samedi 19 octobre 2024 11:17

Agé à peine de 28 ans, il est incontestablement le principal représentant de son pays natal, le Maroc, sur la scène de concert internationale. Avec un héritage musical profondément enraciné dans la tradition hongroise, Marouan Benabdallah a reçu sa formation au Conservatoire Béla Bartok et l'Académie Franz Liszt de Budapest et, en 2008, s'est vu décerner la Médaille du Parlement hongrois "en reconnaissance de son talent exceptionnel et de ses accomplissements dans le domaine musical" …Suite

Khalid El Bekay, peintre-graveur, présente du 27 octobre au 15 décembre une exposition inédite au Maroc, à Estamp'art Gallery. L'artiste y fait découvrir une sélection particulière d'estampes réalisées à Barcelone.

Le Matin : Parlez-nous de votre exposition à la galerie Estamp'art ?

Khalid El BEKAY : Cette exposition, une première au Maroc, se présente sous forme de rétrospective, et ceci pour deux raisons. il s'agit, d'une part, de faire découvrir au public marocain une sélection de mes créations en gravure que j'ai réalisées à Barcelone à partir de 1995 et que je n'ai jamais eu l'occasion d'exposer au Maroc. D'autre part, je présente un recueil de nouvelles estampes conçues récemment. Cette exposition intitulée «T» de Litho présente une vingtaine d'œuvres en lithographie originale sur pierre. Je dessine mes œuvres avec une grande liberté et j'affectionne particulièrement le noir et le blanc en privilégiant le trait. Des silhouettes et des ombres viennent s'y rajouter, entremêlées, fondues les unes dans les autres.

Une infinité d'éléments deviennent symboles. Une palette vivace recouvre, repousse, élargit l'espace entre chaque tracé, entre chaque forme et sur chaque surface. La pureté de la couleur vient habiller les surfaces et leur donner une âme.

Quel a été le moment le plus important dans votre carrière ?

Khalid El Bakay : Tous les moments sont importants dans ma carrière, au début j'ai commencé à découvrir l'art, et maintenant j'expose le fruit de ma recherche. Ce qui me différencie des autres artistes, c'est l'identité de mes œuvres comme peintre marocain dans la mesure où je vis en Espagne. Mais j'ai toujours gardé le lien avec mon pays et même si j ai acquis l'expérience à l'étranger, je suis toujours fidèle a mes racines. Je suis très fier de mes origines. Je veux partager mon identité avec le monde Je dialogue, je raconte, j'exploite, je cherche à transmettre à travers mes œuvres ma culture, ma vision du temps, du travail, de la terre et de la création.

Quand vous étiez jeune, pensiez-vous devenir un jour un artiste professionnel ?

Oui, absolument, malgré mes études en sciences, je souhaitais rejoindre l'école des beaux-arts de Tétouan. Suite à cela, je suis parti à Barcelone pour obtenir une licence en gravure.

Avez-vous un moment ou un lieu de prédilection dont vous tirez votre inspiration ?

Le Maroc, c'est ma source d'inspiration. Même si je vis à Barcelone depuis vingt ans, j'ai toujours gardé le contact avec le Maroc. jJ'y venais au moins deux à trois fois par an pour recharger mes batteries et retourner à Barcelone. Je reste impressionné, ému par la force et la grandeur de la nature. Les éléments que je choisis relèvent certes d'une évolution plastique qui part de la nature morte, avec une palette soignée, pour ensuite aller vers un travail visuel exploitant toutes sortes de papiers déchirés et collés en superposition dans une architecture profonde de formes et de couleurs où se révèle la lumière.

Pensez-vous que vos œuvres soient d'un accès facile et universel ?

Oui, je pense qu'elles sont d'un accès facile. Pour moi, les couleurs utilisées dans les œuvres n'ont aucune frontière et le public pourra facilement les comprendre.

A quel point l'aspect technique est-il important dans vos œuvres ?

J'ai toujours cherché à être très technicien dans ma peinture. Un artiste qui ne domine pas la technique n'est pas un artiste puisqu' il ne peut pas transmettre le message. Il faut réaliser un équilibre entre le concept et la technique.

Quels sont vos souvenirs d'enfance sur l'art ?

Je me rappelle très bien quand j'avais douze ans, j ai dû assister à l'exposition de l'artiste Zine à Maârif, ici sur Casablanca. Je suis vite tombé sous le charme de ses œuvres, et je me suis dit «un jour , je vais devenir un grand artiste et exposer dans les grandes galeries d'art''.

Si vous deviez nous décrire les œuvres exposées… ?

Je me suis limité à quelques formes, limitant ainsi mon champ visuel sans pour autant le limiter en profondeur : l'aubergine, la pomme, la poire, représentent un contraste à la fois pur et complexe, simple et riche. Tout se résume à ça. Je ne trouve aucun intérêt, en tant que peintre, à compliquer mon geste, et capitule gracieusement devant la force de la terre. La magie de la nature.
Quels sont vos projets ?

