samedi 19 octobre 2024 22:27

Un tiers des Marocains récemment installés au Québec se retrouvent sans emploi. Parmi eux, de plus en plus font le choix de rentrer au pays. Focus sur les ratés de la politique d’immigration canadienne…Suite

 

« Outre l’intolérance et la barbarie, le roman pourrait-il être à la fois un lieu de lucidité et d'enchantement, l'espace par excellence de la liberté ?". Toute l'œuvre de l'écrivain marocain Mohamed Leftah a eu pour dessein de répondre par l'affirmative à cette question, posée en quatrième de couverture de l'un de ses romans. Disparu en 2008 à l'âge de 62 ans, l'écrivain nous laisse en héritage une littérature riche, restée longtemps et injustement méconnue.

Né à Settat, Mohamed Leftah a eu plusieurs vies. D'abord informaticien puis critique littéraire, ce n'est qu'en 1992 qu'il publie son premier roman, Demoiselles de Numidie. L‘homme n'est motivé ni par la gloire, ni par l'argent. Ce poète écrivait comme certains respirent, et n'hésitait pas à envoyer gracieusement l'un de ses romans à ses admirateurs.

Depuis Le Caire, où il a vécu jusqu'à sa mort, il n'a cessé de noircir des pages que l'éditeur français La Différence a publiées…Suite

La stratégie nationale au profit des MRE et la mobilisation des associations marocaines au Canada ont été mises en exergue, vendredi lors d'une rencontre au Consulat du Maroc à Montréal.

S'exprimant lors de cette cérémonie organisée à l'occasion de l'octroi d'une aide financière par le gouvernement à plusieurs associations marocaines au Canada, l'ambassadeur du Maroc au Canada, Mme Nouzha Chekrouni a mis l'accent sur la stratégie nationale au profit des Marocains résidant à l'étranger (MRE), mise en place en novembre 2002 sur Hautes instructions royales.

Dans ce sens, elle a rappelé les axes majeurs de ce plan d'action qui repose sur le renforcement et la mobilisation des associations des Marocains résidant à l'étranger.

La diplomate a insisté en particulier sur la réalisation de projets novateurs qui répondent à des besoins urgents manifestés par la communauté marocaine établie au Canada, notamment dans les domaines sociaux, culturels et éducatifs, outre ceux axés sur la préservation de l'identité nationale, de l'enseignement de la langue arabes et de la culture marocaine.

La mise en oeuvre de ces différentes actions aura pour objectifs de rendre professionnelles et crédibles les associations des MRE vis-à-vis des autorités des pays d'accueil, des autorités marocaines et des bailleurs de fonds, et d'assurer leur ancrage dans les deux pays et d'optimiser leurs initiatives au service de la diaspora marocaine, a-t-elle poursuivi.

Pou sa part, la consule générale du Maroc à Montréal, Mme Souriya Otmani, a souligné le travail accompli par les différentes associations marocaines actives au canada.

Elle a, toutefois, appelé à renforcer davantage les liens de la communauté MRE avec la mère-patrie, soulignant que l'aide du gouvernement accordée vise en particulier la réalisation conjointe d'activités ciblées et répondant à des problématiques précises.
L'objectif, selon elle, est d'aplanir les difficultés auxquelles la diaspora marocaine est confrontée et d'améliorer les conditions de travail du tissu associatif marocain, ainsi que la favorisation de son intégration dans le pays d'accueil, outre la promotion des échanges culturels entre le pays d'accueil et le Maroc.

Plusieurs associations marocaines ont ainsi bénéficié de subventions réservées par le ministère chargé de la communauté marocaine à l'étranger et le ministère des Habous et des affaires islamiques et ce, dans le cadre du renforcement des capacités des associations MRE au Canada.

Il s'agit de l'association de solidarité Canada Maroc pour son projet de création d'un "Centre de soutien à l'intégration et à l'autonomie des immigrants handicapés et femmes en situation de précarité", de l'association marocaine de Toronto pour son "Réseau de support et de mentorat : projet de solidarité communautaire", du réseau des femmes d'affaires marocaines de Canada pour son projet "Intégration économique des femmes par l'entreprenariat" et de la Fédération des marocains musulmans au Canada pour la mise en oeuvre de ses projets notamment de centre culturel islamique, d'une école marocaine pour l'éducation et l'enseignement de la langue arabe.

Rappelons qu'un appel à projet avait été lancé aux associations MRE courant février 2010, traduisant ainsi la volonté du ministère chargé de la communauté marocaine à l'étranger d'instaurer une nouvelle démarche multipartite et construire de véritables projets de partenariat répondant à des besoins urgents des communautés marocaines.

L'objectif consiste de même en l'instauration d'une nouvelle démarche impliquant le maximum d'acteurs territoriaux dans les pays d'accueil et au Maroc et la poursuite et la consolidation de cette relation solidaire au-delà des générations.

