vendredi 18 octobre 2024 19:17

Que serait la France sans l'immigration? Un pays vieillissant de quarante millions d'habitants, dont le niveau de vie serait beaucoup plus bas qu'il ne l'est aujourd'hui…Suite

Le Conseil de la communauté marocaine à l’étranger (CCME) et le Ministère délégué chargé de la communauté marocaine résidant à l’étranger (MCMRE) organisent, les 27 et 28 juillet 2010 à Ifrane, le Premier Forum des Jeunes Marocains du Monde en présence de près de 500 participant(e)s en provenance d’une trentaine de pays (Maghreb, Afrique de l’Ouest, Europe, Moyen-Orient, Amérique du Nord) et du Maroc.

Cette rencontre, qui se tient sous le Haut Patronage du Roi Mohammed VI, rassemblera des jeunes choisis en raison de leur engagement dans l’action citoyenne, l’entreprenariat ou la création culturelle. Organisée autour de trois espaces thématiques (Créer ; S’engager ; Entreprendre), cette manifestation a notamment pour objectif de permettre les échanges d’expériences entre les jeunes des divers pays d’immigration et entre les jeunes vivant au Maroc.

En préparation de ce forum, le CCME et le MCMRE ont fait réaliser un sondage d’opinion par l’institut BVA. Cette enquête, inédite et menée du 17 mai au 11 juin 2010, a concerné un échantillon de 2610 jeunes, âgés de 18 à 34 ans, et résidant dans les six grands pays d’émigration d’Europe (Allemagne, Belgique, France, Espagne, Italie, Pays-Bas).

Mohamed Ameur et Driss El Yazami ainsi que les responsables de l’institut BVA présenteront les résultats de ce sondage et le forum lors d’une conférence de presse le lundi 26 juillet à 16h00 à l’hôtel Golden Tulip Farah, avenue des Forces Armées Royales à Casablanca.

Source : Atlas info

25 Juillet 2010

Le Royaume du Maroc abritera, du 27 au 29 juillet, une réunion d'experts sur la migration des groupes vulnérables, et ce dans le cadre du processus préparatoire de la troisième Conférence euro-africaine sur la migration et le développement, prévue en 2011 à Dakar.

Cette réunion d'experts devrait permettre la définition d'un ensemble d'instruments de coopération sur des questions propres aux groupes vulnérables de migrants, en particulier les victimes de la traite d'êtres humains, les mineurs non accompagnés et les femmes migrantes, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération.

Cette rencontre sera organisée sous les auspices des gouvernements marocain et espagnol et avec la collaboration du Centre International pour le Développement des Politiques Migratoires (ICMPD) et de la Fondation Internationale et d'Amérique Latine d'Administration et de Politiques Publiques (FIIAP), précise la même source.

Pendant trois jours, une soixantaine de délégués, représentant 27 pays africains et européens ainsi que 8 organisations internationales, dialogueront sur l'état des lieux des migrations de personnes vulnérables le long de la route migratoire ouest-africaine, les bonnes pratiques au sein des politiques et projets existants et les stratégies de protection les plus efficaces, en vue d'adresser des recommandations opérationnelles à la Conférence ministérielle de Dakar.

La première Conférence euro-africaine sur la migration et le développement, tenue à Rabat en juillet 2006, avait constitué une première de par l'importance de la participation (60 pays africains et européens), son approche globale liant la dimension migratoire à l'impératif de développement et sa vision d'ensemble basée sur le dialogue et la coopération entre les pays d'origine, de transit et de destination.

La seconde Conférence euro-africaine sur la migration et le développement s'est tenue à Paris en 2008 et a notamment adopté un programme de coopération triennal, rappelle-t-on.

Source : MAP

Le Réseau euro-méditerranéen Migration et développement a tenu, vendredi à Larache, sa 3ème rencontre, avec la participation d'acteurs de la société civile représentant le Maroc et plusieurs pays étrangers.

Initiée en mémoire de Feu Mohamed Aouad, membre fondateur de ce réseau, cette rencontre vise à rendre plus actif le Réseau euro-méditerranéen migration et développement afin d'accompagner les développements qu'a connus la question de l'immigration durant ces dernières années.

Intervenant à l'ouverture de cette rencontre, le président du Comité des Nations Unies sur les travailleurs migrants à Genève, M. Abdelhamid El Jamri, a fait état d'une faiblesse en matière de gouvernance de l'immigration à l'échelle internationale que les associations et les réseaux oeuvrant dans ce domaine, a-t-il estimé, devraient combler.