Tous d abord, j'espère que le public va apprécier mon exposition à la galerie d'art. Ce sera la dernière exposition monographique. Après, j'exposerai aux mois d'avril et de mai en Espagne. J'espère que les Marocains résidant à l'étranger auront l'occasion de venir me voir à cette exposition et découvrir mes nouvelles œuvres.

Quel est votre livre de chevet ?

Etant donné que je suis un artiste, je n'ai pas de choix précis mais j'aime bien lire les livres qui tendent vers la spiritualité. Dans la mesure où je vis en Espagne depuis vingt ans, j' aime aussi les auteurs espagnols.

Le mot de la fin...

J'espère que le public marocain comprendra et appréciera la lithographie et pourra se familiariser avec cet art.
29 octobre 2010-10-29

Source : Le Matin

Une conférence de presse est organisée le 28 octobre à 17h  à la Villa des Arts de Casablanca, en présence de l’artiste. A cette occasion, le livre « Tu en verras de toutes les couleurs…. Parcours d’un précurseur de la peinture contemporaine au Maroc » sera présenté.

La Fondation ONA et le Conseil de la Communauté Marocaine à l’Etranger (CCME) organisent une exposition rétrospective des œuvres du peintre marocain André Elbaz simultanément à la villa des Arts de Casablanca et à la villa des Arts de Rabat. Les œuvres de Casablanca seront exposées du 02 novembre au 30 décembre ; ceux de Rabat du 09 novembre au 30 décembre.

Cette exposition est, à tous égards, exceptionnelle. Jamais auparavant, André Elbaz n’avait montré plus de 250 œuvres, couvrant plus d’un demi siècle d’une carrière dédiée aux arts plastiques. Ces œuvres permettront au public de découvrir la cohérence interne du parcours de celui qui est sans conteste l’un des précurseurs de la peinture marocaine contemporaine. Artiste nomade, plasticien pluridisciplinaire, explorateur engagé des affrontements entre cris et silence, ombre et lumière, André Elbaz nous présente une œuvre riche et forte, viscéralement tournée vers l’Autre.

A Rabat, seront présentés les travaux de jeunesse et œuvres de maturité (1955 - 1986), notamment les collages, les premières toiles abstraites, le thème dit du «retournement de l’histoire» et son travail de « war artist ».

A Casablanca, les travaux à base de fibre végétale auront une place prépondérante. La série des Villes Orientales et celle des Musiciens feront contrepoint aux œuvres très puissantes que sont les œuvres « exécutées », les urnes, les lacérations et les anamorphoses.

A l’occasion de ces deux expositions, le CCME et la fondation ONA publieront un livre aux éditions La Croisée des Chemins. Intitulé, « Tu en verras de toutes les couleurs… Parcours d’un précurseur de la peinture contemporaine au Maroc », ce livre comporte le récit du vécu d’André Elbaz et de ses expériences partagées avec d’autres artistes marocains.

Cette rétrospective constitue assurément l’un des moments les plus forts de la rentrée artistique au Maroc.

Une conférence de presse est organisée le 28 octobre à 17h  à la Villa des Arts de Casablanca, en présence de l’artiste. A cette occasion, le livre « Tu en verras de toutes les couleurs…. Parcours d’un précurseur de la peinture contemporaine au Maroc » sera présenté.

Source : CCME

Le gouvernement d'Angela Merkel a annoncé mercredi un projet de loi durcissant les règles de séjour et condamnant les mariages forcés, en plein débat sur l'intégration en Allemagne…Suite

La métropole québécoise abritera, samedi, la première rencontre de la jeunesse marocaine et ce, en marge du Salon Carreers in Morocco, apprend-on auprès des organisateurs.

Cet événement, qui se tiendra au Palais des Congrès de Montréal, vise à "établir un lien d'échange entre la jeune génération de Marocains en Amérique du Nord et les décideurs au sein des organismes marocains", ajoute-t-on de même source.
L'éducation, les enjeux économiques et la sphère politique sont, entre autres, les principaux thèmes inscrits à l'ordre du jour de cette rencontre, qui verra la participation de représentants d'institutions nationales et canadiennes, d'homme politiques, ainsi que de représentants du monde universitaire et associatif.

Source : MAP

Le ministre de l'Immigration Eric Besson a installé mercredi quinze "ambassadrices" chargées de promouvoir la laïcité et l’’égalité hommes-femmes dans les quartiers "les plus sensibles", selon un journaliste de l'AFP.

M. Besson a signé une convention annuelle de 80.000 euros avec l'association Ni Putes Ni Soumises (NPNS) pour la mise en œuvre de ce programme, mis en place quinze jours après la promulgation de la loi interdisant le port du voile intégral dans l'espace public.