Cette rencontre a été aussi marquée par la présence de représentants du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger, du président du Congrès des Marocains du Canada, du tissu associatif et du monde de la culture et des médias.

25/12/10

Source : MAP

L'objectif est de permettre aux entreprises de disposer d'outils nécessaires pour faire face à la concurrence internationale et autoriser les citoyens marocains à accéder librement aux devises auprès des banques.

Neuf nouvelles mesures d'assouplissement et de libéralisation de la réglementation des changes viennent d'être lancées par le ministre de l'Économie et des Finances, Salaheddine Mezouar, vendredi à Rabat. Ces « initiatives » viennent compléter le dispositif mis en place par l'Office des changes tout au long des deux dernières décennies.

Selon l'argentier du Royaume, ces mesures répondent de manière efficace aux attentes formulées aussi bien par les entreprises marocaines que par les citoyens à travers la mise en place d'un cadre réglementaire basé sur le respect , la responsabilité et la confiance. D'après lui, ces mesures tombent à point nommé puisque le renforcement du processus de libéralisation du contrôle des changes se traduit nécessairement par davantage de libéralisation des opérations financières avec l'étranger et de simplification des formalités y afférentes.

La première mesure d'assouplissement et de libéralisation de la réglementation des changes concerne donc le relèvement du plafond autorisé au titre des investissements marocains à l'étranger de 30 à 100 millions de dirhams par personne morale résidente et par an pour les investissements en Afrique, et à 50 millions de dirhams pour les investissements en dehors de ce continent. Cette mesure, qui s'inscrit dans le cadre de l'ouverture graduelle du compte capital, vise à permettre aux opérateurs marocains de saisir à temps les opportunités d'investissement dans les pays africains sans se référer à l'Office des changes.

La deuxième mesure cible, quant à elle, les exportateurs de biens et/ou de services qui sont désormais habilités à créditer leurs comptes en devises et en dirhams convertibles de 70% des recettes d'exportation au lieu de 50% actuellement. Grâce à cette mesure, les exportateurs seront également autorisés à effectuer les opérations d'arbitrage devise contre devise et les disponibilités de leurs comptes peuvent être rémunérées par les banques.

Par ailleurs, d'autres mesures ont été mises en place pour faire face à certaines dépenses urgentes et incontournables manifestées par certaines entreprises. Il s'agit notamment de la mesure portant sur les tolérances en matière de justification du rapatriement du produit d'exportation par la généralisation de l'avantage de réduction de prix sur l'ensemble des exportateurs et le relèvement du plafond de ces réductions de 3% à 5% du montant facturé.

La dotation pour voyages d'affaires des petites et moyennes entreprises et des membres des professions libérales a été revue aussi dans le cadre de ces mesures. En effet, pour faciliter le règlement des frais de voyages d'affaires et de séjour à l'étranger, l'Office des changes a décidé d'augmenter la dotation de 30.000 dirhams par an à 60.000 dirhams pour les personnes physiques exerçant une profession libérale à titre individuel et de 60.000 DH à 10% du chiffre d'affaires pour les sociétés, avec un plafond de 200.000 dirhams.

Autre mesure adoptée, cette fois dans le cadre de la libéralisation de la participation des salariés marocains au capital des firmes multinationales installées au Maroc, est l'augmentation de cette participation jusqu'à 10% de leur salaire net annuel. Cette mesure a été complétée par une autre qui concerne le renforcement des avantages accordés aux MRE. Ces avantages seront en effet enrichis par le relèvement du taux de rachat de devises rapatriées et cédées auprès des guichets bancaires durant une période de 12 mois. Ce taux passe ainsi de 40 à 50% du montant cédé au système bancaire, avec un plafond transférable de 100.000 dirhams au lieu de 50.000 auparavant.

S'agissant des transferts effectués au titre des soins médicaux, le directeur général de l'Office des changes, Jaouad Hamri, a indiqué que les citoyens devant se rendre à l'étranger pour soins vont bénéficier d'un assouplissement des formalités requises, afin de s'affranchir du recours au marché des changes parallèle.

Sur le volet du commerce électronique, une dotation a été instituée à ce commerce et adossée à une carte de crédit internationale à hauteur de 10.000 dirhams par personne physique et par année civile. Cette dotation permettra aux bénéficiaires d'accéder à certaines prestations sur Internet et régler certaines menues dépenses en devises.

Enfin, l'Office des changes a relevé le montant de la dotation touristique fixée actuellement de 20.000 dirhams à 40.000 dirhams dans la limite de 20.000 dirhams par voyage dans le but de permettre aux citoyens de ne plus recourir au marché parallèle des changes pour couvrir les frais de leurs voyages et séjours à l'étranger.