M. El Jamri a rappelé les textes qui fondent la gouvernance de l'immigration à l'échelle internationale et qui s'appuient sur des ouvrages du bureau international du travail (BIT), du comité des Nations Unies sur les travailleurs migrants et de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM).

Il a souligné, à cet égard, la nécessité de mettre en place un programme de travail réaliste qui définit des objectifs précis, pour permettre au Réseau de devenir une force de proposition en matière de questions d'immigration et du développement dans la région.

Dans ce contexte, le coordinateur du Réseau euro-méditerranéen, le chercheur Abdelfettah Zine a, pour sa part, souligné que cette instance souhaite l'ouverture de portes de coopération et de dialogue entre les acteurs publics et la société civile sur la base des conclusions et recommandations des rencontres internationales dans le domaine de l'immigration et du développement.

Cette rencontre s'assigne pour objectifs également de créer un espace de dialogue sur des questions liées à l'immigration, pour que la société civile devienne un partenaire actif permettant de traduire dans les faits le statut avancé du Maroc avec l'Union européenne, selon les organisateurs.

Des dizaines d'acteurs et de représentants d'associations de marocains résidant à l'étranger ont pris part à cette rencontre, outre des participants venant des Philippines et du Sénégal.

Cette rencontre a été l'occasion pour les associations oeuvrant dans les domaines de l'immigration et du développement, au Maroc et à l'étranger, de consolider les relations de coopération pour entreprendre plusieurs projets en commun, outre l'examen de nombreux thèmes en rapport avec le vécu de la communauté marocaine résidant à l'étranger, notamment sa revendication en matière de participation à la vie politique dans le pays d'origine.

Source : MAP

Les services américains des douanes et de l'immigration (ICE) ont annoncé hier le lancement d'une base de données numérique permettant de mieux suivre sur Internet la localisation des immigrés clandestins qu'ils placent en détention.
Il s'agit d'un "outil facile et accessible permettant aux familles et aux avocats de localiser en quelques minutes ceux qui se trouvent sous la garde de l'ICE", a souligné une responsable de cet organisme fédéral, Phyllis Cowen, citée dans un communiqué.
Le système, baptisé ODLS (Système de localisation en ligne des détenus), permettra de localiser une personne en entrant son nom exact, son pays d'origine et sa date de naissance. Le numéro de téléphone du site de détention sera alors communiqué, de même que celui du service des douanes compétent pour la région en question.

Source : Le Figaro

Le colloque international organisé, les 24 et 25 juillet à Casablanca, par le Conseil de la Communauté marocaine à l'étranger (CCME) sous le thème "Sportifs marocains du monde, histoire et enjeux actuels", a clos ses travaux dimanche soir.

Ce colloque a été l'occasion pour des historiens du sport, nationaux et étrangers, des sportifs marocains à la retraite ou en activité et des journalistes spécialisés d'aborder, deux jours durant, la longue histoire des sportifs marocains de l'étranger qui ont contribué à faire du Royaume une terre de sport et un creuset de champions.

Cette rencontre a été également une opportunité pour mettre en exergue l'apport des jeunes champions d'origine marocaine qui investissent de plus en plus dans le développement humain en veillant à la transmission de compétences, de valeurs, du savoir-faire et d'expériences dans différentes disciplines vers leur pays d'origine à travers la création de centres de formation, d'associations et d'entreprises.

Intervenant à la séance de clôture, le président du CCME, M. Driss El Yazami, a présenté les recommandations de ce colloque, dont une proposition de création d'un Musée du sport au Maroc pour faire connaître les sportifs du Maroc et de l'étranger, l'archivage de tous les documents et supports iconographiques et audiovisuels et la préservation de ce patrimoine.

L'organisation de rendez-vous annuel des sportifs, la mise en place d'un plan post-carrière pour certains sportifs, l'encouragement des anciens sportifs à s'occuper de l'enseignement sportif et l'organisation de meetings et de rencontres annuelles internationales dans les différentes disciplines ont été également recommandés par les participants, a-t-il conclu.

Ont pris part à ce colloque, initié en collaboration avec la chaîne de télévision "2M", une centaine de participants, dont des étrangers venus notamment de Belgique, d'Espagne, de France, d'Italie, de Suède, des Etats-Unis d'Amérique et des Emirats Arabes Unis.

