samedi 27 avril 2024 00:30
Les transferts d'argent des quelque quatre millions d'étrangers vivant en Italie vers leurs pays d'origine ont atteint en 2008 près de 6.381 milliards d'euros, soit une hausse de 5,58 pc par rapport à 2007, relève une étude.

Selon cette étude de la Fondation "Leone Moressa", dont se fait l'écho samedi le quotidien "Corriere della sera", la Chine vient en tête des pays récipiendaires de ces fonds avec 1,5 milliard, soit 24 pc du total.

Viennent ensuite les Philippines (14 ,4 pc), la Roumanie (12 pc), le Maroc (5,2 pc), le Sénégal (4,1 pc), le Bangladesh (2,8 pc) et le Brésil (2,5 pc).

Cette croissance des transferts, qui ont été multipliés par deux entre 2000 à 2008, n'est pas l'apanage de l'Italie, précise toutefois la même source relevant qu'il s'agit d'un phénomène plus général.

La Banque mondiale (BM) avait indiqué récemment que les transferts d'argent vers les nations les moins développées ont atteint en 2008 près de 283 milliards de dollars, soit une hausse de 6,7 pc par rapport à 2007.

Par ailleurs, la même étude, qui s'est basée sur des chiffres de la Banque d'Italie et de l'Institut italien des statistiques, fait ressortir que l'épargne des étrangers en Italie a connu une baisse de 10 pc par rapport à 2007.

MAP
L'opérateur de réseau mobile virtuel franco-marocain "Mobisud" a été racheté par l'opérateur français de la téléphonie mobile "SFR", rapporte samedi le quotidien économique français "La Tribune".

"Mobisud" France, qui cible la communauté maghrébine estimée à plus de cinq millions dans l'Hexagone, est racheté par SFR, "qui en détenait déjà 16 PC", précise le journal.

Outre SFR, numéro deux français de la téléphonie mobile, "Mobisud" France est actionné également par Maroc Telecom qui détient 66 PC du capital et le groupe marocain "Saham" pour 18 PC.

La publication fait, d'autre part, remarquer que Maroc Telecom, société soeur de SFR au sein du groupe "Vivendi", a toutefois décidé de conserver la filiale belge de "Mobisud", qu'elle détient à 100 PC et qui rencontre un plus grand succès commercial.

MAP
Les célèbres mosquées Al Quaraouiyine et Al Andalous, situées à l'ancienne médina de la capitale spirituelle du Royaume, constituent un témoignage vivant et un merveilleux modèle de l'architecture islamique.

Ces hauts lieux de l'Islam, avaient donné l'occasion à la cité idrisside d'être la capitale intellectuelle de l'occident musulman depuis l'éclipse des villes de Kairaouan et de Cordoue.

Les deux mosquées petites à leurs débuts, se sont agrandies au fil des siècles pour devenir des édifices exceptionnels et un carrefour incontournable des hommes et savants du monde arabo-musulman.

La Mosquée Al Quaraouiyine a vu le jour dans l'ancienne médina sur la rive gauche de l'Oued-Fès. Elle a été construite en 249 de l'hégire (859) par une femme pieuse Fatima Fihria.

Mosquée d'abord, université par la suite, la bâtisse à son édification autorisée par Yahia 1er, petit-fils d'Idriss II Al Azhar, ne dépassait pas 1.248 m2. Son agrandissement, ses transformations et ses réfections ont été concrétisés par les dynasties qui se sont succédé à Fès.

Aujourd'hui, après sa restauration sur Hautes instructions de SM le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine, la Mosquée Al Quaraouiyine qui s'étend sur 5.846 mètres carrés peut contenir quelque 20.000 fidèles.

Elle fut agrandie et transformée par nombre de dynasties qui ont régné au Maroc. Sa grande cour (sahn), dallée de marbre et de zellige, date de l'époque Almoravide. Les Almohades y ont placé un lustre monumental.