"L’interdiction de dissimulation volontaire du visage n’entrera en vigueur que le 11 avril 2011, après 6 mois de pédagogie et d’explication", a rappelé M. Besson.

"Il ne s’agit donc pas de s’en remettre à la seule force de la sanction, mais bien de susciter, au terme d’un dialogue, l’adhésion à des valeurs et à un idéal. Les 15 ambassadrices de l’égalité hommes-femmes devront contribuer à ce dialogue et à cette adhésion, mais ne limiteront pas leur intervention à la seule question du voile intégral", a-t-il expliqué.

Issues pour la plupart de l'immigration, selon M. Besson, les quinze femmes "iront, pendant cinq mois, à la rencontre des habitants des quartiers les plus sensibles, afin de promouvoir la laïcité et l’égalité entre les hommes et les femmes, partout où elle est menacée", selon le ministre.

Les "ambassadrices" accompliront leur mission à partir du 25 novembre dans 13 communes d’Ile-de-France et 9 grandes villes de province où elles animeront des réunions et des débats locaux, dans les maisons de quartier, a déclaré M. Besson dans un discours.

Elles iront "dans les établissements scolaires" et "se présenteront à la porte des appartements, là où la violence contre les femmes est la moins visible, est la plus redoutable".

La présidente de NPNS, Sihem Habchi, a expliqué que son objectif était de "reconquérir le terrain occupé par les obscurantistes et l'extrême droite".

Elle a plaidé pour la "liberté des femmes à disposer de leur corps". "C'est un droit pour toutes les femmes qui naissent dans ce pays", a-t-elle insisté.

Présente sur les lieux, la journaliste soudanaise Loubna Ahmed al-Hussein, condamnée dans son pays pour avoir porté un pantalon jugé "indécent", a souhaité que l'idée de ces "ambassadrices" soit diffusée dans d'autres pays.

La journaliste qui lutte contre une loi soudanaise punissant de coups de fouet les femmes dont la tenue est jugée "indécente" avait quitté Khartoum, il y a près d'un an, en se cachant dans un niqab.

Source : AFP

Alors qu’on n’en finit plus de débattre inefficacement le sujet de l’intégration des immigrants, de plus en plus de nouveaux Québécois sont écœurés et décident de reprendre le chemin de retour ou d’aller voir ailleurs. Quelque 25 % des immigrants feraient ce choix.

L’émission Une heure sur terre de Radio-Canada a consacré dans son dernier épisode un reportage à ce phénomène intitulé La grande séduction marocaine. Le journaliste-réalisateur, Luc Chartrand, y a brossé entre autres le portrait de trois jeunes Montréalais d’origine marocaine qui ont décidé de retourner au pays, faute de ne pas avoir pu réaliser leur rêve ici.

Des jeunes qui ont grandi ou vécu assez longtemps au Québec pour se considérer Québécois et fruits du Québec. Des jeunes, super diplômés, parfaitement trilingues qui respirent la modernité dans tous leurs gestes ont été obligés de rebrousser chemin. Ces jeunes gardent un souvenir amer de l’accueil qu’ils ont reçu ici. Pourquoi?

Ali Séfrioui avoue avoir subi la discrimination. Il raconte que des trente camarades de classe, ils étaient quatre immigrants, deux d’Amérique latine et deux du Maghreb. Et surprise, ce fut les seuls à ne pas avoir pu décrocher un emploi même s’ils faisaient partie des meilleurs de la promotion.

Et cela fait mal à ces jeunes de quitter le Québec, car ils considèrent ce résultat comme un échec de ne pas avoir pu atteindre leurs rêves qu’ils se sont construits au Québec.

À la fin, Ali ne s’est pas senti le bienvenu, et le Maroc lui a ouvert les bras. De retour au pays, à 28 ans, le jeune quadra gère un portefeuille immobilier de 300 millions de $ pour le compte de l’ONA, l’une des plus grandes sociétés du Maroc.

Pour conclure son reportage, Luc Chartrand lance un appel : «Les Québécois se retrouvent face à leurs contradictions. Dans les années 1990, les Québécois ont réclamé une immigration plus francophone. Ils ont ouvert leurs portes  aux Marocains, aux Algériens ou aux Tunisiens. Mais garder au Québec ses nouveaux Québécois dans un monde de plus en plus compétitif n’est plus comme avant une partie jouée d’avance, c’est aussi une affaire de grande séduction. »

27 octobre 2010

Source : Metro Montréal

Nouakchott va abriter, les 2 et 3 novembre 2010, un important forum d’échanges et de dialogue sur les migrations: «Regards croisés d’acteurs institutionnels, associatifs et de la recherche». Aux côtés de l’Université de Nouakchott – la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines qui porte cette rencontre – et avec le soutien, autant moral que financier, du CCFD, le GRDR a mobilisé plusieurs de ses partenaires associatifs pour la co-organisation de ce forum.