Source : MAP

"Les sportifs marocains du monde, histoire et enjeux actuels" est le thème du colloque international qui a ouvert ses travaux, samedi à Casablanca, en présence des historiens du sport nationaux et étrangers, des journalistes spécialisés et d'autres acteurs sportifs.

Cette manifestation, organisée par le Conseil de la Communauté marocaine à l'étranger (CCME) en collaboration avec la chaîne 2M, entend contribuer à la longue histoire des sportifs marocains à l'étranger, allant du milieu des années 1930 aux nouvelles générations de sportifs marocains issus de l'immigration en passant par les figures légendaires des années 1950 et 1960.

Les organisateurs ont également prévu de rendre hommage à ces migrants qui ont contribué à faire évoluer le sport national dans ses différentes disciplines.

Le secrétaire général du ministère de la Jeunesse et du Sports, M. Karim Akkari a souligné, à cette occasion, l'importance de cet événement qui constitue une opportunité pour les experts et les hommes de terrain marocains et étrangers pour présenter leur témoignage en retraçant l'histoire glorieuse des stars marocaines ayant marqué l'histoire du sport national et international.

C'est aussi une occasion pour analyser la carrière de la nouvelle génération des sportifs marocains à l'étranger et des contraintes qui s'y rattachent, comme elle permet de débattre des moyens d'une capitalisation mutuelle sur l'ensemble des compétences marocaines à travers le monde afin d'assurer une pérennisation de son rayonnement à tous les niveaux, a-t-il ajouté.

M. Akkari a, par ailleurs, relevé que les avancées technologiques et la vague de la mondialisation ont eu un impact profond non seulement sur la situation de l'émigration marocaine mais aussi le monde sportif devenu au centre de toutes les convoitises.

Cette situation a engendré, selon M. Akkari, deux grandes problématiques. Il s'agit du statut de ces sportifs qui se trouvent devant un choix difficile entre représenter leurs pays d'accueil lors des grandes manifestations sportives ou défendre les couleurs de leur pays d'origine.

La deuxième problématique réside dans les comportements nuisibles aux principes sacro-saints qui constituent les piliers du mouvement sportif mondial, notamment avec le recours massif à la naturalisation qui accroit le déracinement, a-t-il dit.

Après avoir souligné que le sport est un levier majeur du développement durable et un moyen pour conforter la position éminente du pays sur l'échiquier international en tant que pays d'ouverture, de démocratie, de tolérance et de fraternité, M. Akkari a noté que malgré les efforts indéniables fournis depuis des décennies, le pays souffre encore d'un déficit en matière de ressources humaines spécialisées dans les métiers du sport.

Il a, à cet égard, appelé à la conjugaison des efforts pour attirer les compétences sportives marocaines résidants à l'étranger pour bénéficier de leurs expertises et expériences avérées dans ce domaine.

De son côté, M. Younes Ajray, membre du CCME a indiqué que ce colloque s'inscrit dans le cadre des activités initiées par le CCME pour débattre des questions qui intéressent la communauté marocaine à l'étranger, notamment les questions de la langue, de la situation des retraités et les défis socio-économiques qu'affronte la communauté marocaine établie à l'étranger.

Soulignant l'intérêt que ce colloque accorde aux sportifs marocains du monde, M. Ajray a émis le voeux de voir cette rencontre adopter des recommandations susceptibles de contribuer à la recherche des solutions aux défis posés.

Dans une déclaration à la MAP, en marge de ce colloque, M. Idriss El Yazami, président du CCME a précisé que l'objectif principal de ce colloque est de contribuer à l'écriture de l'histoire des sportifs marocains du monde, qui constituent des exemples pour les générations futures, relevant par la même occasion, la participation et la présence à ce colloque de nombreuses stars marocaines, dont le courage et le talent ont marqué l'histoire du sport national et mondial.

Prennent part à ce colloque de deux jours, une centaine de participants du Maroc et de l'étranger venus notamment de Belgique, d'Espagne, de France, d'Italie, de Suède, des Etats Unis d'Amérique, des Emirats Arabes Unies pour débattre des sujets portant notamment sur "les sportifs marocains du monde, champions pluridisciplinaires", "les chemins de l'identité sportive".