Les Mérinides ont notamment doté la Mosquée d'une chambre pour le "Mouaqqite" et d'une bibliothèque qui devait en faire un des foyers intellectuels les plus brillants de l'Islam.

La dynastie Alaouite a maintenu la tradition universitaire à l'intérieur de la Mosquée en la dotant d'une deuxième bibliothèque et s'attelant à la restauration de ses documents et manuscrits.

Témoin de la grandeur architecturale de la civilisation arabo-musulmane, la mosquée comprend 16 nefs ornées chacune de 21 arcs qui partagent les espaces et un oratoire Zénète au style hispano-mauresque.

Quant à la mosquée Al Andalous, située dans la partie "Adouat al andalous" est le monument qui a le plus attiré l'intérêt des historiens.

Fondée en 245 de l'Hégire (859-860 JC), par Meryem Al-Fihrya, la mosquée séparée par une rive de sa contemporaine la Quaraouiyinne, a eu depuis le 13ème siècle, une existence sobre et éclectique.

Construit ensuite par un groupe d'andalous entre 1203 et 1207 émigrant à Fès, cet édifice a été avant l'époque almohade une mosquée cathédrale mais surtout un lieu privilégié des hommes politiques.

C'est grâce aux bons soins du calife Omeyade que la mosquée fut complétée d'un minaret (345 hégire/956), couvert de sculptures sur plâtre et d'un sanctuaire composé de six nefs recevant de l'eau en abondance par une rigole, le canal masmouda, dit "saguiat masmouda".

Abou Youssef Yacoub, le troisième calife, a construit pour sa part en bois de cèdre la grande porte monumentale de Bab Lahfa, la fontaine sur la galerie nord, l'entrée des imams et la salle d'ablution. Ainsi, la mosquée Al Andalous est, à l'exception de son minaret une oeuvre du quatrième calife almohade An-Nasir.

L'empreinte Mérinide touche le sanctuaire restauré au début du XIIe siècle par les Almohades et la fontaine du Sahn.

Par une vue d'ensemble, la mosquée est érigée sur 3.345m2. Et, tout fidèle peut y pénétrer en choisissant l'une des sept portes. L'entrée principale est "Bab Lahfa" (porte des pieds-nus).

Elle est faite de bois et de fer forgé. Monumentale, sa forme est unique pour une mosquée. Les autres, sont, "Bab Al Yasmina" qui donne sur le patio et à la fontaine, "Bab Assbaayyin" pour la salle des prières, "Bab Oued Aboud", "Bab Assamaa", "Bab Assalihin" et, une entrée réservée aux femmes.

Le "sahn" (cour et patio), entouré d'arcades est trapézoïdal. Il est le chemin qui mène à la salle des prières et à l'oratoire. Passant par les galeries carrelées en Zellij, le regard croise au milieu d'une allée une vasque lobée en marbre blanc.

La salle des prières est d'une grande simplicité. Elle est constituée d'une quinzaine de nefs et possède deux bibliothèques en bois sculpté. Le mihrab est riche en sculpture sur plâtre et se trouve au dessous d'une coupole ornée de claustras magnifiques.

Par ailleurs, les mosquées Al Quaraouiyine et Al Andalous, deviennent notamment durant le mois sacré du Ramadan, des lieux de culte les plus fréquentés par un grand nombre de fidèles fassis.

Ces lieux de culte, entretenus, encensés et parfumés, abritent quotidiennement des conférences religieuses données par des Oulémas ainsi qu'une récitation collective du saint Coran faite par des fidèles, qui échangent des voeux et prient pour que ce mois sacré de piété et de recueillement soit porteur de bienfaits et de paix pour la "Oumma Islamique".

MAP

Ils sont 41 clandestins africains, enfermés depuis plusieurs mois au Centre d'accueil des étrangers de San Jose de Costa Rica, à demander à la fois l'asile politique et... des leçons d'espagnol.

