Le Maghreb des Films 2010, cela correspond à près de 60 films maghrébins programmés dans différentes salles de cinéma à Paris, en banlieue parisienne et en différentes villes en province. Aux 3 Luxembourgs de Paris, la programmation débute le 5 novembre, notamment par le film marocain « La Mosquée » de Daoud Aouled-Syad. Jusqu'au 16 novembre, le cinéma marocain sera à l'honneur du festival. En province, le plaisir sera peut-être moins intense mais, en revanche, plus long...
Nominé pour la sélection officielle au Festival international de cinéma de San Sebastian 2010, la comédie dramatique de Daoud Aoulad Syad « La Mosquée » a déjà fait parler d'elle, et les programmateurs du Maghreb des Films ne pouvaient faire l'impasse sur ce film. Il fait partie de la liste des films inédits marocains qui seront projetés, aux côtés de « Fissures » de Hicham Ayouch, « Les Oubliés de l’Histoire » de Hassan Benjelloun, et de « Rif 1921- une histoire oubliée » de Manuel Harillo.
L'essor du cinéma marocain que les organisateurs veulent illustrer lors de cette 3e édition du Maghreb des Films s'est fait en un mouvement irréversible « de la tradition à la modernité ». En témoignent des films comme « Marock» de Laïla Marrakchi, « Alyam ! Alyam ! » de Ahmed El Maanouni, «Mektoub » de Nabil Ayouch, « Amours voilées » de Aziz Salmy… A l'affiche également, une programmation de cinéma amazigh consacrée au Maroc, dans laquelle l'on retrouve notamment « Ahmed Gassiaux », premier long-métrage d'Ismaël Saidi.
Le principal lieu de projection des films maghrébins sera le cinéma Les 3 Luxembourgs au Quartier Latin de Paris. Mais comme l'expliquent les organisateurs, « un élément essentiel du projet 'Maghreb des films' est le réseau de salles. » Un réseau qui, à part Les 3 Luxembourgs, englobe 17 cinémas en région parisienne, en Rhône-Alpes, dans le Nord Pas de Calais, et en Midi Pyrénées. Petit bonus pour les adeptes de films en dehors de Paris : la programmation y est allongée sur tout le mois de novembre et même en décembre. Ainsi, Toulouse verra une programmation dense de films maghrébins du 18 au 23 novembre. A Gennevilliers, le Maghreb des Films passera du 27 novembre au 13 décembre.
Depuis cette année, l'association « Le Maghreb des Films » assure l'organisation de ce projet cinématographique et du programme d'accompagnement dans les différents lieux. Ainsi, en plus d'avoir élargi le réseau des cinémas participants, des projections scolaires et un programme de conférences sur différents sujets touchant le cinéma maghrébin ont été mis en place.
02.11.2010
Source : Yabiladi
Le Centre d’Études des Mouvements Migratoires Maghrébins de l’université Mohammed I – Oujda (Maroc), organise les 11 et 12 novembre 2010 un colloque international sur le thème : Migrations et développement des régions maghrébines et sub-sahariennes…Suite
Un Colloque international sous le thème "Islam dans le monde moderne: opportunités et défis" se déroulera, ce mardi et mercredi à la Faculté des lettres et des sciences humaines de l'Université Mohammed V de Rabat.
Organisé par le ministère des Habous et des Affaires islamiques et l'ambassade de Grande-Bretagne au Maroc, ce Colloque ambitionne d'examiner, du point de vue de l'Islam, les défis que doit relever le monde moderne et les questions auxquelles font face les leaders politiques, les militants de la société civile et les citoyens ordinaires dans leur vie quotidienne.
Cette rencontre, organisée en collaboration avec British Council et la Faculté des lettres et des sciences humaines, débattra de plusieurs sujets portant, entre autres, sur les enseignements à tirer des politiques visant à rendre hommage à l'héritage religieux et culturel, tout en gardant les engagements vis-à-vis des droits de l'Homme, les méthodes de traitement par les sociétés des dilemmes et des conflits résultant des changements et la répartition des rôles entre hommes et femmes.
Les participants à cette rencontre examineront également la question de l'interprétation du patrimoine religieux est son impact sur l'édification et la gestion de l'Etat islamique moderne et de l'éducation dans le monde islamique, indique lundi un communiqué du ministère des Habous et des Affaires islamiques.
Ce Colloque sera décliné en sessions dédiées à des axes principaux, dont "les Musulmans en Europe et à travers le monde", "le rôle des Musulmans européens dans le renouvellement de la civilisation islamique", "dilemmes résultant des changements et des rôles des hommes et des femmes", "le cadre de la vie publique", et "l'éducation et la science dans le monde islamique contemporain".