Source : MAP

Le Conseil de la communauté marocaine à l’étranger organise un colloque international  « Sportifs marocains du monde, histoire et enjeux actuels».

En hommage aux sportifs ayant hissé haut le drapeau marocain à l’étranger, Morad Moutaouakkil et Said Belfaqir vous invitent à suivre une soirée haute en couleurs, où chants musiques et spectacles seront les maîtres-mots. Mardi 27 juillet à 211h30.

Entre mémoire, sport et divertissement et en partenariat avec le CCME (Conseil de la Communauté Marocaine à l’Etranger, 2M vous propose une soirée dédiée aux sportifs marocains ayant évolué à l’étranger, des stars qui ont porté haut les couleurs nationales dans différentes disciplines sportives.

Seront ainsi présents sur le plateau: Saïd Aouita, Hicham El Guerrouj, Nourredine Naybet, Mustapha Hajji, Abdelatif Benazzi, Hicham Arazi, khalid Rahilou, Nezha Bidouane, Adil Belgaid, Mustapha Lakhsem, Baddou Ezzaki, Mohamed Timoumi, Ahmed Faras, Mohamed Ahansale, pour ne citer qu’eux.

La soirée reviendra sur les parcours brillants et exceptionnels de ces figures sportives. Un hommage sera également rendu aux sportifs qui nous ont quittés.

Seront présents aussi à cette grande soirée Chaker Chelbat, Président de la fédération suédoise de taekwando et Ibtissame Bouharat, membre de l'équipe nationale belge de football.

Une pléiade de chanteurs sera aussi de la partie : Hakim, Cheb Kader, Douzi, One Voice et la très populaire Daoudia.
Divertissement, information, émotion, musique, nostalgie et bonne humeur seront au rendez-vous, ainsi que des reportages avec des images d’archives inédites.

Source : 2mtv

Le ministère délégué chargé de la Communauté marocaine résidant à l'étranger et le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME) organisent, les 27 et 28 juillet à Ifrane, le 1er Forum des jeunes marocains du monde, présence de près de 500 participants d'une trentaine de pays.

Organisé sous le Haut patronage de S.M. le Roi Mohammed VI, ce Forum rassemblera des jeunes, venus d'une trentaine de pays (Maghreb, Afrique de l'Ouest, Europe, Moyen-Orient, Amérique du Nord) , choisis pour leur engagement dans l'action citoyenne, l'entreprenariat ou la création culturelle, indique un communiqué conjoint du ministère et du CCME.

Cet événement a, notamment, pour objectif de permettre les échanges d'expériences entre ces jeunes et entre eux et les jeunes vivant au Maroc.

Les débats porteront notamment sur les thèmes : «La seconde génération en Europe : Réflexions à partir de l'exemple français», «jeunes d'origine marocaine: comportements et attentes», «Engagement des jeunes à travers l'expérience des ONG au Maroc», «L'engagement politique des jeunes en Europe», «Enjeu de la créativité en contexte globalisé : Quand la complexité identitaire devient un faire valoir sur le marché de l'art» et «Langues et création : le rôle des artistes en tant que passeurs de culture entre ici et là».

Le programme prévoit aussi des ateliers sur les thèmes : «Défendre ses droits et s'insérer ici et ailleurs», «S'engager en politique : enjeux et perspectives», «renforcer l'action associative, levier de solidarité», «Construire les nouveaux relais d'information et de communication», «Définir une offre culturelle innovante», «Investir, monter son entreprise : Mythes et réalités» et «Promouvoir la mobilité des compétences au service du développement économique et social».

Au programme figurent aussi une conférence sur «Identité entre unité et multiplicité» ainsi que quatre témoignages de la première génération.

Dans le cadre des préparatifs de ce Forum, l'institut BVA a réalisé, du 17 mai au 11 juin dernier, un sondage d'opinion pour le compte du CCME et du ministère sur un échantillon de 2.610 jeunes âgés de 18 à 34 ans et résidant en Allemagne, Belgique, France, Espagne, Italie et Pays-Bas, selon la même source.

Les résultats de cette enquête seront présentés le 26 juillet à Casablanca par le ministre délégué chargé de la Communauté marocaine résidant à l'étranger et le président du CCME.

Source : MAP

 

Les Marocains résidant en Espagne sont au premier rang des travailleurs étrangers extra-communautaires affiliés, à fin juin dernier, à la sécurité sociale dans ce pays, apprend-on jeudi de source officielle espagnole.

