lundi 18 novembre 2024 04:20

En reconnaissant la double citoyenneté pour les Marocains résidant à l'étranger, la Constitution de 2011 consacre l'ouverture du Maroc, a affirmé, samedi à Paris, le président du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME), Driss El Yazami.

Le Maroc aurait son propre mur de séparation  tout le long de la frontière avec son voisin oriental. C’est ce qu’a révélé dernièrement une certaine presse de la place. Inquiet par les agissements des mafias de contrebande et des stupéfiants et pressé par  l’augmentation du  flux des migrants irréguliers sur son territoire, le Royaume envisagerait de dresser  un grillage le long de la frontière maroco-algérienne, s'étendant sur une distance de 450 km de Saidia à Figuig. Un projet qui suscite d’ores et déjà la polémique et jette un pavé dans la mare.

Vingt-huit candidats à l'émigration illégale ont été interpellés au niveau du littoral qui s'étend de Tanger à Fnideq, indique lundi un communiqué de la Wilaya de Tanger.

Ces tentatives d'émigration illégale ont été avortées dimanche (1er décembre), grâce au renforcement du dispositif de surveillance dudit littoral, souligne la même source, ajoutant que les personnes interpellées s'apprêtaient à regagner la mer en possession de deux embarcations pneumatiques et de moyens de nage de fortune.

02 déc. 2013

Source : MAP

 

Les autorités saoudiennes poursuivaient leur campagne d'expulsions contre les immigrants illégaux, entachée de heurts parfois mortels, critiqués dimanche par Human Rights Watch (HRW).

Lancée il y a quatre semaines, la campagne a provoqué des tensions entre les forces de sécurité et la communauté des immigrants en situation irrégulière.

Le président des Etats-Unis et son épouse Michelle Obama sont allés vendredi à la rencontre des grévistes de la faim du mouvement "Fast for Families" pour une réforme de l'immigration.

Lors d'une promenade impromptue à proximité du bâtiment du Congrès à Washington, le président des Etats-Unis Barack Obama est allé vendredi à la rencontre de grévistes de la faim réclamant une réforme de l'immigration.

La nouvelle politique migratoire adoptée par le Maroc et dont les grandes lignes ont été définies par SM le Roi Mohammed VI, a été mise en exergue, vendredi à Cordoue (Sud de l'Espagne), dans le cadre de la 9ème réunion du Forum hispano-marocain des juristes.

Trois maroco-néerlandais ont été choisis parmi les 200 personnalités les plus influentes aux Pays-Bas en 2013, selon les résultats d'un classement réalisé par le quotidien néerlandais ''De Volkskrant'', publiés samedi.

Il s'agit d'Ahmed Aboutaleb, maire de la ville de Rotterdam, Sadik Harchaoui, président du conseil de développement social (RMO) et ex-président de l'Institut de développement multiculturel (Forum) et Ila Kasem, conseiller en politique et chercheur.

Bernard Wientjes, le président de la Confédération de l'industrie et des employeurs des Pays-Bas (VNO-NCW) a été par ailleurs choisi pour la quatrième fois consécutive la personnalité la plus influente dans le royaume orange en 2013, suivi par les ex-ministre Hans Wijers et Gerrit Zalm et le président de la banque centrale néerlandaise (DNB), Klaas Knot.

30 nov. 2013

Source : MAP

 

 

Une famille, les Meddah, raconte l'évolution du racisme, hier plus violent, aujourd'hui plus sournois. Julien Dray, fondateur de SOS Racisme: « Je ne crois pas à la théorie de la banalisation du racisme». Quand la gauche antiraciste rate la « marche »…Suite

 

Eurosur est un réseau de communication qui coopèrent avec l’Agence européenne de contrôle des frontières (Frontex) pour tenter de réduire encore le nombre d’accidents sur les bateaux d’immigrants qui tentent d’atteindre l’Europe.

Rabat a abrité les 26 et 27 novembre une conférence internationale sur la lutte contre la traite des êtres humains. Cette rencontre a été organisée par le Centre International pour le développement de politiques migratoires (lCMPD) et la Délégation interministérielle aux droits de l'Homme du Maroc. Objectif: mettre à la disposition des acteurs institutionnels et de la société civile des techniques pour leur permettre de mieux combattre ce phénomène...Suite

Après son dossier fustigeant « la France des assistés », Le Point publie un dossier sur l'immigration qui, tout en voulant démonter les arguments du Front national, fait le jeu de l'extrême droite.

Les mensonges du Point, épisode 2 ? L'hebdomadaire de droite fait sa une du 21 novembre sur le thème : « Immigration, l'enquête qui dérange ».

Il y a trente ans, La marche pour l’égalité et contre le racisme, marquait l’entrée des enfants d’immigrés sur la scène politique en France, constituant ainsi un moment historique majeur. Le Conseil de la communauté marocaine à l’étranger célèbre cet anniversaire par l’organisation de deux événements, le lundi 2 décembre à Casablanca :  

§  Une rencontre avec Toumi Djaïdja et Adil Jazouli, autour de leur livre "La marche pour l'égalité, une histoire dans l’Histoire" (Editions de l’Aube, 2013). L'un est l'initiateur et le symbole vivant de la Marche pour l'égalité, l'autre est sociologue et membre du CCME. Cette rencontre se tiendra  à 19h au Fnac Café (Morocco Mall).

§  L’avant-première du film "La Marche", en présence du réalisateur Nabil Ben Yadir, les acteurs du film et la participation exceptionnelle de Jamel Debbouze. A 20h30, au Studio des Arts Vivants (38, Boulevard Abdelhadi Boutaleb - Ex Route d’Azemmour).