Arrivés par petits groupes, au hasard des itinéraires et de la trahison de leurs "passeurs", 24 Erythréens, 9 Ethiopiens, 8 Somaliens et une Guinéenne, jurent aujourd'hui pour la plupart que le Costa Rica était leur but.

Les autorités ont du mal à les croire et elles les soumettent à des entretiens serrés: aucun d'eux ne parle espagnol et le Costa Rica, même s'il accueille aujourd'hui près d'un demi-million d'immigrés, n'a pas le même pouvoir d'attraction que les Etats-Unis ou le Canada.

En attendant mieux peut-être, ils veulent tenter leur chance à San Jose.

"Nous cherchons un pays démocratique et amical avec les émigrants", témoigne l'un d'entre eux, un Erythréen de 27 ans qui demande qu'on l'appelle Samir, et qui, lui, reconnaît qu'il croyait partir au Canada.

Diplômé en électronique, il a émigré pour "travailler et aider sa famille", restée au pays et qui a vendu une partie de ses biens pour financer son voyage.

Il a payé 7.000 dollars, raconte-t-il, à un réseau de trafiquants qui l'ont abandonné sur la côte caraïbe du Costa Rica après un périple quatre mois via le Soudan, le Kenya, l'Afrique du Sud, puis le Brésil, l'Equateur et la Colombie.

Aujourd'hui, comme ses compagnons d'infortune, il "attend la décision du gouvernement du Costa Rica".

Et il attend comme eux, dans des cellules partagées avec "des narcotrafiquants et des criminels" en compagnie d'autres immigrés, latino-américains pour la plupart, mais certains aussi venus de Chine, et qui sont là "depuis plus de six mois".

"C'est dur de vivre ici, nous ne sommes pas des criminels" gémit David, un Ethiopien, 27 ans lui aussi, diplômé en administration des entreprises. Il fait remarquer que la plupart des Africains du centre de rétention "sont instruits et ont un métier".

Il pourrait ajouter qu'ils ne sont plus exposés au risque d'expulsion, depuis qu'ils ont officiellement porté plainte contre les trafiquants qui les ont escroqués.

Conscients du handicap de la barrière de la langue au cas où on les autoriserait à chercher un emploi, ils ont demandé un professeur d'espagnol.

"Nous ne sommes pas en présence d'immigrés analphabètes ou de personnes déplacées", confirme Julio Aragon, le responsable de l'administration d'accueil des étrangers.

Les immigrés clandestins illustrent "le drame que vit l'Afrique", ajoute-t-il, soulignant en outre "leur triste perspective d'être victimes de trafiquants qui les considèrent comme de la marchandise".

Les clandestins africains ne représentent qu'une infime partie des centaines de milliers de Latino-américains qui tentent chaque année de gagner les Etats-Unis.

Après avoir abordé la côte de la mer des Caraïbes ou de l'océan Atlantique, ils suivent le flux général par le Mexique, où les autorités ont intercepté au cours du premier semestre de 2009 un total de 164 Erythréens, 153 Somaliens et 77 Ethiopiens, ainsi que 10 Sri-Lankais et 9 Irakiens.

En mars dernier, 50 clandestins originaires d'Ethiopie, d'Erythrée et du Népal, qui pouvaient difficilement s'exprimer dans une autre langue que la leur, avaient ainsi été abandonnés par leurs "passeurs" sur la côte atlantique du Nicaragua. Ils avaient été repérés par les autorités, désorientés, sans papiers ni argent. Ils ignoraient où ils se trouvaient.

AFP

La société italienne "Grandi Navi Veloci" vient de choisir le port de Sète (Sud de la France) pour desservir par ferries le Maroc dès cet automne, rapporte vendredi le quotidien économique français "Les Echos".

Sous le titre "Le port de Sète renforce ses liens avec le Maghreb", le journal fait savoir que l'opérateur italien a annoncé la création à l'automne d'une première liaison par ferries vers le Maroc.