Source : MAP
Les recettes des Marocains résidant à l’étranger se sont établies à 40,7 MMDH à fin septembre 2010, contre 37,6 MMDH une année auparavant, en progression de 8,2 pc…Suite
L'économiste-consultant marocain Mohamed Larbi El Harras vient de publier un livre sur les relations économiques et sociales entre le Maroc et la Belgique intitulé "Maroc-Belgique: de l'avantage comparatif naturel à l'avantage compétitif".
Ce livre de 141 pages, réparti en quatre parties, met l'accent notamment sur les économies et les sociétés Marocaine et Belge et les relations économiques et sociales entre le Maroc et la Belgique outre des propositions pour une meilleure intégration des Marocains résidant en Belgique.
L'auteur souligne que dans les années 1960, les relations économiques et sociales entre le Maroc et la Belgique se limitaient à un flux d'émigration touchant essentiellement des hommes d'un niveau scolaire très bas. Les échanges commerciaux entre ces deux pays étaient fort limités.
Un demi siècle, environ, plus tard, force est de constater qu'une évolution a été enregistrée dans la nature des relations économiques et sociales existantes entre les deux pays et ce dans le domaine de la migration, des échanges commerciaux et des investissements belges au Maroc.
En d'autres termes, le Maroc passe graduellement de "l'émigration" d'une main d'œuvre sans compétences particulières en général, à l'exportation de biens et services et à l'importance de biens d'équipement et de biens intermédiaires à contenu technologique relativement élevé, ajoute l'auteur dans son introduction générale de l'ouvrage.
Sur le plan humain, note l'économiste, la communauté d'origine marocaine résidant en Belgique, forte d'environ 400.000 personnes, connait progressivement un changement au niveau de ses compétences professionnelles acquises, soit à travers les études, soit à travers un apprentissage professionnel.
Les relations économiques et sociales existantes entre le Maroc et la Belgique sont-elles en train de passer d'un schéma Ricardien des avantages comparatifs naturels des nations à celui de l'avantage compétitif, s'interroge l'écrivain.
L'examen des échanges commerciaux, du flux des investissements belges vers le Maroc, du mouvement touristique belge au Maroc, des transferts de fonds de la part des membres de la communauté des belges d'origine marocaine ou des marocains résidant en Belgique vers le Maroc montrent que la Belgique intervient grosso-modo pour 5 pc de l'ensemble des relations économiques du Maroc avec l'extérieur, indique l'auteur du livre.
A côté des chiffres combien importants, mais qui restent dans une certaine mesure assez "froids", se dégage, fondamentalement, une amélioration qualitative des relations en question.
L'écrivain met l'accent sur un changement relatif du contenu des produits échangés entre les deux pays, notant qu'une évolution est également en cours au niveau de la place qu'occupe la communauté d'origine marocaine installée en Belgique et qui, d'une façon volontaire ou involontaire, acquiert progressivement des compétences professionnelles dans divers domaines.
Le livre met en exergue l'ouverture du Maroc sur l'investissement étranger, notamment belge et le renforcement de la coopération réalisée par la Belgique au profit du Maroc.
Si des réformes ont bien été lancées par le Maroc dans divers domaines, beaucoup reste à faire. N'est ce pas là l'expression des contraintes de la recherche du passage d'une économie en voie de développement à une économie émergente, indique l'écrivain.
02/11/10
Source : MAP
Avec l'arrivée de la saison agricole, la petite ville italienne de Rosarno se prépare à celle des travailleurs saisonniers. Ceux-là mêmes que les émeutes de janvier 2010 avaient chassés de la ville. Unanimement, les médias avaient alors dénoncé le «racisme» de la population. Un retour sur les lieux permet de découvrir d'autres raisons aux violences…Suite
Le film Pégase de Mohamed Mouftakir est en lice pour remporter le grand prix du festival du cinéma méditerranéen de Bruxelles prévu du 5 au 13 novembre courant.
Bonne nouvelle pour Mohammed Mouftakir. Son premier long-métrage, Pégase, est en compétition au festival du cinéma méditerranéen de Bruxelles qui aura lieu du 5 au 13 novembre à Bruxelles. Cet opus a, pour rappel, remporté le grand prix du festival national du film de Tanger en janvier 2010.
Les cinéphiles, ceux notamment qui n’ont pas eu l’occasion de découvrir Pégase, pourront l’apprécier au cinéma dès sa sortie en salle prévue en novembre. Fidèle à son style qui est un mélange de psychodrame et de fantastique, le réalisateur risque de séduire une fois de plus avec sa dernière création. Ce film, dans lequel on retrouve les actrices Majdouline Idrissi et Saâdia Ladib, met en valeur le personnage de Zineb, une jeune femme qui travaille dans un asile psychiatrique. Son supérieur lui confie une jeune patiente terrorisée qui croit être enceinte.