Les objectifs de l'Office

Selon le directeur de l'Office des changes, son département s'inscrit dans une démarche proactive qui accompagne la politique d'ouverture du Royaume. Ledit office prévoit d'adopter des mesures supplémentaires dès 2011 pour permettre aux opérateurs économiques de disposer d'outils nécessaires pour faire face à la concurrence internationale et autoriser les citoyens marocains à accéder librement aux devises auprès des banques pour satisfaire l'ensemble de leurs besoins légitimes.
Rappelons que les mesures lancées viennent compléter le dispositif mis en place par l'Office des changes tout au long des deux dernières décennies.

26/12/2010

Source : Le Matin

Le CCME (Conseil de la communauté marocaine à l'étranger) a organisé le week-end ...

dernier une rencontre à l'hôtel Hilton à Bruxelles, entre femmes marocaines : celles vivant au Maroc et celles qui sont en Europe. Parmi, elles des femmes du nord de la France, celles de Roubaix, de la MDA de Tourcoing et même une avocate du barreau de Lille.

Premier constat : la femme marocaine n'est plus celle d'avant : « C'est la suite des éditions 2008 et 2009 des "Marocaines d'ici et d'ailleurs", tenues à Marrakech pour un échange constructif de savoir et de compétence », précise Younes Ajarraï, président du groupe de travail « cultures, éducation, identités ». Un premier atelier, « agir contre les discriminations », a été consacré aux politiques publiques européennes et aux discriminations liées au sexe et à l'origine, que rencontrent les femmes migrantes. Un deuxième atelier « agir pour l'égalité », était dédié aux questions juridiques. Saad Bouanani, juge marocain, a répondu aux questions. « Femme et citoyenneté », un autre atelier, a également attiré l'attention des femmes. L'occasion de prouver à qui ne veut pas l'entendre, que les femmes « font partie intégrante de la société », précise Driss Yazami, président du CCME. La question du voile a aussi été soulevée et les participants n'ont pas oublié l'actualité en France avec la directrice adjointe de la crèche Baby Loup : « L'affaire suit son cours, c'est un débat compliqué », estime Jamal Oubechou, directeur à la HALDE (haute autorité de lutte contre les discriminations). Violences faites aux femmes, sexisme, kafala (prise en charge d'un enfant, une forme d'adoption), éducation, santé, etc. : les sujets étaient variés mais le plus important est « d'informer et de sensibiliser les femmes marocaines pour qu'elles soient au courant de leurs droits mais aussi de leurs devoirs », souligne Niserine Ez-zahoud, avocate au barreau de Lille.

« Informer les femmes »

Un travail encouragé par les hommes : « Puisque les femmes sont aussi compétentes qu'eux », témoigne Mohamed Bougezda, directeur adjoint à la MDA de Tourcoing. L'association roubaisienne Servir était aussi présente à cette rencontre, « pour informer les Marocaines et les familles de Roubaix des avancées du droit dans leur pays d'origine », insiste Jamal Benjelloun, président d'honneur de l'asso.

Des propositions concrètes et beaucoup de travail, donc, pour les jours à venir : « Le Maroc s'est réconcilié avec sa culture, avec sa langue amazirth (berbère) et aussi avec l'immigration », annonce Alem Menouar, ambassadeur permanent du roi Mohammed VI auprès de l'Union européenne en Belgique. Une mutualisation de travail se fait entre l'État et les structures associatives, aussi bien au Maroc qu'à Roubaix, Tourcoing ou Lille. : « Le conseil doit jouer un rôle de pont, c'est un espace d'échange, d'apprentissage entre les marocaines au Maroc, celles de Roubaix et dans toute l'Europe. En dehors du contexte politique, religieux ou identitaire », insiste Driss Yazimi. Allonger les délais de validité ou d'annulation d'un mariage, formation des « adouls » (notaire traditionnel), déterminer des objectifs pour évaluer le travail, l'information des lois et de la « moudawana » (code de la famille)... le CCME a du pain sur la planche ! Les participants n'ont plus qu'à suivre le conseil de la déléguée générale de l'autorité palestinienne en Europe qui résume : « Il faut avoir la capacité pour ne pas se positionner comme victime mais comme acteur à part entière. » • FATIHA TOUIMI (CLP)

27.12.2010

Source : La Voix du Nord

Le CCME a participé, pour la troisième année consécutive, au Salon international de l’édition et du livre (SIEL) de Casablanca, du 11 au 20 février 2011. Partenaire du Conseil consultatif des droits de l’Homme en 2009, il a rendu hommage en 2010 avec ses partenaires, le ministère de la Culture et le ministère délégué Chargé de la Communauté Marocaine Résidant à l’Etranger, aux écrivains marocains du monde, invités d’honneur de la seizième édition du SIEL.

Le poste de passage de Bab Sebta a enregistré, jeudi, un flux exceptionnel de passages de visiteurs, notamment des Marocains résidants à l'étranger (MRE), suite à l'interruption, en raison du mauvais temps, du trafic maritime entre Tanger et Algesiras.