Le nombre de travailleurs marocains affiliés à la sécurité sociale s'est établi ainsi à 231.245 personnes, suivis des immigrés équatoriens, avec 176.375 personnes, et des Colombiens, avec 116.176 travailleurs, précise le ministère espagnol du Travail et de l'immigration dans un communiqué.

Selon la même source, le marché de l'emploi en Espagne a enregistré, à fin juin dernier, la 5ème hausse mensuelle consécutive du nombre des travailleurs immigrés inscrits au régime de la sécurité sociale.

Le nombre d'affiliés étrangers à la sécurité sociale en Espagne s'est établi à 1.899.660 de travailleurs en juin, en hausse de 0,8 pc par rapport au mois précédant.

Sur le total des affiliés étrangers à fin juin dernier, 690.175 sont originaires de l'Union européenne (UE), alors que 1.209.485 proviennent de pays extra-communautaires.

Les régions autonomes de Catalogne (Nord-est) et de Madrid continuent de concentrer près de la moitié du nombre de travailleurs étrangers légaux établis en Espagne.

Source : MAP

Un séminaire national sur le thème " Migrations et développement : Quelles perspectives ? " sera organisé, les 24 et 25 juillet au Centre de formation du croissant rouge à Mahdia, à l'initiative d'un consortium composé de trois associations marocaines et une française.

Initié par les associations marocaines "Forum des alternatives", "Institut de formation des agents de développement" et "Association Touya pour l'action féminine" et l'association française "Réseau immigration, développement et démocratie", l'organisation de ce séminaire s'inscrit dans le cadre du projet fédérateur "associations migrantes, associations villageoises: Une mise en réseau pour un développement local et solidaire", indique un communiqué conjoint des quatre ONG.

Le thème du séminaire constitue un enjeu fondamental aussi bien au niveau du Maroc qu'au niveau mondial, note la même source, relevant que ce projet fédérateur est une contribution du mouvement associatif issu de l'immigration en France et des associations partenaires au Maroc pour le renforcement des capacités des sociétés civiles au Maroc et en France.

Il s'inscrit également dans le cadre de l'initiative conjointe UE/PNUD sur la thématique migrations et développement.

Ce séminaire national a pour objectifs de faire le point sur les acquis de cette expérience et de réfléchir sur les rapports Sud/Sud et Sud/Nord et les perspectives de mise en réseau et de structuration de cette dynamique.

Cette rencontre constituera aussi un moment de réflexion sur les enjeux sociaux et culturels de la migration, ainsi que son impact sur les dynamiques du développement.

Source : MAP

La question de « l’identité sportive », ou de la « nationalité sportive » se pose avec acuité lorsqu'on s'attache aux trajectoires des sportifs de haut niveau, marocains ou d'origine marocaine qui ont marqué leur époque de leurs performances et de leur personnalité…Suite

L’histoire des sportifs marocains à l'étranger reste encore à écrire. Autrefois, ils immigraient et faisaient carrière, aujourd'hui,  ils sont nés dans leurs pays d'adoption. Dossier…Suite

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Chaque année, à la même période le sujet «Marocains du Monde» refait surface. Le club Entreprendre a invité une palette de professionnels afin de réfléchir sur les dispositifs à mettre en place pour relancer leurs investissements…Suite

Avec un taux de mobilité internationale de 15%, soit 50.000 étudiants, les Marocains sont parmi les premières nationalités à investir dans les études à l’étranger contre moins de 5% pour l’Algérie et la Tunisie. Les étudiants marocains sont de plus en plus nombreux à opter pour les écoles internationales. Certes, le phénomène prend de l’ampleur, toutefois, l’intention de partir à l’étranger ne se traduit pas toujours sur le terrain par une concrétisation. C’est ce qui ressort des premiers résultats d’une enquête sur la mobilité éstudiantine marocaine vers l’international intitulée «e-memi», publiés dans le dernier numéro des cahiers du HCP (Haut commissariat au plan) pour la période juillet-août 2010. Lancée en mars 2009 par une équipe de jeunes chercheurs marocains et français au sein de l’université Cadi Ayyad de Marrakech, première université du Maroc en termes d’effectifs d’étudiants et de formations offertes, l’étude a pour objectif de déterminer les facteurs sociaux qui stimulent cette dynamique et de définir les raisons qui incitent les Marocains à vouloir étudier à l’étranger et même y réaliser leur parcours professionnel, sachant les difficultés d’insertion dans l’emploi dans un marché de travail devenu fortement concurrentiel. L’enquête vise donc à comprendre le processus de formation du projet d’études à l’étranger. Plusieurs facteurs sont ainsi examinés dont les caractéristiques socio-économiques de l’étudiant, le parcours scolaire ( primaire, secondaire et supérieur) de l’enquêté, les démarches entreprises en vue de l’inscription dans un établissement supérieur à l’étranger.