La mission de Zineb consiste à la faire parler mais la jeune fille ne s’avère pas très coopérante. Outre la fiction «Pégase» de Mohammed Mouftakir, la section panorama du festival dédié à la production cinématographique actuelle en Méditerranée a prévu de projeter le long-métrage Ahmed Gassiaux, réalisé en 2009 par le jeune Belgo-marocain Ismaël Saïdi qui s’est inspiré de l’époque coloniale pour poser le problème de l’identité. «Les oubliés de l’histoire», film que Hassan Benjelloun a réalisé en partie à Bruxelles, sera aussi présenté dans le cadre d’une «soirée découverte marocaine» initiée en partenariat avec le festival du film arabe de la capitale belge. Ce long-métrage est une interpellation douce-amère sur les conséquences néfastes de l’immigration clandestine et l’exploitation des clandestins ainsi que sur les questions de l’exil et de l’accueil. La série documentaire prévoit de même la projection du film «Hadjira, Mehrezia, Latifa : femmes musulmanes en Occident». Il s’agit d’une production maroco-suisse, réalisée par Mohammed Soudani qui propose de suivre «le voyage à trois voix et trois visages au sein d’un univers féminin qui se raconte, avec ou sans voile». La découverte «Med Maroc» se clôturera par une «veillée» gnaoua-jazz animée par le groupe «Trance Mission» et dirigée par le maâlem gnaoui Hassan El Gadiri et à laquelle participe le saxophoniste belge Grégoire Tirtiaux.
«Plus qu’un simple festival cinématographique, c’est donc un véritable lieu de partages, de rencontres et de découvertes qui se crée pendant plus d’une semaine en plein cœur de Bruxelles», ajoute-t-on de même source. Ainsi, la 11e édition du festival du cinéma méditerranéen propose quelque soixante-dix projections représentant une vingtaine de pays méditerranéens. Dix films seront en compétition internationale pour l’octroi du grand prix du Festival et du prix du Public, représentant notamment le Maroc, la Turquie, la Croatie, la Grèce, l’Italie, l’Espagne, la Palestine et l’Algérie et qui seront départagés par un jury présidé par le célèbre cinéaste français Claude Brasseur. Le festival du cinéma méditerranéen a pour objectif de révéler à travers le 7e art toute la richesse du bassin méditerranéen en constante évolution. Tous les deux ans, cette manifestation donne l’occasion, soulignent les organisateurs, «d’ouvrir les esprits, de rapprocher les cultures, d’instaurer le dialogue entre des populations différentes par la langue, l’origine ou la condition».
Outre la fiction Pégase de Mohammed Mouftakir, la section panorama du festival dédié à la production cinématographique actuelle en Méditerranée a prévu de projeter le long-métrage Ahmed Gassiaux, réalisé en 2009 par le jeune Belgo-marocain Ismaël Saïdi.
2 novembre 2010
Source : Le Soir
Trois films marocains seront projetés lors de la 2ème édition du Festival du cinéma arabe à Berlin, qui aura lieu du 3 au 11 novembre, à l'initiative de l'Association des amis du cinéma.
Le public sera au rendez vous avec les films «Les cœurs brûlés» du réalisateur Ahmed Maânouni, ''Whatever Lola Wants'' de Nabil Ayouch et "Le Grand Voyage" d'Ismaël Ferroukhi.
Quelque 30 films regroupant longs et courts métrages seront projetés lors de cette édition qui, placée sous le signe de «l'immigration», verra la projection en ouverture du film «Le temps qu'il reste» du réalisateur palestinien Elia Suleiman.
Le programme de cet événement culturel sera aussi marqué par l'organisation, samedi prochain, d'une conférence sur «l'image de l'immigré arabe dans le cinéma», avec la participation d'Ahmed Maânouni.
01/11/10
Source : MAP
L'immigration rapporterait à la France 18,4 milliards d'euros de taxes sur la consommation et des milliers de strat-up, selon le dernier numéro du mensuel Capital qui consacre un dossier spécial à l'apport des étrangers à l'économie française.
Même si ce constat est élitiste, car concernant de hauts cadres dont l'embourgeoisement profite à la consommation, il renseigne, selon Capital, sur la "réussite de leur intégration économique"...Suite
Le réalisateur franco-marocain vient d'achever le tournage de son dernier film, qui raconte l'amitié entre un ouvrier musulman et un chanteur juif dans la France de Vichy…Suite
Il a travaillé avec les plus grands avant de faire son numéro au Salon du cheval d'EIJadida. Portrait d'un cavalier, voltigeur, acrobate, au parcours atypique…Suite
La soprano marocaine Samira Kadiri a clôturé, dimanche soir, en beauté la 15ème édition du festival "Madrid Sur" organisé depuis le 8 octobre denier dans plusieurs localités au sud de la capitale espagnole.
La voix unique de Samira Kadiri, accompagnée de la chanteuse flamenco Rocio Marquez et de l'Orchestre de musique andalouse de Fès, a mené, tout au long d'une heure, le public venu nombreux dans un périple artistique fantastique, esthétique et spirituel et dans un beau voyage musical issu des cultures marocaine et espagnole.