Selon une source douanière, l'effectif des agents de la douane et de la police a été doublé pour faire face aux arrivées massives prévues à l'occasion des fêtes de fin d'année notamment des marocains résidant à Sebta, qui regagnent le Maroc.

Les contrôles des véhicules au niveau du point de passage a entraîné une longue file d'attente s'étalant sur 2 km à l'intérieur de Sebta, a rapporté vendredi la presse locale dans le préside occupé.

24/12/10

Source : MAP

Trois Marocains ont été décorés récemment à Paris par l'Académie du Mérite et du Dévouement français.

Lors de la cérémonie de remise des distinctions, le président national de l'Académie du Mérite et du Dévouement français, M. Jean-Paul de Bernis, a exhorté les cursus des Marocains :Ahmed Salmi El Idrissi (doyen de la faculté de droit de Casablanca et docteur en droit), Mohamed Berryane (docteur-chercheur, consultant et médiateur international, spécialiste en lobbying de la diplomatie économique (France) et Taib Fechtali (président du laboratoire Novofarma, président de la municipalité de Tit Mellil et dirigeant sportif national, notamment du WAC), indique jeudi un communiqué de l'Association Mérite et Dévouement Français.

Fondée en 1957, l'Académie du Mérite et du Dévouement français a pour but de favoriser et récompenser les personnes, tant en France, qu'à l'étranger, qui ont ou avaient réalisé des activités susceptibles de contribuer au prestige de la France, aussi sur le plan culturel que dans les domaines des arts, des lettres, des sciences ou du sport.

La cérémonie de remise des distinctions s'est déroulée sous la présidence du Général Jean Combette, président d'honneur de la Flamme sous l'Arc de Triomphe et du Général gouverneur des invalides, Bruno Cuche.

A la veille de cet événement, les trois lauréats ont été conviés à accompagner la cérémonie officielle de ravivage de la flamme et dépôt de gerbe sous l'Arc de Triomphe en présence de plusieurs personnalités civiles et militaires de plusieurs pays.
24/12/10

Source : MAP

Une cérémonie de mariage a été organisée, mercredi soir à Dakar, pour décliner au Festival mondial des Arts Nègres (FESMAN-2010) le riche patrimoine marocain, donnant une ambiance de joie et de retrouvailles pour la communauté marocaine résidant au Sénégal et un moment de détente et de découverte pour le public cosmopolite de ce grand Festival.

La délégation du ministère de la culture a retenu le site "Place du Souvenir", qui abrite le volet cinéma au Festival, pour conférer à ce lieu une ambiance haute en couleurs avec cérémonie de henné, présentation de la mariée et l'incontournable tournée en "Amariya".

Lamaalem Abdesslam Alikan, et sa troupe "Tyour Gnaoua" ont accompagné la cérémonie avec les rythmes Gnaouis dont la magie opère à chaque coup sur le public qui ne se fait pas prier pour se joindre à la danse gnaouie et entrer dans une ambiance de transe.

La cérémonie, qui s'est déroulée en présence notamment de l'ambassadeur du Maroc à Dakar, M. Taleb Barrada et de plusieurs membres du corps diplomatique arabe accrédité à Dakar, a été l'occasion de célébrer aussi le patrimoine vestimentaire marocain. Un défilé de mode a été dédié au Caftan mis en valeur par de ravissants mannequins sénégalais et marocains.

Une styliste marocaine a tenu à montrer les dernières tendances de cet habit traditionnel ancestral qui a su s'adapter au temps, évoluer et épouser les tendances volatiles de la mode sans pour autant perdre son authenticité.

Soie fine brodée au fil d'or, couleurs pastel froides ou tons chauds et éclatants, une coupe qui épouse avec grâce la silhouette qu'elle soit fine ou en embonpoint, le Caftan marocain séduit sous divers cieux et éblouit par son élégance raffinée.

Qu'elles soient asiatiques, européennes, ou africaines, les passionnées de la mode apprécient les broderies, les superpositions d'étoffes de soie ou de satin aux couleurs vives et la beauté des lignes de la coupe qui valorise le charme féminin avec fluidité et noblesse.

La journée marocaine au Festival Mondial des Arts Nègres a également été marquée par un concert de Chrifa Kersit, donné à l'Institut français de Dakar. La diva de la chanson Amazigh, baptisée aussi "voix d'or de l'atlas", a chanté et séduit par ses remarquables capacités vocaliques un public de connaisseurs qui se donne rendez-vous chaque soir sur cette scène dédiée aux spectacles sélects.

Côté cinéma, plusieurs longs métrages marocains ont été projetés sur la salle plein-air de la "Place du Souvenir". Le chef d'œuvre "Amok" de Souheil Benbarka, "la Mosquée" de doaud Oual Syad, "Whatever Lola Want" de Nabil Ayouch a livré aux amateurs du 7ème art un panorama d'un cinéma marocain dynamique et audacieux.