Il s’agit de l’Association Mauritanienne des Droits de l’Homme (Mauritanie), La CIMADE, une association française de solidarité internationale, l’Union pour la Solidarité et l’Entraide, du Sénégal, l’institut juridique d’études internationales (Espagne) et Caritas-Mauritanie.
Ces acteurs associatifs envisagent de constituer, en interface active des initiatives européennes – Migreurop, Eu-Nomad, etc. – et mondiale – «Des ponts pas des murs», etc. – un réseau multi-partenarial d’échanges, de capitalisation et de plaidoyer, pour mieux reconnaître la mobilité et les migrations comme une ressource durable, pour des territoires solidaires. Dans les pays du bassin du Fleuve Sénégal comme au Maghreb et en Europe, les universités et centres de recherche sont, également, mobilisés, pour apporter leur éclairage, à partir des travaux réalisés sur cette problématique, lors de ces journées organisées par l’Université de Nouakchott.

Enjeux
La rencontre intervient dans un contexte où, estiment les experts, «les réalités migratoires africaines sont faiblement prises en compte, dans le dialogue politique sur les migrations, que ce soit dans les relations Sud/Sud ou Nord/Sud». L’impact de ces dynamiques migratoires africaines sur le développement solidaire des territoires d’origine et d’accueil est méconnu et leurs apports, à tout point de vue, peu valorisés.
En revanche, les migrations Sud/Nord polarisent l’intérêt et retiennent, au Sud comme au Nord, toute l’attention des Etats, des chercheurs, des associations et des partenaires au développement. Les pays de destination, au Nord, notamment européens, s’organisent et mettent en place un dispositif de gestion dite «concertée» des flux migratoires, tendant, de plus à plus, à la responsabilisation des gouvernements du Sud, à la criminalisation des migrants et reposant sur une conditionnalité, sans cesse plus forte, de l’Aide Publique au Développement dont l’objectif principal serait de «freiner les migrations». Au Sud, les gouvernements doivent, souvent, faire face à ce dialogue déséquilibré et peinent à faire émerger des positionnements politiques correctement adaptés, au niveau national et régional, sur les migrations.
Les acteurs de la société civile ont commencé à se mobiliser sur les questions de migration. Pourtant, à quelques rares exceptions près, ceux-ci sont encore insuffisamment visibles et ne participent que peu, voire pas du tout, au «dialogue politique» sur la migration.

Thématiques variées
Pour aborder ces questionnements dans toute leur richesse et leur complexité, plusieurs thèmes seront traités, à Nouakchott, à travers des présentations introductives à des débats et échanges sur:
Mobilités ouest africaines: Quelles sont les grandes tendances historiques et géographiques des migrations ouest africaines, qu’il s’agisse de mobilités internes ou externes? La finalité est, expliquent les organisateurs, «de décliner le contexte et de pouvoir aborder, lisiblement, les problématiques migratoires sous différents angles – défis, enjeux, valorisations, etc.»
Migrations et développement: quels enjeux pour les territoires? Quelles sont les plus- et moins-values de la mobilité, dans les stratégies de développement des territoires du Sud et du Nord?
Les investigations concernent plusieurs aspects – financiers, économiques, culturels, coopération internationale, insertion, développement, main d’œuvre et emplois, logement, accès aux droits, etc. – mais, aussi, les rôles de divers acteurs locaux, dans l’élaboration des politiques sur les migrations, en particulier, celui des autorités locales.
Comment penser, dialoguer et vivre ensemble? Face au développement des villes, en Afrique, et des échanges, dans le Monde, les problématiques du «vivre ensemble» deviennent quotidiennes, à proximité de chacun. Il semble, de plus en plus, que la mondialisation et les mérites des échanges ne concernent que peu ou prou la mobilité des personnes. Celle-ci, contrairement à celle des biens, fait l’objet d’une volonté de contrôle draconien – comme, par exemple, la nouvelle condition de l’APD européenne – voire d’instrumentalisation, à des fins politiques. Les migrants sont rarement associés aux prises de décisions sur les politiques, les stratégies et les actions dont ils sont, pourtant, au centre. La base de la concertation sur les accords concertés reste encore très étroite et les points d’équilibre sont loin d’être atteints. Le dialogue politique est-il possible?
Les présentations se feront selon la méthode de «regards croisés»: chercheurs, associations, etc. Les débats seront animés par des modérateurs. Une synthèse générale interviendra à la fin de l’atelier: principaux constats, conclusions-clés, recommandations, etc.
Les organisateurs s’attendent à ce que la rencontre de Nouakchott aboutisse à des résultats concrets. Ainsi, les enjeux récents de la migration seront mieux cernés, connus et analysés. Un positionnement commun associatif défini et établi par rapport à la problématique migratoire: perception au Sud, politique migratoire européenne, dialogue politique Nord-Sud, etc. Une stratégie concertée, entre les associations organisatrices, sur la question migratoire, et un plan d’action, opérationnel à minima, élaboré. La mise en place d’une plateforme associative – réseau, coalition – réfléchie, afin de consolider, au Sud comme au Nord – manifeste euro-africain, Eu-Nomad, Migreurop, «Des ponts, pas des murs» – les dynamiques d’échanges et de plaidoyer.
Les participants à cette rencontre sont issus des structures étatiques, coopérations, universités et centres de recherche, associations de développement, des droits de l’Homme, de migrants et d’élus. L’atelier se tiendra en prélude à deux événements, majeurs, qui se dérouleront, à Dakar au Sénégal, en 2011: la troisième réunion ministérielle euro-africaine sur les «migrations et développement» et le Forum Social Mondial.
En ouvrant, pendant deux jours, un espace de débats, d’échanges et de réflexion, sur la problématique migratoire, l’objectif est de contribuer à l’amélioration de la qualité du dialogue sur les migrations, tant dans les relations Sud/Sud que Nord/Sud. Les organisateurs du forum de Nouakchott ont, aussi, le souci de permettre, aux associations organisatrices et à leurs partenaires du Nord, de partager et clarifier les visions, approches et positions sur les migrations et de renforcer les dynamiques, pour un plaidoyer, pertinent et efficace, sur la question.
Les deux premières journées seront, entièrement, consacrées aux échanges, débats et réflexions sur les enjeux et les défis majeurs mis en avant par les travaux de recherche, l’actualité et les expériences de toute une diversité d’acteurs. La troisième journée sera mise à profit, par les organisations de la société civile, pour définir un positionnement commun et élaborer un plan d’action opérationnel.