Le chant gitan, le Maoual mauresque gharnati, ainsi que d'autres connotations rythmiques et mélodiques ont fait le bonheur du public présent au Théâtre Josep Carreras de Fuenlabrada (sud de Madrid) pour savourer la voix de Samira, lauréate, en 2008, du "Prix Al Farabi pour la musique antique", distinction du Comité national de la musique relevant du Conseil international de la musique de l'UNESCO.
Le concert de Samira Kadiri intervient dans le cadre du projet musical "Rythmes de la mémoire" qui permet de donner une nouvelle lecture de l'histoire à travers des musiques telluriques du Maroc et d'Espagne.
Il s'agit d'une célébration du patrimoine musical des deux rives, qui doit sa grandeur à la diversité inhérente, à l'ampleur de son caractère créatif et, surtout, à son dynamisme et son mouvement vers un futur qui assume la modernité comme un bien en devenir.
S'exprimant au terme de l'édition 2010 de "Madrid sur", Angela Monleon, directrice du festival, a mis en exergue la qualité de la participation marocaine, faisant observer que le Royaume a été toujours présent à ce festival depuis sa création.
Elle a jouté, dans une déclaration à la MAP, que cette participation s'inscrit dans le cadre d'un programme culturel global visant l'organisation de plusieurs événements conjoints afin de consolider l'entente et la compréhension entre les peuples des deux pays.
Monleon, également coordinatrice générale de la fondation de l'Institut International du Théâtre de la Méditerranée (l'IITM), initiateur de ce rendez-vous artistique, a signalé que la forte présence du public, composé d'Espagnols et de Marocains résidant dans la région de Madrid, reflète le succès de ce festival dont l'objectif est de créer un espace de dialogue pour consolider les liens d'amitié et de fraternité entre les deux pays, a-t-elle indiqué.
De son côté, Larbi Harti, coordonnateur général de la Fondation de l'IITM pour le Maroc et le monde arabe, a souligné que le Maroc cherche chaque année à assurer une participation de qualité afin de sensibiliser l'opinion publique espagnole sur la nouvelle dynamique que connaît le Royaume dans tous les domaines, notamment culturel, se félicitant du soutien institutionnel accordé à la participation marocaine à cet événement qui constitue un moment fort de la coopération maroco-espagnole en matière culturelle et artistique.
La présence de responsables marocains et espagnols ayant assisté à plusieurs spectacles programmés dans le cadre de ce festival témoigne de l'intérêt accru accordé par les deux pays au développement des relations culturelles, a-t-il dit dans une déclaration similaire.
Outre Samira Kadiri, qui s'est produite également le 30 octobre à Alcorcon, le Maroc a été représenté à cette édition par l'ensemble Rhoum El Bakkali de la Hadra chefchaounia qui a donné deux concerts les 8 et 9 octobre.
Depuis sa création, la culture marocaine a toujours été présente au Festival International Madrid Sur, pionnier dans la promotion de la culture marocaine en Espagne.
Sur ses scènes se sont produits des artistes comme Touria Jabrane, Tayeb Seddiki, Faouzi Bensaidi Takoon, Compania 2K Far, Chekara, Darga, Hoba-Hoba, Bigg et Ilham Loulidi.
Le 15ème festival "Madrid Sur", qui a offert comme chaque année, une palette de pièces de théâtre, de spectacles de danse, de musique et de rencontres artistiques, a été consacré à des thématiques telles que l'alliance des civilisations et la défense de la diversité culturelle et de la culture en tant qu'espace de critique et d'imagination à la portée de tout le monde.
Parallèlement aux différents spectacles programmés, des tables-rondes et des conférences-débats sur des thèmes artistiques ou littéraires figuraient également au programme de ce festival organisé par l'IITM, avec l'appui notamment du ministère espagnol de la Culture et de la région autonome de Madrid.
01/10/10
Source : MAP
L’évènement est prévu du 1er au 6 novembre avec l’incontournable «L’khbar F’lmasrah» et le nouveau rendez-vous fraîchement installé : le dabablog.
La compagnie Dabateatr s’active. Après une dixième édition du programme Dabateatr citoyen début octobre, la onzième édition est déjà dans le pipe. Rendez-vous est donné du 1er au 6 novembre à partir de 20 heures à la salle Gérard Philipe de l’Institut français de Rabat. Au menu de cette deuxième saison, on retrouve l’incontournable «L’khbar F’lmasrah» qui, chaque début du mois, clôt la semaine en deux temps. Dans le volet des nouveautés, la troupe accueille durant sa semaine de Dabateatr citoyen, le festival «Migrant scène» organisé par le Groupe antiraciste d’accompagnement et de défense des étrangers et migrants (GADEM), association de droit marocain ayant pour mission d’œuvrer pour le respect et la protection des droits des migrants et étrangers au Maroc. Cette première édition prendra la forme de deux soirées de sensibilisation sur les questions migratoires sous forme d’actions culturelles accessibles à tous, mais ouvrant sur des réflexions et discussions communes afin de faire connaître la situation des migrants, demandeurs d’asile et réfugiés au Maroc dans une optique d’un mieux vivre ensemble.
