’être publié sur le site FEMISE (FEM34-07).
L’attrait d’une vie meilleure, de conditions de vie satisfaisantes, d’un bon salaire, un système éducatif évolué, la proximité avec le pays d’origine… Autant de paramètres pouvant motiver des médecins du Moyen-Orient, du Maghreb et des pays de l’Est à exercer la médecine en Europe. « Les candidats au départ sont attirés par les avantages relatifs offerts par les pays de l’Union Européenne. Gagner plus leur permet d’être à l’aise et de vivre mieux. Il faut également considérer les avantages non pécuniaires, la possibilité d’évoluer professionnellement et de faire carrière », souligne Ahmed Driouchi, Professeur d’Economie à l’université Al Akhawayn, à Ifrane, au Maroc, auteur du rapport Femise.
Intitulée « Qu’apprenons nous de la nouvelle économie de l’émigration des docteurs en médecine vers l’UE : Les cas d’Europe centrale et d’Europe de l’Est, du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord », l’étude du Femise pointe du doigt une émigration à deux vitesses.
Les médecins issus du Moyen-Orient et du Maghreb ne bénéficient pas souvent d’un système d’équivalence. A leur arrivée en Europe, ils pourraient occuper des postes de moindre importance en attendant de passer les équivalences et les tests d’admission. L’entrée dans l’Union Européenne des pays de l’Est entre 2002 et 2007 a accru le champ de la mobilité en garantissant la portabilité des qualifications des professions de santé. Cette reconnaissance des diplômes de médecins, dentistes, infirmiers et autres professions de santé favorise l’émigration.
Des médecins dans les régions françaises
C’est ainsi que des médecins Roumains s’installent dans la plupart des régions françaises. Bien souvent les médecins issus des pays francophones optent pour la France ou la Belgique. Leurs homologues anglophones sont davantage attirés par la Grande-Bretagne. Après une période d’adaptation, leurs capacités intellectuelles leur permettent de s’intégrer.
Les taux d’émigration des médecins sont très élevés au Liban (19,6%) et en Syrie (17,5%). En Jordanie ils atteignent 9,9%, en Algérie 7,1%, au Maroc 6,6% et en Égypte 5,6%. Le Maroc a d’ailleurs fait l’objet d’une étude approfondie. Les chercheurs du Femise expliquent, au fil des 400 pages de l’étude, qu’il existe pour chaque pays un seuil de migration à ne pas dépasser pour éviter l’écueil de la fuite des cerveaux.
« Nous avons questionné les médecins marocains qui avaient choisi de rester dans leur pays. L’étude confirme des variables comportementales. Tout dépend de la situation personnelle des individus et de leur stratégie. Le modèle empirique démontre les avantages relatifs par les pays de destination», conclut le professeur Ahmed Driouchi.
2/5/2012, Nathalie Bureau du Colombier
Source : econostrume
Les nouvelles autorités libyennes ont de plus en plus de mal à faire face à l'immigration clandestine en provenance des pays du Sahel. La semaine dernière, le colonel Abdelhakim -en charge des frontières- a estimé à plus de 1000 le nombre de migrants arrivant chaque jour pour espérer gagner l'Europe. Pour tous, le voyage commence dans le sud libyen, à Sebha.
L'oasis de Sebha, première grande ville libyenne sur la route des migrants. Elle en accueille un nombre chaque jour plus important venus des pays du Sahel. Cette plaque tournante du trafic de migrants tourne à nouveau à plein régime depuis la fin de la guerre.
Les autorités de Tripoli se disent dépassées par le phénomène...par manque de moyens techniques et humains.
Pour Abdelhakim, jeune Nigérien de 21 ans, c'est le premier voyage. Il témoigne au micro de notre envoyée spéciale : «Je viens d'Agadez, je suis arrivé il y a un mois à Sebha. C'est un Arabe qui nous a fait traverser. Au Niger, je n'ai pas trouvé de travail. Je viens en Libye pour gagner ma vie. C'est mon frère qui est déjà à Tripoli qui me finance mon voyage.»