"Nous voulons faire de Sète la porte de l'Europe vers le Maghreb et le hub de nos activités portuaires en France", souligne le directeur général de la compagnie, Ariodante Valeri, cité par la publication.

Après avoir relevé que la "Comarit" reste la seule compagnie qui dessert le Maroc depuis Sète, le quotidien fait remarquer que "Grandi Navi Veloci" va mettre en service des bateaux de 188 à 214 mètres capables d'accueillir de 2.000 à 3.000 passagers et de 1.800 à 2.500 mètres linéaires de fret, ainsi que des navires rouliers de nouvelle génération pour le transport de passagers et de véhicules de tous types.

MAP
La Suisse a enregistré en 2008 sa plus forte augmentation de population depuis plus de 40 ans, due essentiellement à l'immigration, selon des chiffres rendus publics jeudi par l'Office fédéral de la statistique (OFS).

La population de la Confédération a augmenté de 1,4% pour atteindre 7,701 millions d'habitants fin 2008, a indiqué l'OFS dans un communiqué.

Cet accroissement est "le plus important observé depuis les années soixante", a-t-il commenté, précisant que le nombre de résidents permanents avait augmenté de 108.400 personnes en 2008.

Cette croissance démographique est due à 90% au solde migratoire, qui s'élève à 98.200 personnes, a expliqué l'OFS, soulignant qu'il s'agissait du solde migratoire le plus élevé de l'histoire de la Suisse, après celui enregistré en 1961 (100.000 personnes).

L'augmentation du nombre de résidents est "à mettre en parallèle avec la bonne conjoncture économique sur la plus grande partie de l'année 2008 et l'introduction, le 1er janvier 2007, de la libre circulation complète des personnes avec 17 pays de l'Union européenne", a fait valoir l'OFS.

AFP

Les immigrés se retrouvent à leur corps défendant pris dans le débat sur la réforme de la couverture maladie aux Etats-Unis, la droite accusant l'administration du président Barack Obama de vouloir soigner gratuitement les sans-papiers.

En martelant la semaine dernière dans son traditionnel discours radiodiffusé du samedi que les sans-papiers ne seraient "pas couverts" par la nouvelle assurance santé et que cette idée "n'a jamais été envisagée", Barack Obama a tenté une nouvelle fois de mettre un terme à une polémique allumée par une frange du camp conservateur qui prétend le contraire.

Car le projet de loi débattu devant la Chambre des représentants dit bien que "rien (...) ne permettra le versement de subventions fédérales (...) à des individus qui ne résident pas légalement aux Etats-Unis".

Sceptique, Robert Rector, spécialiste de l'immigration et de la santé à la fondation conservatrice Heritage, rétorque que les médecins ne demanderont pas leurs papiers aux immigrés qui viennent les consulter.

"C'est quelque chose qui n'a pas de précédent dans le système de santé américain. En gros, on dit: +vous n'avez aucun droit (aux soins), mais, bon, on ne va pas non plus aller vérifier votre statut si vous allez consulter un médecin+", a-t-il récemment souligné lors d'un débat organisé à Washington.

Les immigrés qui ont résidé légalement pendant moins de cinq ans aux Etats-Unis n'ont pas accès aux deux programmes publics de couverture médicale, Medicaid (pour les plus nécessiteux) ou Medicare (pour les personnes âgées).

Parmi les quelque 46 millions de personnes sans couverture médicale aux Etats-Unis, un tiers sont des immigrés.

Mais la base conservatrice est, elle aussi, en ébullition. Lors d'assemblées organisées en août par les parlementaires désireux d'expliquer leurs positions sur le projet de réforme, certains participants se sont enflammés, accusant le gouvernement Obama de faire des 12 millions de sans-papiers les premiers bénéficiaires de la nouvelle couverture santé.