Ce festival aura principalement comme objectif de permettre la rencontre entre populations marocaines et étrangères, d’échanger et de sensibiliser sur les notions de migration, d’interculturalité et sur la situation spécifique du Maroc en tant que pays d’émigration, de transit et, depuis peu, d’immigration. Le jeudi 4 novembre, les grands amateurs de Dabateatr auront rendez-vous avec le dabablog, qui est un forum en temps réel avec un blogueur. Alia Belgssir, une jeune lycéenne de 17 ans est l’invitée du mois. Cette dernière a réussi à se forger sa petite communauté d’inconditionnel(le)s. Alia est amoureuse des couleurs et de leurs nuances, mais elle est également allergique au numérique, et n’hésite pas à explorer les vieilles techniques de plus en plus délaissées. .
1/11/2010
Source : Le Soir
Selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), alors que les départs se chiffrent à 20 000 migrants par année depuis 1990, l’Afrique fait appel chaque année à des spécialistes étrangers, dont le nombre peut atteindre les 150 000, pour une dépense annuelle de 4 milliards de dollars.
Les transferts de fonds vers l’Afrique sont en hausse ces dernières années, tandis que l’aide au développement décline d’année en année, selon les différentes études exploitées par les experts.
Toutefois, ce qui inquiète les pays d’origine des migrants est le nombre de compétences qui quittent les pays notamment en Afrique et plus particulièrement l’Algérie. Selon des données récentes recoupées par l’économiste et membre de la diaspora algérienne à l’étranger, impliqués dans différents réseaux comme Maghtech dans le Maghreb et Globelix dans monde, ils sont 1 655 863 compétences immatriculées au niveau des ambassades algériennes, dont 1 335 109 personnes résidentes en France seulement.
Elle est suivie du reste de l’Europe où vivent 179 924 et l’Amérique avec 69 200 Algériens. Citant Abey Makonnen, représentant régional de l’OIM, cet économiste indique que la tranche d’âge de 15/65 ans de la population d’Europe occidentale devrait en principe décroître de 259,4 millions en 2000 à 237,3 millions en 2025 et 162,8 millions en 2050, soit une diminution de 37,2 %. Conclusion, selon la même source, «dans 25 ans, l’Afrique se sera vidée de ses cerveaux».
Besoin de 1,6 million de migrants par an dans 15 pays de l’UE
L’Europe des quinze a eu besoin de 550 000 travailleurs et professionnels étrangers par an jusqu’en 2010, ensuite 1,6 million entre 2010 et 2050, ce qui représente 16,8% du total de la population de l’Union européenne. Les scénarios en termes de besoins fixent le nombre d’immigrés nécessaires entre 47 millions d’immigrants pour l’Europe des quinze entre 2000 et 2050, à 674 millions. L’Afrique constitue un réservoir de main-d’œuvre et de compétences pour l’Occident, les migrants sont estimés à 22 millions sur une population africaine de plus d’un milliard de personnes en 2010, signale Mohamed Saïb Musette, sociologue et membre du Cread qui relève que la part de femmes est restée plus ou moins stable entre 1990 et 2010, avec un taux de 46% de l’ensemble des migrants. Pour lui, d’une manière générale, la part des migrants en rapport avec la population africaine est en baisse régulière. Elle est passée de 3,3% en 1990 à 2,1% en 2010. La tendance est vers une progression de la migration à l’intérieur du continent, pour de multiples raisons dont le durcissement des mesures en Europe avec l’option de «l’immigration choisie» tant prônée par certains Etats européens. Ils sont 19 millions recensés en 2010 dont 82% sont africains et 18% viennent d’autres continents alors qu’ils étaient 17,6 millions en 2005. Dans le monde, le stock de migrants africains s’élèvera à 22,5 millions répartis sur les différents continent comme suit : 53% en Afrique même, 29% en Europe, dont 13% en France, 13% en Asie dont 7,2% en Arabie Saoudite et seulement 5% en Amérique du Nord. (voir graphe 1).
Source : El Watan
Faute de lieux d'inhumation, les musulmans continuent dans leur écrasante majorité de rapatrier leurs morts dans le pays d'origine alors que l'enterrement en France apparaît de plus en plus comme le signe d'une intégration réussie.
Quelque 80% des défunts originaires du Maghreb sont enterrés dans leur pays, selon une estimation d'Atmane Aggoun, chercheur au Centre national de la Recherche scientifique, qui se base sur les laissez-passer mortuaires délivrés par les préfectures.