Volet théâtre, le Maroc a été représenté au théâtre Sorano de Dakar par la pièce théâtrale "la dernière nuit". Une création de Latefa Ahrar sur texte de Mohamed Said Aldanahani et scénographie de Sanaa Cheddal.

Parmi les moments forts de la participation marocaine figurent le concert de Maalem Abdesslam Alikan avec sa troupe "Tyour Gnaoua" sur la scène du "Monument de la renaissance" à Dakar. Une fusion de la musique Gnaouie a été également interprétée avec brio par Maalem Hamid ElQasri avec le groupe "Hassan Hakmoun". Un spectacle qui a terminé en beauté avec une apparition surprise de Cheb Khaled qui a accompagné en duo le maalem virtuose du "Ghanjou".

Dans ce festival, qui connaît la participation de centaines de musiciens, artistes et chanteurs venus des quatre coins du monde, le Maroc a bien joué sa partition et réussi à livrer, dans ce grand foisonnement de genres musicaux, un patrimoine musical et artistique authentique qui affiche fièrement ses racines africaines.

, 23/12/10

Source : MAP

"Les enjeux de la diplomatie culturelle au service de la cause nationale", est le thème d'une rencontre organisée, jeudi à Salé, par la Fondation Fqih Tétouani pour la science et la littérature en collaboration avec le Centre marocain de diplomatie parallèle et du dialogue des civilisations.

La rencontre marquée par la participation d'une pléiade de chercheurs et spécialistes aux cotés du ministre délégué chargé de la Communauté Marocaine résidant à l'étranger, M. Mohamed Ameur et en présence du gouverneur de la préfecture de Salé, M. Alami Zbadi, et d'élus et acteurs locaux, s'inscrit dans le cadre de la dynamisation du champs culturel et de sa contribution à l'action de la diplomatie parallèle.

La manifestation a mis l'accent, comme l'a souligné à la presse le président de la Fondation Fqih Tétouanai, M. Aboubakr Fqih Tétouanai, sur la mission de la diplomatie culturelle appelée à jouer un rôle principal aux cotés de la diplomatie officielle pour mettre en évidence les fondements scientifiques et historiques de la question de l'intégrité territoriale du Royaume.

La rencontre vise également à faire aboutir un message aux intellectuels du pourtour méditerranéen en vue de les inciter à éclairer l'antenne de certains médias espagnols et algériens et les aider à rectifier les fausses impressions au sujet de la question de l'intégrité territoriale du Maroc, a-t-il dit, soulignant en ce sens que la région du Maghreb a besoin d'intellectuels ouverts et capables d'influencer les preneurs de décisions en vue d'instaurer un esprit de cohabitation et de coexistence entre les peuples.

Le directeur du Centre marocain de la diplomatie parallèle et du dialogue des civilisations, M. Abdelfettah Belamchi, a pour sa part indiqué à la MAP que la rencontre de Salé vise la mobilisation de l'expert et de l'intellectuel ainsi que des centres d'études et de recherches et de tout intervenant dans le champs de la diplomatie culturelle, en vue d'un engagement actif au service de la cause nationale.

Il est impératif d'exploiter l'énorme potentiel historique, civilisationnel et culturel du Maroc, en tant que force motrice de l'action diplomatique et vecteur de soutien à la politique étrangère du Royaume et à la défense de la cause nationale et des fondements de la nation, a-t-il dit.

S'exprimant dans le cadre d'un exposé sur "la politique culturelle et la problématique de l'identité et de l'intégration des Marocains du monde", le ministre délégué chargé de la Communauté Marocaine résidant à l'étranger, M. Mohamed Ameur a affirmé que la question de l'intégrité territoriale requiert une mobilisation renouvelée, conformément à un projet national associant l'ensemble des composantes de la nation et en particulier les Marocains du monde.

La culture est un vecteur de liens entre les Marocains du monde et la mère patrie et un instrument pour la défense des intérêts du Royaume dans les pays d'accueil, a poursuivi M. Ameur soulignant que le Maroc a mis sur pied, dans ce cadre, un réseau de centres culturels dans plusieurs pays en vue de faciliter et accompagner l'intégration des membres de la communauté marocaine.

Ouverts aux autres communautés, ces centres constituent des espaces de dialogue et d'échange d'idées entre intellectuels marocains dans l'objectif de faire connaître et mettre en valeur l'identité nationale, a-t-il dit.

24/12/10

Source : MAP

Avec leurs portables en poche, leurs survêtements et leurs chaussures de sport dernier cri, Nadia, Mitia et Dacha sont des adolescents moscovites plutôt privilégiés, assez représentatifs de cette "génération Poutine" qui surfe sur les réseaux sociaux, voyage, consomme et se projette dans le monde global.

