vendredi 5 juillet 2024 20:38

Dans le cadre de la convention qui lie le CCME et l’Université Cadi Ayyad portant, notamment, sur les termes de collaboration scientifique entre les deux institutions, le CCME est partenaire de l’Université Cadi Ayyad qui organise par le biais du « Groupe de recherche sur la jurisprudence et les questions des marocains résidant à l’étranger » un colloque international : «La communauté musulmane et la question de l'intégration et de  la coexistence», les 29 et 30 mai 2012 à Marrakech. Argumentaire et programme du colloque (En arabe).

La décision telle que annoncée par le ministre britannique de l’immigration, Damien Green, concernerait en plus des marocains, chinois, indiens, népalais et sud-africains.

Il s’agit d’un nouveau mécanisme implanté par le gouvernement de David Cameron, visant à supprimer les centres de dépistages aux frontières notamment dans les aéroports, en les remplaçant par des procédures de dépistages à la source dans les pays classifiés par l’OMS comme sources de risques contagieux, ou sévit la tuberculose.

La raison économique y trouve aussi tout son sens, en ses temps de crises, dans cette nouvelle orientation tel que la démontre la déclaration de Damien Green : «le retrait des installations de contrôle aux aéroports permettra d'économiser aux contribuables plus de 25000000 de livres ».

Les voyageurs marocains en partance pour l’Angleterre se verront ainsi demandé de subir un examen de santé avant de se faire livrer leurs titres de séjour, les porteurs de la maladie se feront refuser l’accès au pays.

21 Mai 2012

Source : eMarrakech

Chez les immigrés d'Afrique subsaharienne ou du Maghreb, les envois d'argent servent surtout à soutenir la consommation de la famille restée au pays. Mais chez les Wenzhounais, cet argent est souvent investi de façon productive dans les entreprises de leur aire d'origine…Suite

Dans un contexte économique assez morose, la mobilité internationale continue à s'affirmer. Nombreux sont les recruteurs qui partent à la conquête de profils étrangers, d'autres en revanche expatrient et détachent leurs salariés à l'étranger. Qu'en est-il du marché de l'emploi marocain…Suite

Sous le thème central « le Maroc de demain: bilan et perspectives des migrations et développement », les travaux de la sixième édition du forum international autour de ces deux volets ont pris fin, samedi dernier à la faculté pluridisciplinaire de Taroudant, en présence des ministres chargé des affaires des Marocains Résidents à l'Etranger et de l'artisanat…Suite

La ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Geneviève Fioraso, a annoncé aujourd'hui (21 mai) que sa première mesure serait de demander le retrait de la "circulaire Guéant" sur les étudiants étrangers. "C'est une urgence. C'est une urgence en termes humains, mais aussi en termes de rayonnement et de partage de la connaissance", a déclaré la ministre lors d'une conférence de presse au siège du CNRS à Paris.

Le Collectif du 31 mai, regroupant des étudiants étrangers victimes de la "circulaire Guéant", avait adressé la semaine dernière un courrier de "félicitations" au président François Hollande qui avait promis d'abroger rapidement cette circulaire. La circulaire du 31 mai 2011 de l'ancien ministre de l'Intérieur Claude Guéant, restreignant la possibilité pour des diplômés étrangers d'obtenir un statut de salarié après leurs études, avait provoqué une levée de boucliers notamment dans les universités, mais avait également suscité des réserves au sein du patronat.

Le texte contesté demandait aux préfets d'instruire "avec rigueur" les demandes d'autorisation de travail des étudiants et d'exercer un "contrôle approfondi" des demandes de changement de statut des étudiants étrangers. Une nouvelle circulaire adoptée le 12 janvier a assoupli théoriquement les conditions pour les diplômés étrangers voulant travailler en France.

21/05/2012

Source : Le Figaro/AFP

Le ministre-président de la Fédération Wallonie-Bruxelles Rudy Demotte, la ministre de la Culture Fadila Laanan et son homologue marocain, Mohamed Amine Sbihi, ont officialisé lundi à Rabat le projet Daba Maroc.

Quelque 150 artistes marocains ou d'origine marocaine proposeront une soixantaine de prestations à Bruxelles, en Wallonie et en Flandre, d'octobre 2012 à janvier 2013. Le projet est financé par la Fédération Wallonie-Bruxelles (un million d'euros) et le Maroc (200.000 euros). Daba signifie "maintenant, tout de suite" dans un dialecte marocain. Daba Maroc est un projet multidisciplinaire mettant en évidence l'art contemporain marocain.

Le ministre marocain de la Culture a indiqué que les autorités marocaines avaient été très rapidement en phase avec les organisateurs belges tant au point de vue politique que culturel. Le projet n'est pas lié au contexte des Printemps arabes, a précisé Mme Laanan, tout en faisant le constat "d'une effervescence intellectuelle et une vitalité culturelle au Maroc depuis l'avènement du roi Mohamed VI".

M. Mohamed Amine Sbihi a confirmé que "le processus démocratique en cours dans son pays s'accompagnait d'une effervescence culturelle". "Le monde bouge tant du point culturel qu'institutionnel. La nouvelle constitution établit de manière ferme la diversité culturelle." M. Demotte a déclaré que le festival intervient à un moment clé de l'histoire du Maroc et reflète des aspirations exprimées avec force lors du Printemps arabe. "Il est important que le grand tournant démocratique souhaité par les autorités (marocaines) se traduise, se marque, s'applique dans la vie politique, la justice, la presse ou encore les droits des femmes", a-t-il conclu.

Le commissaire marocain de l'événement, Driss Khrouz, directeur de la bibliothèque nationale du Royaume du Maroc, a souligné que le Maroc ne se résumait pas aux réformes institutionnelles ou à la nouvelle constitution et qu'il fallait aussi prendre en compte les artistes et les créateurs. "Nous voulons un Maroc d'innovation, tourné vers l'avenir", a-t-il résumé. La commissaire belge de Daba Maroc, Fabienne Verstraeten, directrice des Halles, n'était, elle, pas présente à Rabat.

Un des artistes marocains participant au projet Daba Maroc s'est réjoui de se produire en Belgique mais a regretté qu'aucune activité ne sera organisée dans son pays. Il a demandé aux ministres d'aider les artistes marocains à exister aussi chez eux, "sans être conditionnés".

21/05/2012

Source : Lalibre.be/ BELGA

Les Flamands ne vivent pas dans la rue, ils vivent principalement dans leur maison. Les Flamands aiment le calme, après 10 heures du soir on ne peut plus faire de bruit. En Flandre, les gens ne se rendent pas visite sans prévenir : ils prennent généralement d'abord rendez-vous, ils sont attachés à leur intimité. Les Flamands sont ponctuels ; si vous devez faire quelque chose à 9 heures vous le faites à 9 heures. Il ne pleut pas d'argent en Belgique." Etc, etc.

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