Parmi eux, il n'y pas uniquement des immigrés de la première génération mais aussi des jeunes nés en France, notamment décédés de mort violente, a noté le sociologue Yassine Chaïb.
Grâce à la force du lien communautaire, les familles démunies sont aidées pour offrir ce dernier voyage, synonyme d'une dette sociale de celui qui a promis le retour. Des sans-domicile fixe et des sans-papiers sont ainsi rapatriés. Les immigrés d'un même village participent souvent à une cotisation spécialement dédiée.
Pays de tradition laïque, la France a autorisé par décret présidentiel la réalisation d'un cimetière musulman de quatre hectares en 1937. Il a été construit à Bobigny (Seine-Saint-Denis), près de l'hôpital franco-musulman (Avicenne).
Elle compte également quelque 85 carrés musulmans, essentiellement en Île-de-France. Il en faudrait entre 600 et 700, selon Atmane Aggoun. L'offre est "largement insuffisante", confirme le président du Conseil français du Culte musulman (CFCM), Mohamed Moussaoui.
Du point de vue de la tradition coranique, rien n'oblige un croyant à élire sa dernière demeure dans un pays musulman, mais seulement dans un cimetière où est respecté le rite funéraire qui veut notamment que la tête du mort soit tournée vers La Mecque.
"La règle veut que les défunts musulmans soient enterrés dans un cimetière musulman, ce qui explique le souhait de la majorité des familles de les rapatrier dans le pays d'origine", selon la Grande mosquée de Paris.
Le désir de recueillement a cependant suscité une revendication de carrés musulmans même si la peur de l'exhumation est décourageante puisqu'il s'agit désormais de concessions à durée déterminée.
Pour les musulmans, la tombe est la demeure éternelle. Le corps est enseveli à même le sol pour qu'il puisse se mélanger plus rapidement à la terre qui l'a engendré, difficulté supplémentaire en France où le cercueil est obligatoire.
"Faire souche en France nécessite une tombe pour l'éternité", observe Yassine Chaïb, selon lequel une concession temporaire signifie pour l?immigré "le prolongement d'un provisoire qui dure".
L'aménagement de carrés musulmans "est la preuve que la terre de France s?est sacralisée et que l?on est là pour longtemps", ajoute-t-il.
"Aujourd'hui, soutient-il, de plus en plus d'immigrés disent : +Mon pays, c?est mes enfants+, nés en France et pensent qu'en se faisant enterrer dans ce pays, ils y font souche".
Selon Atmane Aggoun, ce sont surtout les immigrés ayant eu une "carrière continue" en France qui veulent y être inhumés. "Ils veulent donner des racines à leurs enfants et à leurs petits-enfants. C'est un droit du sol renversé", explique-t-il.
"S'intégrer c'est aussi exister en tant que mort. L'intégration passe avant tout par la désintégration du corps ici, en France", estime le chercheur.
Pour répondre à la demande croissante de carrés, Yassine Chaïb recommande aux maires de pas se conduire en "théologiens" en négociant avec des associations religieuses, mais en "géomètres" puisqu'il s'agit d'une "question d'aménagement urbain".
Faute de place et face à l'interdiction de la crémation par l'islam, le CFCM songe aux ossuaires, a déclaré à l'AFP Mohamed Moussaoui.
Source : AFP
« Arabitude » est le thème choisit dans le cadre de la 11ème édition du Festival du Monde Arabe de Montréal qui a débuté le 29 Octobre pour durer jusqu'au 14 Novembre 2010. Cette année la programmation est marquée par une forte diversification, touchant plusieurs disciplines et styles musicaux et accueillant des artistes du Maroc et du monde entier.
Réputé par sa grande envergure, le festival du Monde Arabe est une occasion permettant aux artistes venant du monde entier, de dévoiler leurs talents. Et pas seulement aux artistes. Scientifiques, intellectuels, entrepreneurs, paysans : tous vont participer à la présentation d’une palette artistique arabe. La diversité des domaines d'activité des participants donne un avant-goût du programme éclectique de cette année.
Le Maroc ne manquera pas au rendez-vous. Il sera présent à travers des spectacles, des films marocains à l’affiche, la projection d’un court métrage, une lecture de textes et deux expositions photographiques. Des rencontres passionnantes avec des Marocains de tous horizons sont prévues.
Selon les organisateurs, « les spectacles sélectionnés pour la 11è édition laissent transparaître, dans l'esprit du thème Arabitude, des artistes qui osent se rebeller contre les formes figées des traditions et qui entreprennent, par le biais du métissage musical et culturel, des démarches innovatrices voire révolutionnaires ».
Ainsi, les journées du FMA sont une réelle opportunité pour les talentueux de dévoiler leurs talents, de permettre aux professionnelles venant de différents coins du monde de se rencontrer, de sensibiliser les gens par rapport à l’implication dans les grands chantiers de leurs pays mais surtout de rapprocher les peuples et leurs cultures.