Source : Le Calame

La Rapporteure spéciale sur le logement convenable en tant qu’élément du droit à un niveau de vie suffisant, Mme Raquel Rolnik, a défendu, aujourd’hui, devant la Troisième Commission chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, la nécessité pour les États d’adopter des politiques de logement répondant « spécifiquement aux besoins des migrants ».

Dans un dialogue avec les États Membres, à l’occasion de la présentation de son dernier rapport, Mme Rolnik a mis l’accent sur la nécessité de traiter de la question des droits des 200 millions de migrants internationaux, soit 3,1% de la population mondiale, d’une façon complète et détaillée, en pointant également du doigt les effets conjugués de la mondialisation et de la crise économique mondiale.

« L’inclusion des migrants dans le tissu social a eu des résultats positifs non seulement pour les migrants eux-mêmes, mais aussi pour le développement social et économique des communautés hôtes », a souligné la Rapporteure spéciale.

En écho, le Rapporteur spécial sur les droits de l’homme des migrants, M. Jorge Bustamante, a soulevé le problème de la criminalisation des migrations, « tendance en vogue » selon lui, et a estimé que la migration pouvait constituer un élément essentiel du développement et de la prospérité des pays de destination, de transit et d’origine dans toutes les régions du monde.

M. Bustamante a aussi réclamé que les enfants migrants ne soient pas détenus sur la base de leur statut migratoire, ou celui de leurs parents, et a proposé de rechercher plutôt des politiques alternatives comme la régularisation et la réunification familiale.

« La Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille (1990) constitue un outil de cohésion sociale puisqu’elle véhicule un message de tolérance », a déclaré, pour sa part, le Président du Comité pour la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille, M. Abdelhamid El Jamri.  Celui-ci a discuté avec les membres de la Troisième Commission des rapports du Comité sur les travaux de sa onzième et douzième sessions, respectivement en octobre 2009 et avril 2010 à Genève.  À ce jour, 43 États seulement sont parties à cet instrument pourtant entré en vigueur en 2003.

Lire le discours prononcé par Abdelhamid El Jamri, Président du Comité des travailleurs migrants

Source : Site de l’ONU

À partir de ce mois, et jusqu'en décembre 2012, une caravane pour la promotion d'une bonne application de la Moudawana sera active auprès des femmes marocaines émigrées et leurs familles. Ce projet entend améliorer la condition sociale de ces femmes à travers le renforcement des dispositifs de proximité, notamment ceux en charge des questions socio-juridiques des Marocains résidant à l’étranger…Suite

Il est indiscutable que les Marocains sont en train de payer la facture de l'échec du modèle économique espagnol qui traverse une période de transition.