Mais pour la majorité, réunir les 500 dinars libyens nécessaires (environ 300 €) pour rejoindre la capitale Tripoli n'est pas une mince affaire. Au petit matin, on les voit prendre place sur le bord de la route et proposer leur force de travail. Dans quelques semaines, ils feront de même sur les grands axes de Tripoli, dans l'espoir cette fois de traverser la Méditerranée.
30 avril 2012
Source : RFI
Le Maroc tient, en cette conjoncture internationale marquée par la crise économique, à accompagner ses ressortissants à l'étranger dans les problématiques vécues dans leurs pays de résidence, a affirmé mardi soir à Rome, M. Abdellatif Maazouz, ministre chargé des Marocains résidant à l'étranger.
Cet accompagnement consistera en un appui aux gouvernements des pays d'accueil pour préserver les droits de cette catégorie de Marocains et lui permettre ainsi de faire face à des situations difficiles. Il se fera aussi à travers la formation, l'orientation professionnelle et l'information sur les opportunités existantes aussi bien dans le pays où ils vivent, au Maroc ou ailleurs pour qu'ils puissent se redéployer de manière efficace, a expliqué le ministre dans une déclaration à la MAP.
Après avoir rappelé que le Maroc tient fortement à sa communauté à l'étranger, qui constitue pour lui une grande richesse, M. Maazouz a indiqué que le gouvernement a mis en place un nouveau programme basé sur trois piliers, en l'occurrence le renforcement de l'intégration des résidents marocains à l'étranger dans leur pays de résidence, la consolidation de leurs attaches avec leur pays et leur participation à tous les chantiers mis en oeuvre par le Royaume.
Plusieurs actions ont ainsi été lancées pour le renforcement des liens culturels et identitaires des MRE, à travers notamment l'enseignement de la langue arabe et la culture marocaine, l'encadrement religieux, les missions culturelles et les voyages de découverte des jeunes dans le pays, a-t-il précisé.
Le ministre s'est déclaré, à et égard, profondément convaincu que toutes ces actions ne peuvent se faire de manière optimisée qu'avec la participation des pays d'accueil dans le cadre de partenariats communs.
Il a également souligné la nécessité pour les membres de la communauté résidant en Italie à s'investir massivement dans tous les chantiers de développement que connait le pays à travers des investissements, la réalisation de projets socio-économiques mais aussi à travers la contribution à la consolidation du processus démocratique mené au Maroc.
Les MRE ont voté massivement pour la réforme constitutionnelle et ils ont été nombreux aussi à vouloir participer au processus électoral, a fait observer
M. Maazouz soulignant qu'un dispositif se met actuellement en place pour permettre cette participation effective.
Lors d'une rencontre avec les représentants du tissu associatif marocain dans la région de Rome, le ministre a fait part de la politique prô née par son département qui vise à améliorer l'efficacité à travers la transparence, la bonne gouvernance et l'association d'autres secteurs et organismes nationaux.
Le ministre a appelé dans ce sens les présidents d'associations qui bénéficient de l'aide de l'Etat à faire de même et à respecter les critères de sérieux et de bonne gestion qui seront arrêtés par une commission.
L'ambassadeur du Maroc en Italie, M. Hassan Abouyoub, avait auparavant rendu hommage aux membres de la communauté marocaine en Italie, qui est, a-t-il dit, l'une des plus respectées dans le pays.
Il a fait part également de sa détermination à poursuivre les efforts déployés qui ont permis d'instaurer un meilleur climat de coopération et d'améliorer les prestations fournies par les représentations consulaires implantées à travers les différentes régions de la Péninsule.
Le diplomate a promis dans ce cadre l'activation du système de consulats mobiles qui pourrait constituer la solution idoine pour faire face au problème de l'éloignement que connaissent certaines zones où sont implantés des citoyens marocains.
Le consulat général de Rome a déjà activé, depuis le début de l'année, quatre consulats mobiles en Sardaigne notamment.