Source : CCME

 

Les travaux de la 4ème rencontre régionale des "Marocaines d'ici et d'ailleurs" se sont ouverts samedi à Abou Dhabi, sous le thème : "Engagement et citoyenneté".

Une soirée artistique a été organisée, vendredi à Abou Dhabi, en l'honneur de la communauté marocaine établie aux Emirats Arabes Unis (EAU), en marge des journées culturelles marocaines organisées du 21 au 24 novembre par le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME).

Les Emirats Arabes unis abritent du 21 au 24 novembre, les journées culturelles marocaines, un événement d'envergure organisé par le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME).

Une cérémonie a été organisée samedi soir à Stockholm par l'Association Al Andalous des femmes marocaines en Suède, en célébration du 250ème anniversaire de la signature du premier traité entre le Maroc et la Suède.

L'Espagne "n'envisage absolument pas de retirer" les barbelés tranchants, installés récemment sur le mur de clôture dans le préside de Melilla pour éviter l'assaut massif d'immigrés clandestins, indique, vendredi, un rapport du ministère espagnol de l'Intérieur.

Quatre-vingt-huit candidats à l'émigration illégale ont été interceptés, samedi et dimanche, au niveau du littoral qui s'étend de Tanger à Fnideq, indique un communiqué de la Wilaya de Tanger.

Les candidats à l'émigration illégale, qui s'apprêtaient à regagner la mer en possession de dix embarcations pneumatiques et de moyens de nage de fortune, ont pu être interceptés grâce au renforcement du dispositif de surveillance mis en place au niveau de ce littoral, ajoute la même source.
24 nov. 2013
Source : MAP

 

Ils révaient d'être reconnus comme des Français à part entière: trente ans plus tard, les acteurs de la "marche pour l'égalité et contre le racisme" de 1983 font les comptes des espoirs trahis de ce "mai 1968 de l'immigration".

"Il y a du racisme en France mais la France n'est pas raciste", assure l'acteur Jamel Debbouze, fils d'immigrés marocains, qui prête sa notoriété au film "La Marche" du réalisateur belge Nabil Ben Yadir.Ce film, qui sort en France le 27 novembre, raconte l'histoire vraie de la "marche contre le racisme et pour l'égalité", lorsqu'une poignée d'enfants d'immigrés et de militants antiracistes sont partis en octobre 1983 de Marseille (sud) pour réclamer l'égalité des droits. Deux mois et un millier de kilomètres plus tard, ils étaient accueillis à Paris par 100.000 personnes.
"C'est un message d'amour adressé à la France et aux Français", déclare l'acteur et humoriste de 38 ans, devenu célèbre après avoir joué dans "Le fabuleux destin d'Amélie Poulain" de Jean-Pierre Jeunet en 2001.Dans "La Marche", ce pionnier du stand-up en France qui a perdu l'usage d'un bras lors d'un accident à l'adolescence et a commencé sa carrière dans une troupe amateur à Trappes (banlieue ouest de Paris), joue le rôle d'un toxicomane.Il souligne le chemin parcouru en trente ans: "En 1983, des immigrés, ou en tout cas des Maghrébins surtout, mouraient tous les deux-trois jours à cause de crimes racistes, ce n'est plus le cas aujourd'hui".Jamel Debbouze, né en France de parents marocains, incarne lui-même les évolutions de la société française.Il en est l'un des humoristes les plus inventifs, mettant en scène dans ses sketchs son expérience de la banlieue avec des phrases qui font mouche comme "les jeunes ils sont pas cons, ils ont compris que l'ascenseur social est bloqué au sous-sol et qu'il pue la pisse".Même si ses rôles au cinéma, notamment dans les "Asterix et Obélix" avec Gérard Depardieu, en font un des acteurs les mieux payés de France et s'il vit désormais sur l'Ile Saint-Louis, un des quartiers les plus chers de Paris, il n'oublie pas d'où il vient.Il s'est fait découvreur de nouveaux talents parmi les jeunes de banlieue et a créé au Maroc en 2011 un festival international du rire.Alors que des insultes racistes proférées contre la ministre de la Justice Christiane Taubira, une noire descendante d'esclaves, ont provoqué une vague d'indignation, il qualifie leurs auteurs de "débiles mentaux".Une histoire épique, incroyable"Il y a du racisme en France, c'est une vraie évidence mais la France n'est pas raciste", martèle-t-il. "Dans la sémantique, il y a encore des progrès à faire, c'est certain, mais c'est à cause de la crise (...) Quand on vit une crise comme on vit en ce moment, le chômage faisant, on trouve toutes sortes de prétextes et souvent le prétexte c'est le voisin (...), c'est l'étranger, c'est la différence, on va à la facilité".Jamel Debbouze avait été en 2006 à l'affiche du film "Indigènes", de Rachid Bouchareb, un hommage aux combattants issus des colonies françaises durant la Seconde guerre mondiale.Cette fois aussi, il a tenu à participer à "La Marche". "Je les ai suppliés de m'emmener dans le bateau parce que c'est une histoire épique, incroyable", raconte-t-il. Les marcheurs sont de "magnifiques anti-héros". "On a envie de ressembler à ces gens, on a envie de s'approprier leur histoire".Et "si les gamins, la jeunesse, se rend compte à quel point c'est important de faire une marche républicaine aujourd'hui, moi j'y suis demain matin!", promet le comédien, les yeux pétillants. Et "on peut être très très très nombreux", prévient-il.24 nov. 2013Source : AFP

 

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