Les Marocains sont généralement employés dans des activités traditionnelles de faible productivité et qui sont considérés peu dynamiques en termes de croissance économique et d'innovation technologique...Suite

Il est artiste nomade, plasticien pluridisciplinaire. André Elbaz, l'un des précurseurs de la peinture marocaine contemporaine présentera au public rbati et casablancais des œuvres couvrant un demi-siècle d'une carrière dédiée aux arts plastiques. II présentera une rétrospective composée de 250 œuvres, et ce du 2 novembre au 30 décembre à la Villa des arts de Casablanca et du 9 novembre au 30 décembre à la Villa des arts de Rabat...Suite

 

Lancé en octobre 2oo9,le projet «Face Maroc» dresse un bilan plutôt encourageant pour sa première année de mise en œuvre. «La réaction des intéressés est largement positive, estime un responsable au sein du département de Mohamed Ameur, puisque 60 PME ont pu voir le jour durant les premiers mois du lancement de ce projet qui veut créer 1.350 emplois durant les 36 mois de sa durée»…Suite

La créativité des Marocains n'a pas de limites et ne connaît pas de frontières. La richesse et l'originalité de l'art marocain sont désormais appréciées dans les quatre coins du monde.

Cette fois-ci, c'est à Montréal que des artistes marocains dévoilent leurs talents, et ce dans le cadre de la onzième édition du Festival du monde arabe de Montréal prévue du 29 octobre au 14 novembre. Tenu sous le thème de ''l'Arabitude'', cet évènement de grande envergure dans la région de l'Amérique du nord prévoit un programme riche et éclectique pour refléter au mieux la diversité de la palette artistique arabe dans tous les domaines. Que ce soit en cinéma, en chant, en danse, en arts plastiques, en théâtre ou même en poésie, ils sont nombreux à présenter leurs créations et dévoiler la face « inconnue » du monde arabe.

Les Marocains ne sont pas oubliés de la liste des invités triés sur le volet. En plus des spectacles et des films marocains à l'affiche, le Maroc sera présent à travers deux expositions photographiques, la projection d'un court-métrage et une lecture de textes.
Et ce sont les artistes Faten Safieddine et Othman Zine qui croisent leur savoir-faire pour présenter une œuvre commune dans l'exposition « Ombres croisées ». Dans leurs photographies, les deux créateurs apportent une réflexion sur l'ombre, la lumière devient un masque au lieu du révélateur qu'elle est d'habitude. Voici une exposition singulière où la lumière n'est convoquée que pour mieux masquer le monde. Pierre‐André Dupire explique: « L'art de Faten SafieddineI et Othman Zine est un art de l'hypothèse. Le monde semble n'exister pour eux que lorsque les ombres se multiplient et se diffractent. Alors, l'envers des choses apparaît, les objets perdent leur consistance, la démultiplication des reflets induit des illusions optiques et une interrogation permanente sur ce que nous voyons».

Les deux artistes présentent également un court-métrage réalisé à quatre mains « La chrysalide ». Dans ce court‐métrage, le jeune cinéaste et photographe marocain et l'artiste multi‐média libano-marocaine explorent dans un style poétique et onirique le thème de la chrysalide, symbole de la femme cherchant à se libérer des carcans qui étouffent sa liberté individuelle et ses forces créatrices. « Chrysalide », plus proche du vidéo‐art que du film de fiction, mêle '' scènes chorégraphiées'', réalisme et surréalisme, les artistes croisent leurs regards et leur sensibilité pour explorer, dans un style empreint d'onirisme.
Si la première exposition est un jeu d'ombres, une énigme pour le spectateur, la deuxième exposition est un hymne au corps humain, à ses courbes, à ses formes. Les artistes s'amusent sur la morphologie. Avec leurs objectifs, ils voilent et dévoilent le corps. Ryzlaine Ben Abbes, Houda Kabbaj, Zineb Layachi montrent un grand intérêt pour le corps et l'affichent en usant de moyens divers matérialisant le jeu subtil qui se noue entre voilement et dévoilement.

Quittons les arts pour les lettres, la photographie pour la poésie. Dans une scénographie atypique, l'actrice Fatym Layachi et Othman Zine prêtent leur voix à un texte de Faten Safieddine et Pierre‐André Dupire pour la lecture de « Mots croisés ». Les deux venus d'horizons différents ont écrit un texte où se noue un dialogue poétique et amoureux et où se côtoient deux mondes, celui du réel et celui de l'imaginaire.

Le programme d'''Arabitudes'' ...

Le Festival du monde arabe (FMA), dans sa onzième version, propose une programmation éclectique et passionnante, touchant à une large variété de disciplines et de styles musicaux et accueillant une foule d'artistes d'Indonésie, d'Europe, d'Afrique, des États-Unis, du monde arabe et du Canada, dont des sommités tels Zad Moultaka, l'ensemble Ars Nova, Francis Goya, le Groupe Debu et Ilhan Garabaçak. Les spectacles sélectionnés pour le 11e FMA laissent transparaître, dans l'esprit du thème ''Arabitudes'', des artistes qui osent se rebeller contre les formes figées des traditions et qui entreprennent, par le biais du métissage musical et culturel, des démarches innovatrices, voire révolutionnaires. C'est le groupe algérien Djmawi Africa qui ouvrira les portes du festival. Après avoir ''écumé'' les scènes d'Afrique et d'Europe, le collectif ira transmettre sa joie contagieuse au public montréalais… Suivra «Le rendez-vous danse » avec le retour du majestueux danseur Ilhan Garabaçak dans une création inédite, ''CorporElles'', inspirée de son parcours au ''Cirque du Soleil''.