Un fructueux débat a été engagé par la suite avec les nombreux présidents d'associations de Marocains qui ont assisté à cette réunion. Parmi les questions évoquées figuraient celles de la situation des détenus marocains en Italie et des mineurs non accompagnés, des outils médiatiques permettant une meilleure communication avec la communauté, de la gestion des mosquées et de la sécurité sociale.
M. Maazouz devrait tenir, ce mercredi à Rome, une série de réunions avec plusieurs responsables italiens en charge de l'intérieur, des affaires étrangères, de l'enseignement, de la justice, du travail et des politiques sociales, et de la coopération internationale.
Le ministre devrait également rencontrer le recteur de l'Université télématique internationale +Uninettuno+, la déléguée à l'immigration près la Confédération italienne des syndicats de travailleurs (Cisl) et le président de l'Institut pour la coopération au développement (Iscos).
Lors de la visite de cinq jours qu'il a entamée mardi en Italie, M. Maazouz procèdera à l'inauguration du festival culturel marocain organisé à Bergame, rencontrera les compétences marocaines dans les régions de Lombardie et d'Emilie Romagne (nord), s'entretiendra avec le maire de Reggio Emilia et donnera, à Bologne, le coup d'envoi de programmes éducatifs et culturels initiés par son département.
2 Mai 2012
La présidente du Salon international du livre et de la presse de Genève, Isabelle Falconnier, a salué la prestation éclatante du Pavillon Maroc à la 26ème édition de cette manifestation qui s'est achevée dimanche et où le Royaume était l'invité d'honneur.
Mme Falconnier a été séduite par le fait que le Maroc n'était pas seulement présent sur un seul espace, comme c'est généralement le cas pour les hôtes d'honneur, mais que la richesse de sa culture était visible sur plusieurs espaces.
"J'ai trouvé cela très audacieux. Ces espaces épatants ont montré que la culture marocaine était très riche, grâce aux nombreux livres exposés, à l'art, à la gastronomie et aux plaisir de tous les sens. J'ai pu constater que la cote d'amour de la culture marocaine dans un sens large est très grande à Genève. Peut-être que nous avons, nous Suisses, quelques leçons à en tirer".
La Directrice du Salon, Adeline Beaux a, quant à elle, mis en exergue la prouesse technique qu'a été la construction d'un Pavillon décliné sur cinq espaces et a salué "la qualité architecturale du projet et l'exploit technique qu'a représenté sa mise en œuvre".
Les responsables suisses du Salon, Adeline Beaux et Isabelle Falconnier, ne cachent pas leur souhait d'envisager un espace réservé au Maroc et au Maghreb en général l'année prochaine. "Cette présence est souhaitable et il faut réfléchir à la forme adéquate pour la mettre en œuvre".
Mustapha Alaoui, commissaire et architecte concepteur du Pavillon, tient à préciser que ce dernier a "pu bénéficier de partenariats importants, notamment de Bank Al Maghrib et de la BNRM qui a présenté une exposition intéressante sur la calligraphie et la monnaie. Le très bel accrochage autour des arts plastiques a été rendu possible grâce aux fondations ONA, Société générale et Bank Al Maghrib ainsi qu'au fonds patrimonial du ministère de la Culture.
"Les musées du Maroc ont mis à disposition de notre Pavillon des collections uniques puisque certaines pièces n'avaient jamais quitté le Maroc. La Bibliothèque nationale du Royaume et la bibliothèque Sbihi nous ont fourni en manuscrits uniques. Toutes et tous se sont mobilisés pour présenter, à une échelle jamais vue auparavant, une culture marocaine de l'excellence", a-t-il dit.
Pour sa part, le responsable du pôle Cultures au CCME et directeur de la programmation du Pavillon Maroc, Younès Ajarraï a expliqué que le "concept de ce programme montre l'image du Maroc d'aujourd'hui : plurielle, décomplexée et ouverte sur le monde".
"Une mention particulière doit être adressée aux écrivains, cinéastes, plasticiens, artistes et autres conférenciers qui ont répondu présents et ont donné un caractère exceptionnel à cet événement. En compagnie de leurs éditeurs, ils ont donné au public suisse et aux représentations diplomatiques et onusiennes à voir et à entendre la richesse, la diversité et l'intelligence d'un Maroc en mouvement, de sa création vivante et à l'écoute du monde. Sans eux, rien n'aurait été possible. Qu'ils en soient tous remerciés ici. Dorénavant, il faudra capitaliser sur ce précédent", a-t-il souligné.