Pour plus d'informations, visitez le site du FMA
30.10.2010
Source : Yabiladi
Le troisième Forum des compétences marocaines en Amérique du Nord a ouvert ses portes, samedi au Palais des Congrès à Montréal, une occasion d'échanges entre les entreprises marocaines, qui pourront communiquer sur leurs métiers et faire valoir leurs spécificités, et la diaspora marocaine d'Amérique du Nord, qui pourra s'informer sur les opportunités de carrière qu'offre le marché de l'emploi marocain.
Des institutions et des entreprises marocaines, ainsi que des multinationales couvrant une multitude de domaines d'activités ont commencé déjà leurs contacts et entretiens avec des compétences marocaines immigrées. Il s'agit notamment du ministère de l'Economie et des finances et d'autre entreprise privés.
Plus de 3000 compétences marocaines sont attendues à cette troisième édition avec la participation de plus d'une vingtaine de sociétés et organismes marocains couvrant différents secteur d'activité, le but étant l'optimisation de la contribution des MRE au développement économique et social du Maroc et leur implication dans les grands chantiers de développement humain du pays.
Parallèlement à l'événement, la première rencontre de la jeunesse marocaine vise, d'autre part, à "établir un lien d'échange entre la jeune génération de Marocains en Amérique du Nord et les décideurs au sein des organismes marocains", selon les initiateurs.
L'éducation, les enjeux économiques et la sphère politique sont, entre autres, les principaux thèmes inscrits à l'ordre du jour de cette rencontre, qui verra la participation de représentants d'institutions nationales et canadiennes, d'homme politiques, ainsi que de représentants du monde universitaire et associatif.
30/10/10
Source : MAP
Le vernissage d'une exposition de photographies sur le Maroc a eu lieu, vendredi soir, à la célèbre Galerie du cinéma du Parc, à Montréal, sur le thème "Complètement Maroque !", en présence de plusieurs personnalités des mondes des arts, de la culture, des médias et de la politique.
Cette exposition comprend une sélection d'œuvres qui ont pris naissance lors des séjours au Maroc, a déclaré à la MAP l'artiste montréalaise Martine Michaud, rappelant que les paysages extraordinaires du Maroc et la vie quotidienne des gens et leur générosité ont été la source d'une grande inspiration pour elle.
Pour l'artiste, ses œuvres traduisent la diversité du Maroc, l'intensité de ses lumières, la richesse de ses couleurs et l'atmosphère accueillante de ses paysages où simplicité rime avec beauté et sérénité.
"Il s'agit de photos qui présentent un regard original sur le pays", a ajouté Mme Michaud qui vouait un grand amour au Maroc pour sa sérénité, sa quiétude et sa nature haute en couleur.
Vrai régal pour l'oeil, cette exposition, dont la cérémonie de vernissage s'est déroulée en présence notamment de MM. Abdallah Ouhi, vice-consul du Maroc à Montréal, et Abdelghani Ragala, directeur du bureau de l'ONMT à Montréal, offre une symphonie de couleurs et fera voyager le visiteur à travers une variété de thèmes aussi captivants et audacieux les uns que les autres.
Organisée en collaboration avec l'Office National Marocain Du Tourisme, en marge du Festival du Monde Arabe, l'exposition, se décline en divers espaces conceptuels : terre des couleurs, terre d'ombre et de lumière, jours translucides, terres des femmes, terre de l'arganier et les Uns et les autres.
Regroupant des photos et des tableaux de deux artistes montréalaises Martine Michaud et Raja Hammoud, l'exposition, qui se tient jusqu'au 30 novembre prochain, emmène le visiteur dans un voyage inédit à travers le paysage féerique marocain et des sites merveilleux que les deux artistes ont patiemment saisis, à travers l'objectif de leurs appareils photos.
30/10/10
Source : MAP
Le rideau a été levé, vendredi soir, au prestigieux TriBeCa Cinemas, sur le premier Festival du Film Marocain, en présence d'une brochette d'acteurs et de cinéastes marocains.
La soirée d'ouverture de cet événement culturel, considéré le premier de son genre aux Etats-Unis, a été l'occasion pour mettre en exergue toute la richesse du cinéma marocain mais aussi la complexité de la culture et du patrimoine historique du Royaume, et ce, à travers la projection du court métrage "Moussem" d'Izza Gennini et du long-métrage "Coeurs Brûlés" d'Ahmed El Maanouni.
Intervenant à l'ouverture de ce festival, le Consul Général du Royaume du Maroc, M. Mohamed Karmoune a estimé que cet événement permettra de renforcer les liens solides entre le Royaume et les Etats-Unis.