 Le soir après le collège, malgré le froid mordant, ils se retrouvent avec d'autres dans une petite cour enneigée du quartier de l'Arbat, au centre de Moscou. Les canettes de bière circulent, la palabre va bon train. En ce jeudi 9 décembre, les jeunes évoquent la mort d'Egor Sviridov, 28 ans, un supporteur du Spartak (club de football de Moscou), tué trois jours plus tôt par un Russe originaire du Caucase au cours d'une bagarre de rue.

L'assassin présumé, Aslan Tcherkessov, originaire de Kabardino-Balkarie, une république musulmane du Caucase russe, a été placé en détention provisoire. En revanche, ses quatre complices présumés, Caucasiens eux aussi, ont été relâchés par les enquêteurs du quartier moscovite de Sokol, où l'altercation a eu lieu.

L'affaire a enflammé les esprits des supporteurs de foot. Pour les membres de la "Fratrie", le fan-club du Spartak, c'est sûr, les policiers les ont libérés en échange d'un pot-de-vin. Au soir du 8 décembre, un millier de jeunes en colère déboulent sur l'avenue Leningradski. Munis de barres métalliques et de battes de base-ball, ils cassent quelques vitrines puis vont chanter La Russie aux Russes, saluts hitlériens à l'appui, sous les fenêtres du commissariat de Sokol.

Dans la cour, Dacha, 16 ans, sa capuche de survêtement rabattue sur sa tête, approuve cette action. Ce joli brin de fille, frimousse rose, yeux bleus et nattes blondes, est persuadé que le problème numéro un de la Russie, c'est les "Tchourki" (terme méprisant désignant les Caucasiens et les ressortissants d'Asie centrale). "Il faut nettoyer notre pays, éradiquer cette force noire", assure-t-elle. Ses compagnons approuvent. Ils ne sont guère loquaces : "La politique, c'est pas notre truc." Et puis, il est l'heure de rentrer. Avant de partir, les ados dessinent une grande croix gammée sur la neige dans la cour.

Deux jours plus tard, la symbolique fasciste et les adolescents vont resurgir à deux pas du Kremlin. Samedi 11 décembre, six mille jeunes, âgés de 14 à 30 ans, se réunissent sur la place du Manège. Ils ont été contactés, via le réseau social VKontakte, le Facebook russe.

Pendant des heures, ultranationalistes du Mouvement contre l'immigration illégale (DPNI) et de la Force slave, militants des jeunesses poutiniennes, étudiants des instituts techniques, clubs de motards, collégiens vont faire le salut nazi, scander "La Russie aux Russes !", appeler à "niquer le Caucase", "casser du juif" et à lyncher les jeunes "au faciès non slave". Le 15 décembre, ils remettent ça ailleurs dans Moscou, le 18 aussi. Le scénario est toujours le même : salut hitlérien, slogans racistes, tabassages. Les acteurs sont toujours de jeunes ados.

Ilya Kourbanov, 19 ans, était sur la place du Manège avec un porte-voix le 11 décembre. Le lendemain, lui et quatre collégiens de 14 et 15 ans étaient vus à la station de métro Kolomenskoe, vociférant et faisant le salut nazi. Quelques minutes plus tard, ils lynchaient et tuaient à coups de couteau Alicher Chamchiev, un balayeur ouzbek de 37 ans.

Les Caucasiens ne sont pas restés inactifs. A Moscou, ils ont agressé des policiers à la station de métro Iougo Zapadnaïa, puis ils ont grièvement blessé un jeune Russe non loin du parc Gorki. A Rostov-sur-le-Don (au sud de la Russie), ils ont tué un étudiant de 22 ans, Maxime Sytchev. Peu à peu, lynchages et slogans de la haine ont fait tâche d'huile, gagnant la banlieue de Moscou (Zelenograd, Solnetchnogorsk), puis la province : Rostov, Vladimir, Saint-Pétersbourg, Samara. Une forme de guerre civile, Slaves contre Caucasiens, a éclaté.

Et comment expliquer cet engouement de la jeunesse russe pour le svastika et le salut hitlérien ? L'ancien réformateur Anatoli Tchoubais avait donc raison quand il citait "le fascisme" comme le problème majeur de la Russie à l'avenir. "Le fascisme est un danger monstrueux pour notre pays. En comparaison, les discussions à propos de celui qui sera au pouvoir, Vladimir Poutine ou Dmitri Medvedev, sont bien vaines", a-t-il mis en garde récemment.

Pour la plupart des commentateurs, rien de tel. "Selon un sondage fait par la radio RSN, 87 % des auditeurs soutiennent les manifestants du Manège. Or cette radio est écoutée par les couches actives de notre société. Dire qu'ils sont contaminés par le fascisme, c'est le comble du crétinisme", écrivait récemment Dmitri Sokolov Mitric sur le site du journal Vzgdliad.

Les apparences sont trompeuses. Ainsi, ce que l'on prenait pour le salut nazi n'est rien qu'une simple congratulation entre sportifs. Alexandre Chpryguine, le président de l'Union des fans de foot, fait remarquer que "la main n'est pas tout à fait orientée de la même façon".