28/10/2010

Source : Le Matin

Les journalistes d'origine marocaine sont souvent sollicités par des médias arabes, américains ou européens. Il existe aujourd'hui une véritable communauté de journalistes MRE dispersés à travers le monde possédant notamment une expertise des questions diasporiques et pouvant participer à l'enrichissement du paysage médiatique marocain.

L'Houssine OULBAZ est un journaliste formé au Maroc. Il a fait ses débuts au Matin du Sahara et Aujourd hui le Maroc, Radio Aswat, avant d'immigrer aux USA pour rencontrer des professionnels américains. Il confie à SYNERGIES TV son regard sur la communauté marocaine aux Etats Unis, le rôle du journaliste MRE, la place des marocains du monde dans les médias marocains... Suite

Le Maroc participe au festival international du cinéma Euro-arabe (Amal) qui se tient jusqu'au 30 octobre courant à Saint Jacques de Compostelle en Galicie (nord-ouest de l'Espagne), apprend-on auprès des organisateurs.

Le Maroc participe avec deux courts métrages programmés dans la section officielle du festival. Il s'agit de "Camille et Jamila" de la réalisatrice Franco-marocaine Souad Amidou et "Boomerang" du réalisateur marocain, Jawad Ghalib.

Le premier film raconte l'histoire d'une jeune femme Camille qui se rend au Maroc pour la première fois pour passer quelque temps auprès de son père mourant qu'elle n'a pas vu depuis cinq ans. Dans ce pays, elle va retrouver sa demi-sÂœur, Jamila, ainsi qu'une famille qu'elle ne connaissait pas.

Quant au deuxième court-métrage, il raconte l'histoire de Amal, une jeune femme qui décide d'échapper à son mari qui la maltraite. Dans son périple, elle rencontre Jamal, qui lui aussi a abandonné sa famille en quête d'une vie différente. Unis par le désir de fuir, les deux personnages se laissent entraîner dans une aventure à effet boomerang.

"Amal", qui en est à sa huitième édition, est marqué également par la projection, durant la "Semaine officielle", de quelque 45 films issus de 19 pays, avec une place de choix accordée aux femmes cinéastes arabes, ainsi qu'aux coproductions euro-arabes.

Seule rencontre cinématographique en Espagne qui se consacre exclusivement au monde arabe, le festival "Amal" se veut un point de rencontre et de dialogue interculturel et un espace pour l'entente entre la culture arabe et la culture espagnole, par le truchement du plus universel des langages: le cinéma.

Source : MAP

"Réalité civilisationnelle et culturelle de l'Europe", est le thème d'un séminaire de formation organisé, lundi et mardi à Madrid, à l'initiative du Conseil européen des ouléma marocains (CEOM) au profit de quelque 70 imams venus des différentes régions d'Espagne.

Cette rencontre scientifique a constitué une occasion pour les participants de débattre et d'approfondir leurs connaissances au sujet de différentes questions relatives à la thématique principale retenue, a indiqué, mardi à la MAP, Mohamed Kharchich, secrétaire général de la Fédération espagnole des entités religieuses islamiques (FEERI), coorganisatrice de ce séminaire.
Les débats se sont focalisés notamment sur le concept de jurisprudence dans son rapport avec la réalité et le contexte culturel et civilisationnel des pays de résidence de la communauté musulmane à l'étranger, a-t-il souligné.

Concernant les sujets abordés, M. Kharchich a fait savoir qu'ils portent sur "le cadre juridique européen en matière de gestion du culte", "l'occident et le concept de pratique de la religion", "l'encadrement de la communauté musulmane à l'étranger", "la signification de la réalité civilisationnelle et culturelle" et "la relation entre les sciences sociales et l'Islam".

S'exprimant à l'ouverture de ce séminaire, le consul général du Royaume à Madrid, Youns Tijani, a d'emblée mis en exergue l'intérêt particulier porté par SM le Roi Mohammed VI à la gestion du champ religieux, en ce qui concerne notamment la communauté marocaine résidant à l'étranger.

Il a rappelé, en outre, les fondements de la politique du Maroc en matière de préservation de l'identité culturelle et religieuse des Marocains, soulignant le rôle "pionnier" joué par le Royaume dans le cadre du dialogue des civilisations.

Les autres intervenants ont mis en relief le rôle pédagogique, culturel et éducatif de l'imam à l'égard de la communauté musulmane à l'étranger, surtout dans le contexte des pays avec des réalités civilisationnelles et culturelles différentes des pays islamiques.