"J'ai plein espoir que cet événement sera une opportunité pour les cinéphiles new yorkais d'avoir un avant goût du cinéma marocain contemporain et de voir à travers lui, un Maroc différent de celui décrit dans le film Casablanca. Et partant, je souhaite que ce festival renforcera les liens solides reliant le Maroc et les Etats Unis", a-t-il indiqué.
Pour sa part, le Maire de New York, Michael Bloomberg, a indiqué dans un message lu en son nom par le maire adjoint de New York, Stephen Goldsmith, que "c'est avec un grand plaisir que nous accueillons ce festival, organisé par la Fondation Haut Atlas (High Atlas Foundation - HAF) (...). Je ne peux imaginer meilleur endroit pour organiser un tel festival".
M.Bloomberg, a par la même occasion exprimé "sa grande fierté de voir la ville de New York abriter un tel festival, qui fait la part belle à des oeuvres d'un groupe distingué de cinématographes ayant fait la renommée du cinéma marocain".
Abondant dans ce sens, le président de la HAF, M. Yossef Ben-Meir, a relevé que cet événement culturel illustre une volonté de faire connaître le cinéma marocain à travers une sélection d'Âœuvres éclectiques traitant de thèmes chers à la société marocaine, mais aussi de "célébrer beauté du Royaume".
"Ce festival a également une dimension humanitaire", a-t-il encore dit, précisant que les recettes de ce festival seront destinées à la concrétisation des programmes de la HAF au Maroc, notamment ceux relatifs à la création de coopératives, la plantation d'arbres fruitiers, l'accès à l'eau potable ou encore au développement durable à la faveur des populations rurales.
S'agissant des projets futurs de cette fondation, créée en 2000 par un groupe de membres de l'US Peace Corps, M.Ben-Meir, a relevé que la HAF projette de mettre en place une nouvelle coopérative dans la commune de Toubkal pour "accroître de 50 pc" les revenus des populations bénéficiaires, et de planter 200.000 arbres en vue de promouvoir la capital vert des communes ciblées.
La HAF, a-t-il poursuivi, a aussi pour ambition de relier 29 villages aux réseaux d'eau potable et de réduire de moitié la mortalité infantile dans les communes bénéficiaires, notant que la totalité des projets de la HAF pour l'année 2011 nécessiteront une enveloppe d'un million de dollars.
La deuxième journée du festival, sera marquée par la projection de films marocains primés dont "Casanegra" de Nour-Eddine Lakhmari, "Juanita de Tanger" de Farida Benlyazid, "La grande villa" de Latif Lahlou, "A la recherche du mari de ma femme" d'Abderrahmane Tazi et "Ashlaa" (en pièces) de Hakim Belabbès.
"J'aime le hip hop au Maroc" de Josh Asen et Jennifer Needleman, "Marock" de Laila Marrakchi, "Tenja" du réalisateur Hassan Legzouli, ou encore "Où vas-tu Moshé" de Hassan Ben Jelloun, figurent également au programme de la deuxième journée du festival, qui ambitionne de faire connaître un nouveau cinéma marocain de plus en plus sophistiqué, auprès des cinéphiles et des critiques étrangers.
Plusieurs oeuvres de cinéastes marocains en herbe au talent et au professionnalisme confirmés seront également projetés dans le cadre des films programmés, précise-t-on.
30/10/2010
Source : MAP
La question des frontières dans une perspective comparative entre l'Afrique, l'Europe et l'Amérique latine, sera au centre d'un colloque international qui se tiendra, les 11 et 12 novembre prochain à Rabat, avec la participation d'éminents chercheurs argentins, brésiliens, mexicains, espagnols, marocains et français.
Organisée en partenariat entre l'Institut des études hispano-lusophones (IEHL), l'Université nationale argentine de Rosario et le Laboratoire de triple frontière (PIP), relevant du Conseil national de la recherche scientifique et technique en Argentine (CONICET), cette rencontre se fixe comme objectif de renforcer l'échange, la diffusion et la circulation des connaissances en matière notamment des questions identitaires entre institutions et centres de recherches spécialisés.
Le choix de la thématique du colloque, "Repenser les frontières et cultures: continuités et différences. Afrique-Europe- Amérique latine", a été déterminé par l' "importances de la problématique des migrations et les constructions identitaires dans le monde, et au Maroc en particulier en tant qu'espace de migration et d'immigration", indique, vendredi, un communiqué de l'IHL.
Le colloque proposera également d'étudier, entre autres, les différents discours sur l'homogénéité et la diversité au sein des espaces nationaux et transnationaux, et d'analyser les frontières propres aux perceptions culturelles mutuelles, aux espaces de significations et aux références identitaires nationales, régionales et internationales, précise-t-on de même source.
Plusieurs axes thématiques seront débattus par les participants, notamment "la diversité et hybridité dans la culture marocain", "la question de la triple frontière en Amérique latine", "l'Islam et la conscience des minorités en Europe" et "la mobilités des sujets sur les frontières".
29/10/2010
Source : MAP
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