Heureusement, les mouvements de jeunesse pro-Poutine chargés de l'"éducation patriotique" veillent au grain. Les Nachis, qui ont reçu une dotation de 11,5 millions d'euros du Kremlin ces trois dernières années, se veulent "antifascistes". A tel point que le groupe Stal (acier), une subdivision des Nachis, vient de faire siennes les thèses de Joseph Goebbels, le ministre de la propagande du régime hitlérien. Les militants de Stal sont priés de les connaître sur le bout des doigts.

24/12/2010

Source : Le Monde

Le CCME a rendu un vibrant hommage, samedi 18 décembre à Bruxelles, à la journaliste belgo-marocaine Lalla Khiti Arnina Benhachem. Portrait de cette grande figure de la RTBF rencontrée à Bruxelles…Suite

 

Il est des profils de la diaspora féminine marocaine en Europe qui forcent le respect. Certaines ont émigré toutes jeunes en Europe dans le cadre du regroupement familial, d'autres y sont nées.

Toutes y sont intégrées et travaillent pour l'amélioration des conditions de vie des Marocaines, souvent analphabètes, méconnaissant leurs droits les plus élémentaires.

Des milliers de ces femmes sont parties vivre en Europe de leur propre chef, et s'imposent sans complexe dans les sociétés d'accueil, tout en restant attachées à leur pays d'origine, le Maroc. Certaines de ces femmes étaient à Bruxelles, les 18 et 19 décembre, dans le cadre de la première rencontre des femmes marocaines d'Europe organisée par le Conseil de la communauté marocaine de l'étranger (CCME). Pour ces femmes-là, et pour d'autres, se posent d'importantes interrogations.

Et c'est à ce genre d'interrogations qu'il fallait apporter un début de réponse et faire des recommandations à l'occasion de cette rencontre annuelle intitulée «Femmes d'ici et d'ailleurs»…Suite

Dans le dernier rapport du programme international de l'OCDE pour le suivi des acquis des élèves (PISA). L'enquête vise, non pas à mesurer le volume de connaissances accumulées par les apprenants, mais bien à évaluer les capacités de ces élèves à les transposer dans la réalité…Suite

«Les Juifs au Maroc: hier et aujourd'hui », tel est 1e thème, d'une exposition photographique inaugurée récemment à Washington. Organisée par «The American Jewish Joint Distribution Committee», en collaboration avec l'ambassade du

Maroc à Washington, cette exposition retrace la vie communautaire juive au Maroc, ainsi que l'attachement de cette communauté à ses racines et à son identité marocaine. Les photos présentées ont, ainsi, jeté la lumière sur les différents aspects de la vie de la communauté juive dans le Royaume et son intégration depuis toujours dans la société marocaine. …Suite

Mehdi Grai ncourt vient de nous livrer un magnifique ouvrage sur le Maroc. Ecrivains, artistes, peintres, chercheurs, photographes, ... nous confient leur propre histoire avec le Maroc. On découvre le Maroc à travers leurs regards, souvent passionnés et passionnants, et on les découvre également à travers le livre. Car, en plus des célébrités de renommées internationales, Mehdi Graincourt, nous dévoile des personnages assez peu connus. Rid'lesse iconographique, textes chargés d'émotions, et une envie viscérale de communiquer son amour pour le Maroc, sont à la base de cet ouvrage intitulé «Leur Maroc». …Suite

Dans les années 1990, la grande affaire est celle du multiculturalisme, autrement dit comment reconnaître différentes identités culturelles au sein d'un même État.

C'est beaucoup moins le cas aujourd'hui car le cadre de l'État-nation semble désormais insuffisant. Les chercheurs s'attachent à comprendre les conséquences de la mondialisation sur les identités culturelles, qui, loin de les dissoudre, leur donnent des formes nouvelles et vivaces. …Suite

La poétesse et traductrice marocaine Siham Bouhlal a donné lecture, récemment au siège de l'Assemblée nationale française, à des extraits de ses recueils parus dans l'Hexagone.

Outre ces lectures, qui ont été vivement saluées par l'assistance, Siham Bouhlal a saisi l'occasion de la remise des Trophées de la réussite au féminin, initiée par l'Association France-Euro-Méditerranée, pour rendre hommage à la femme en général et à celle issue des deux cultures, en particulier.

Elle a aussi souligné son attachement à la liberté d'expression et à l'exigence de l'écriture poétique et littéraire.

La cérémonie de remise des Trophées de la réussite, qui ont été décernés à neuf femmes de différents horizons, dont la plasticienne marocaine Fatima Guemiah, s'est déroulée en présence notamment du président de l'Assemblée nationale, M. Bernard Accoyer, du célèbre journaliste Jean-Pierre Elkabach, d'un représentant de l'ambassade du Maroc à Paris et des ambassadeurs du Portugal, de Tunisie, du Burkina Faso et d'Algérie.