Les chiffres parlent un autre langage: qu'ils résident légalement ou non aux Etats-Unis, les immigrés se rendent moins fréquemment dans les hôpitaux que les citoyens américains. Ils dépensent aussi beaucoup moins en frais de santé.

"Les frais bruts de santé des immigrés ont représenté entre la moitié et les deux tiers des dépenses des citoyens américains, quand bien même les immigrés étaient totalement assurés", analyse Ku Leighton, un expert en réforme du système de santé, qui a publié ses conclusions dans la revue American Journal of Public Health.

Car selon M. Leighton, la moyenne d'âge des immigrés est plus basse que celle de la population américaine. Ils sont aussi, généralement, en meilleure santé.

Pour eux, la réforme ne changerait donc pas grand chose.

"La vérité est que les nouveaux sans-papiers qui arrivent aux Etats-Unis ne bénéficient d'aucune subvention pour les aider à se payer une assurance santé", explique-t-il à l'AFP.

En 2006 et 2007, les services de santé américains (depuis les hôpitaux jusqu'aux ambulances) ont dépensé quelque 221 millions de dollars en services d'urgence, qu'ils n'ont pas récupérés, vraisemblablement parce que ceux qui en ont bénéficié était des clandestins.

Ce montant représente 0,03% du total des dépenses des hôpitaux américains, selon M. Leighton.

AFP

Quelques jours après la parution du rapport sur les catholiques de France, l'IFOP fournit un nouveau document : une enquête sur l'implantation et l'évolution de l'Islam de France. Il y a dans ce document une carte de la répartition géographique des musulmans en France, qui confirme la présence dans l'Est de la France ainsi que dans les départements industrialisés et urbanisés (région parisienne, région de Lyon par exemple). La répartition socio-démographique fait apparaître une surreprésentation des jeunes, des hommes, et des catégories populaires ou "autres inactifs". Un éclairage de la pratique religieuse (forte dans l'ensemble, 33% se disent pratiquants contre 16% de catholiques) est également fourni. Enfin, le rapport se termine par un "focus sur les femmes" (question du voile, du mariage avec un non-musulman, de valeurs morales).

Pour télécharger les résultats de l'enquête IFOP : http://www.ifop.com/?option=com_search&keywords=islam


Le Conseil des ministres algerien a adopté hier un décret présidentiel portant création du Conseil consultatif de la communauté nationale à l'étranger.Cette structure sera placée auprès du président algérien, et regroupera cinquante-six représentants de la communauté algérienne à l'étranger élus par des assises nationales parmi des participants mandatés, trente-trois représentants des administrations et institutions publiques, ainsi que cinq personnalités désignées par le chef de l'Etat parmi des personnes connues pour leur engagement sur les questions liées à la communauté algérienne à l'étranger.
La Fédération royale marocaine de football (FRMF) a dévoilé, mercredi, la liste des 23 joueurs retenus pour le match contre le Togo, prévu le 6 septembre à Lomé dans le cadre de la 4e journée (groupe A) des qualifications CAN-Mondial 2010.

La FRMF avait communiqué mercredi dernier une première liste de 38 joueurs pour un stage de présélection.

Parmi les noms écartés de la nouvelle liste figurent notamment Hicham Aboucherouane (Ittihad Jeddah/Arabie Saoudite), Nabil Baha (Malaga/Espagne), Michael Basser (AS Nancy/France), Adil Chihi (FC Cologne/Allemagne), Kamal Chafni (Auxerre/France), Abderrahman Kabous (Murcia/Espagne) et Adil Hermach (Lens/France).

Après trois matches en qualifications, le Maroc occupe la troisième place du groupe A avec deux points, derrière le Togo, deuxième avec 4 points et le Gabon, en tête avec 6 pts mais avec un match en moins. Le Cameroun, qui compte également un match en moins, ferme la marche avec 1 point.

MAP

SG au JT de 2m: spécial programmation de la journée internationale des migrants

Les entretiens du symposium

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