Un étudiant assidu à la bibliothèque a 3 fois plus de chance de poursuivre ses études à l’étranger.

L’un des points saillants de l’enquête : la mobilité  comme la migration est un phénomène sélectif. Si 65% des étudiants enquêtés déclarent une intention de poursuivre des études à l’étranger, seul un tiers d’entre eux a effectué des démarches concrètes pour y parvenir et encore une proportion  moindre partira effectivement à l’étranger. Sexe, fréquentation de la bibliothèque, aide financière des parents…autant de facteurs sélectifs. Un étudiant assidu à la bibliothèque et donc travailleur a 3 fois plus de chances d’avoir cette intention en comparaison avec un étudiant qui ne se rend jamais à la bibliothèque. Cette sélectivité se traduit, également, dans l’effet des facultés.

En d’autres termes, expliquent les auteurs de l’enquête, les étudiants des établissements à accès ouvert (recrutement sans sélection) ont plus de chances d’être partants pour une aventure à l’étranger, comparés aux autres étudiants des établissements sélectifs (recrutement effectué sur dossier et suppose une mention au baccalauréat). Les étudiants de la FMP (Faculté de médecine et de la pharmacie), l’ENCG (Ecole nationale de commerce et de gestion) et l’ENSA (Ecole nationale des sciences appliquées) à accès restreint, affichent clairement qu’ils n’ont pas l’intention de migrer vers l’étranger. Cependant, même cette sélectivité n’est pas la même pour tous au sein même d’un établissement. Elle diffère en fonction du degré de la satisfaction des étudiants du même établissement. Illustration : bien qu’issus d’un établissement à accès restreint, près de 74% des étudiants de la Faculté de sciences et techniques (FST) expriment leur insatisfaction vis-à-vis de leur filière particulièrement en matière de débouchés professionnels et de qualité de formation. 63% des sondés affirment que leurs études actuelles ne correspondent pas à leur souhait lors de la première inscription au supérieur. Conséquence : les étudiants de la FST comme ceux de la FSS (Faculté des sciences Semlalia) et de la FSJES (Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales), insatisfaits de leurs études, considèrent que leurs formations actuellement ne leur permettent pas d’avoir de meilleurs débouchés professionnels et affichent donc leur volonté d’émigrer.

Autre point saillant de l’enquête : les conditions socio-économiques des enquêtés affectent le choix d’étudier à l’étranger. Les étudiants de la FST ont effectué plusieurs demandes d’inscription au moment de l’obtention du bac, contrairement aux étudiants de la FLSH (Faculté des lettres et sciences humaines), qui n’ont pas fait de démarches spécifiques. Les premiers sont généralement issus de familles appartenant aux catégories sociales de statut élevé. Le père et la mère sont soit cadres supérieurs soit travaillant dans les professions libérales. Le niveau d’éducation des parents est également plus élevé, de même que le revenu pour le ménage familial allant de 6.000 à 20.000 DH. Or, les étudiants de la FLSH se distinguent par des caractéristiques socio-économiques beaucoup moins favorables (revenu de ménage des parents faible allant de moins de 4 00 à moins de 1.600 DH, aucun niveau d’éducation pour la mère).

Source : Le Soir

23 juillet 2010

La Communauté marocaine au Canada s'emploie à organiser des activités de promotion du Maroc…Suite

Dans le cadre de la célébration en 2010 des 400 ans de relations économiques entre les Pays-Bas et le Maroc, l'Ambassade des

Pays-Ras à Rabat organisera le Panna Knockout Tour 2010 du 27 juillet au 2 août 2010. Il visitera les villes de Tanger, Casablanca, Al Hoceima et Nador. Pendant les soirées, le public profitera d'un spectacle réalisé par des professionnels du panna comme Mo Boutaka,..Suite

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