Titulaire d'un doctorat en littérature de l'Université Paris-Sorbonne, Siham Bouhlal est installée en France depuis vingt cinq ans, où elle a été enseignée par le poète et médiéviste Jamel-Eddine Bencheikh.

Outre la poésie, elle a également excellé dans la traduction de plusieurs oeuvres de poètes arabes et de l'ouvrage de littérature arabe classique "L'Art du commensal".

Elle est aussi l'auteur de plusieurs recueils et récits dont "Poèmes bleus" (2005), "Songes d'une nuit berbère ou la tombe d'épines" (2007), "Corps lumière" (2008), "Princesse amazighe" (2009), "Mort à vif" (2010) et "Etreintes" (2010).

22/12/10-

Source : MAP

Le parti de la renaissance et de la vertu (PRV) a énergiquement condamné, mercredi, la tenue par des leaders de l'extrême Droite, à Paris, d'un forum international lors duquel ont été proférées des propos et brandis des slogans haineux, xénophobes et hostiles à l'Islam.

Dans un communiqué parvenu à la MAP, le secrétariat général du parti affirme avoir suivi «avec vive inquiétude cette réunion lors de laquelle des slogans haineux et xénophobes ont été brandis contre l'Islam, en tant que religion, et contre la Oumma islamique en tant qu'entité sociale et civilisationnelle».

De telles rencontres cherchent à «nourrir la haine, semer les graines de la discorde et empoisonner le climat de cohabitation entre les musulmans et les autres communautés», poursuit la même source, mettant en garde contre les «répercussions dangereuses de ces réunions suspectes qui prônant l'extrémisme et usent de la propagande pour raviver les tensions et les rancunes».

Le PRV met ainsi l'accent sur l'obligation qui incombe aux gouvernements d'Europe d'intervenir pour mettre un terme aux harcèlements que subissent les musulmans résidant en Europe, exhortant l'ensemble des consciences vives, de par le monde, à «agir pour déjouer toutes sortes de manœuvres visant à porter atteinte à la cohabitation et au dialogue interculturel».
Il appelle également les musulmans, en particulier ceux d'Europe, à ne pas céder aux basses provocations de l'extrême droite et à se conformer aux préceptes de l'Islam, prônant le dialogue.

Le parti appelle, enfin, les intellectuels d'Europe et du monde islamique à intensifier les rencontres d'études et académiques afin de contrecarrer tous les complots attentatoire à la paix et à la sécurité mondiales.

22/12/10

Source : MAP

La 2-ème édition du Salon de l'immobilier marocain en Europe (SIMMEUROPE) aura lieu du 4 au 6 mars prochain à Montpellier (Sud de la France), apprend-on auprès des organisateurs.

Ce grand rendez-vous de l'immobilier marocain dans l'Hexagone, qui se tiendra sous l'égide des ministères de l'Habitat et de la Communauté marocaine résidant à l'étranger, se veut un salon de proximité, de retrouvailles et de promotion du Royaume, a confié à la MAP son directeur, M. Abdellatif Essadki.

L'organisation de ce salon est "un devoir patriotique tendant à valoriser les atouts de notre pays d'origine auprès de notre pays d'adoption", a affirmé M. Essadki, également directeur de l'Association "Le Maroc chez vous".

Cet événement d'envergure, qui conjugue à la fois économie et culture, est destiné notamment à la promotion de l'offre immobilière auprès des MRE et des amoureux du Maroc ainsi qu'à l'affermissement des relations économiques et culturelles entre les deux pays, a-t-il dit.

Et d'ajouter que le SIMMEUROPE sera aussi l'occasion de mettre en valeur les grands chantiers initiés au Maroc et les multiples réformes entreprises par le Royaume dans différents domaines, dont le Code de la famille, le Code de la nationalité, la charte d'investissement, la modernisation du système bancaire et l'attractivité fiscale.

La 2-ème édition, qui mettra à l'honneur la région de Tanger-Tétouan, connaîtra la participation de plus d'une trentaine d'exposants de toutes les régions du Royaume en plus d'institutions financières et d'habitat, a souligné M. Essadki pour qui le choix de Montpellier pour la tenue de ce Salon est dicté notamment par sa proximité de l'Espagne et d'Italie ainsi que par la présence d'une forte communauté marocaine dans le Sud de la France.

Outre des tables rondes, des rencontres B to B et des conférences-débats autour de l'immobilier et de l'investissement, le programme comporte des animations culturelles et récréatives, dont une série de méga-concert, conclut le président du SIMMEURPE.
Il convient de rappeler que la 1-ère édition de ce salon avait drainé plus de 17.000 visiteurs.

Chef d'entreprise établi à Villefontaine (Centre-Est de la France), M. Essadki a organisé dernièrement la visite à Tamansourt d'une délégation française composée notamment des maires des villes nouvelles de Villefontaine et d'Isle d'Abeau.

Source : MAP

Google+ Google+