Pendant les cinq jours, le Pavillon du Maroc a accueilli les 100.000 visiteurs du Salon dans les six espaces thématiques répartis sur une superficie de 2000 m2. Kitab, la librairie aux 3.000 titres, a fait la part belle aux écrivains, poètes, chercheurs et éditeurs marocains, avec en prime un antre réservé aux conférences et aux projections, Hiwar. Une impressionnante collection de pièces de monnaie et de manuscrits a été accueillie dans l'espace Kalam.
L'espace Diwan a présenté des objets précieux de l'histoire et de la mémoire du riche patrimoine culturel marocain. Quant à l'espace Founoun, dédié aux signes et aux symboles, il a permis au public de découvrir cent ans d'histoire des arts plastiques au Maroc, depuis les orientalistes aux artistes contemporains à travers une exposition inédite des œuvres des plus grands plasticiens marocains. La gastronomie n'était pas en reste puisqu'un restaurant marocain a occupé l'espace Douiria.
Ces différents espaces ont ainsi accueilli une programmation éclectique exceptionnelle. Plus de 120 auteurs, chercheurs, conférenciers et artistes marocains en provenance du Maroc et de plusieurs pays de résidence ont animé plus d'une centaine de conférences et de débats, signatures et dédicaces, projections de films et de documentaires, lectures de contes et de poésie, ateliers jeunesse et de cuisine, initiation à la calligraphique. Les Nocturnes, organisées en marge du Salon, étaient l'occasion de spectacles animés par les artistes marocains de renommée internationale, Hindi Zahra et Hamid El Kasri. Un défilé de mode concocté par le talentueux designer marocain Albert Oiknine a clôturé la soirée de gala.
"Une rencontre exceptionnelle a également été programmée avec les co-fondateurs et pilotes de l'avion Solar Impulse, Bertrand Piccard et André Borschberg, avant leur premier vol à l'énergie solaire hors d'Europe, prévu dans quelques semaines à destination du Maroc, en collaboration avec MASEN (Moroccan Agency for Solar Energy), soulignant ainsi l'importance de la promotion des énergies renouvelables au Maroc,"premier pays à avoir relevé le défi d'investir dans l'énergie solaire", ont-ils tenu à souligner.
Il y a lieu de rappeler que plusieurs personnalités marocaines du monde politique, diplomatique et culturel ont également participé à plusieurs rencontres et débats, avec notamment la présence des ministres de la Culture, Mohamed Amine Sbihi, du Tourisme, Lahcen Haddad, de l'Artisanat, Abdessamad Kayouh, du président du Conseil national des droits de l'Homme et du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger, Driss El Yazami, du recteur de l'Institut royal de la culture amazighe (IRCAM), Ahmed Boukous, de l'ambassadeur du Maroc en Suisse, Mohamed Saïd Benryane, du directeur général de l'Agence de l'oriental, Mohamed Mbarki. De nombreux officiels helvétiques et des représentants des corps diplomatiques en Suisse ont également pris part aux différentes activités organisées.
Des institutions nationales étaient présentes avec leurs publications, notamment le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger, le Conseil national des droits de l'Homme, l'IRCAM, le Conseil de la concurrence, l'Instance centrale de prévention de la corruption, le Centre cinématographique marocain et l'Institut royal des études stratégiques.
01 mai 2012
Source : MAP
Un nom à retenir: Jamila Mimi Chami Bradley est bien partie pour marquer de son empreinte le paysage politique américain.
Sous les couleurs du parti démocrate, elle a été élue à deux reprises -en2008et2010- au district du comté de Osceola, dans l'Etat de Floride. Récemment, elle a multiplié les meetings et compte bien conserver son siège communal; lors des élections prévues samedi 5 mai. Mimi Bradley aborde ce…Suite