Source : MAP

L'Italie accueille près de 5 millions d'immigrés en situation régulière sur son territoire, a indiqué mardi l'organisation humanitaire catholique Caritas.

Selon les chiffres de l'Institut national des statistiques (Istat) «le nombre de résidents étrangers en Italie était de 4,235 millions au début de l'année 2010. Mais selon les estimations de Caritas, en incluant toutes les personnes séjournant régulièrement sur le territoire mais pas encore inscrites au registre d'Etat civil, on arrive à 4,919 millions», indique le rapport.

Les immigrés étaient environ un demi-million en 1990, selon des chiffres officiels, et 20 ans plus tard ils sont dix fois plus à près de 5 millions, représentant environ 7% de la population italienne.

«Avec l'augmentation du nombre d'immigrés et la crise, les réactions négatives, les phénomènes de fermeture ou de peur à leur égard ont augmenté», dénonce Caritas dans son rapport.

Les principales communautés étrangères en Italie sont les Roumains, les Albanais et les Marocains. «Les immigrés fournissent à l'économie italienne une importante contribution», assure également Caritas. Ils représentent aussi «un important soutien démographique» à la population italienne vieillissante.

Les étrangers versent environ 11 milliards d'euros par an à l'Etat entre les impôts, les contributions sociales ou la TVA, indique l'organisation caritative, qui relèvent cependant des cas de discrimination.

«Les discriminations, et non seulement dans le cadre du travail, touchent essentiellement les Africains, les Roumains, les Chinois et les Marocains. Rappelons l'exemple de certaines compagnies d'assurances qui font payer des primes pour les voitures plus chères aux immigrés invoquent 'le risque ethnique'», déplore Caritas en citant un rapport du bureau national antidiscrimination (Unar).

Source : 20 Minutes/AFP

Le ministre de l'Immigration, Eric Besson, a annoncé mardi une mobilisation de tous les gardes-frontières français de l'agence européenne Frontex en réponse à un appel à l'aide de la Grèce pour lutter contre un afflux de migrants venus de Turquie, un pays de transit.

M. Besson "a décidé de mobiliser immédiatement lensemble des effectifs de gardes-frontières qui constituent la contribution nationale de la France aux équipes dintervention rapide" de Frontex, selon un communiqué.

Athènes a officiellement demandé dimanche à l'Union européenne (UE) de déployer des patrouilles de surveillance à la frontière gréco-turque.

"Il sagit dune requête sans précédent dans lhistoire de lUE, justifiée par larrivée quotidienne, dans la région du fleuve Evros, de 200 à 300 ressortissants étrangers en situation irrégulière", a estimé le ministre français.

Selon M. Besson, "la France est prête à participer concrètement à leffort de solidarité européenne pour la surveillance des frontières orientales terrestres de la Grèce". Elle appelle tous les Etats membres de Frontex à répondre favorablement aux demandes opérationnelles de lagence pour mettre fin à une situation de crise qui concerne lensemble de lUE.

"La France ne laissera pas lespace européen de libre-circulation des personnes devenir lEurope des passeurs et de la traite des êtres humains" et "tous les Etats membres (...) doivent faire preuve de la même solidarité vis-à-vis de la Grèce, car cest lavenir même du formidable acquis constitué par Schengen qui est en jeu", a déclaré le ministre.

Selon Frontex, plus des trois quarts des 40.977 personnes interceptées aux frontières de l'UE au cours du premier semestre 2010 sont entrées via la Grèce, principalement en provenance de Turquie. La grande majorité sont des réfugiés économiques exploités par des réseaux de trafiquants d'êtres humains.

Des accords avec la Libye et des contrôles plus stricts en mer ont en effet incité de nombreux clandestins qui cherchaient à gagner l'UE via l'Italie ou Malte à se reporter sur la Grèce.

Source : Le Monde/AFP

Dans le cadre de la programmation du Maghreb des Films, deux journées d’étude sont dédiées à l’image du Maghrébin dans les fictions projetées en France sur grand écran et à la télévision des années 1930 à nos jours.

“Génériques” et le Maghreb des Films consacrent un temps d’analyse et de réflexion à cette question en mettant en présence pour la première fois des chercheurs mais aussi des professionnels du cinéma.

Tantôt délinquant, tantôt héros des cités, et plus proche de nous, représentant des forces de l’ordre, le personnage du Maghrébin est encore l’enjeu aujourd’hui de nombreuses interprétations. Si la recherche a mis en exergue l’apparition du personnage maghrébin dans la fiction au XXe siècle, elle doit aussi mesurer l’influence des réalisateurs et des professionnels du cinéma d’origine maghrébine dans le cinéma militant et la création cinématographique française d’aujourd’hui.

Ces deux journées,  programmées dans le cadre des rencontres cinématographiques du "Maghreb des films", se tiendront les 15 et 16 novembre 2010 à la Mairie du 2e arrondissement…  Consulter  le programme

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