samedi 19 octobre 2024 05:30

M. Abdelhamid El Jamri représentera le Conseil de la communauté marocaine à l’étranger à la conférence « Pour une meilleure intégration de la communauté marocaine : reconnaissance des diplômes et des acquis professionnels étrangers et insertion socioéconomique » organisée le jeudi 30 septembre, de 13h30 à 17h au Musée McCord à Montréal.

Ce sera l’occasion de réunir les experts de la question de l’immigration, des représentants du gouvernement du Québec, des associations œuvrant dans le domaine de l’intégration des immigrants ou tout simplement des citoyens issus de l’immigration pour débattre des points suivants :

Etat des lieux de l’intégration des immigrants au marché de l’emploi : cas des marocains du Québec

L’intégration des travailleurs immigrants en rapport avec la problématique de la reconnaissance des diplômes et de l’expérience professionnelle acquis à l’étranger

Les Programmes et projets initiés par le gouvernement canadien au profit des personnes immigrantes.

L’Ambassade du Royaume du Maroc au Canada est à l’initiative de cette conférence, en partenariat avec le Consulat Général du Royaume du Maroc à Montréal et le Ministère de l’Immigration et des Communautés Culturelles de la ville de Montréal.

Adresse : Musée McCord, sis au 690, rue Sherbrooke Ouest, Montréal QC H3A 1E9.

Source : CCME

Des députés de l'aile droite de l'UMP ont proposé, sans succès, que les étrangers nés en France puissent devenir français «à condition d'en manifester la volonté».

«Nous devons remettre en cause le caractère sacré du droit du sol, et ériger en critère absolu la volonté de devenir français», s'est exclamé mercredi après-midi Christian Vanneste (UMP) à l'Assemblée. Droit du sol ou droit du sang? L'aile droite de la majorité a relancé le débat en séance publique, donnant du fil à retordre au gouvernement, lors de l'examen du projet de loi sur l'immigration. Lionnel Luca, l'un des fondateurs du collectif de la Droite populaire, a tenté, sans succès, de remettre en cause le fameux droit du sol pour l'acquisition de la nationalité française.

Dans un amendement très controversé, qui a été repoussé par 91 voix (UMP, PS, PCF) contre 23 (UMP), le député des Alpes-Maritimes a proposé que tout individu né en France de parents étrangers puisse, entre 16 et 21 ans, acquérir la nationalité française «à condition qu'il en manifeste la volonté», s'il réside en France depuis cinq ans. «Les jeunes ne veulent pas devenir français par hasard», a plaidé le député des Alpes-Maritimes. Son collègue du Nord, Christian Vanneste, a qualifié le droit du sol de «plus bas des droits, qui nous enferme dans la mécanique du devenir français». Jacques Myard (UMP, Yvelines) a argumenté avec plus de mesure: « Exprimer une volonté pour devenir français renforce le pacte républicain.» Philippe Meunier (UMP, Rhône) a aussi défendu cet amendement «qui est de bon sens. Il suffira de demander à être français».

«Clivage idéologique»

Visiblement gêné par la tournure des débats, qui ont duré près de deux heures, le ministre de l'Immigration Éric Besson a exhorté tous les députés à ne pas opposer «droit du sol et droit du sang en en faisant un clivage idéologique». S'adressant à l'ancienne ministre Élisabeth Guigou (PS), pour laquelle «remettre en cause le droit du sol, c'est miner le processus d'intégration», Éric Besson a rappelé: «Vous et moi sommes nés au Maroc, mais nous sommes français par le droit du sang.» Gêné lui aussi, le rapporteur UMP, Thierry Mariani, politiquement favorable à l'esprit de l'amendement Luca, a invité ses collègues de la majorité à voter contre car «on ne refait pas le droit de la nationalité au détour d'un amendement». À l'instar de l'ensemble de la gauche, qui refusait «ce grignotage du droit du sol» selon la formule de Noël Mamère (Verts), l'UMP Étienne Pinte s'est prononcé contre l'amendement Luca, mais pour la proposition de Claude Goasguen (UMP, Paris), qui souhaite que le Parlement soit associé à l'élaboration de la Charte du Français naturalisé.

Source :Le  Figaro

Une délégation de la Commission saoudienne de migration légale séjourne à Bamako pour progresser vers un protocole d’entente. La coopération entre notre pays et l'Arabie Saoudite s'apprête à franchir un nouveau pas. Nos deux pays sont en voie de signer un protocole d'entente en matière promotion de la migration légale.

Une forte délégation saoudienne, avec sa tête le président de la Commission saoudienne de migration légale, Saad Al-Baddah, séjourne depuis hier dans notre pays. Nos illustres hôtes ont eu une séance de travail au ministère des Maliens de l'extérieur et de l'Intégration africaine.

Saad Al-Baddah et ses collaborateurs étaient venus expliquer au ministre Badra Alou Macalou les raisons de leur visite. Selon Saad Al-Baddah, les relations de coopération entre Ryad et Bamako se caractérisent par leur dynamisme. Cette visite, même si elle revêt un caractère particulier, n'en est pas moins traditionnelle. "Notre visite au Mali prouve à suffisance les bonnes relations de coopération. Le Mali jouit d'une très bonne image auprès du Royaume d'Arabie Saoudite. Nous sommes ici pour corroborer cette bonne entente entre nos deux peuples", a souligné le président de la Commission saoudienne de migration légale.

L'objectif de cette visite, a poursuivi Saad Al-Baddah, est de promouvoir la migration légale. L'Arabie Saoudite est devenue, ces dernières années, une destination touristique par excellence. Ses principaux partenaires en matière de tourisme demeurent les pays d'Asie du sud-est, du Moyen Orient.

Aujourd'hui environ 7,5 millions de travailleurs étrangers, dont plus de 2 millions de femmes, y séjournent. Le Royaume recrute mensuellement 70 à 100.000 travailleurs étrangers sous contrat.

Sur le continent africain, notre pays arrive en pole position. Selon Saad Al-Baddah, le Mali et l'Arabie Saoudite ont une vision commune du développement, surtout en matière d'échanges commerciaux et de tourisme. L'Arabie Saoudite figure parmi les pays d'accueil qui regroupent une forte concentration de Maliens.

Cette présence malienne en terre saoudienne constitue une manne financière importante pour l'économie nationale : plus d'un milliard Fcfa par mois. "Nous sommes déterminés à promouvoir cette dynamique entre nos deux pays", a insisté Al-Baddah. Cette nouvelle coopération touche toutes les catégories socioprofessionnelles dont l'Arabie Saoudite a besoin : chauffeurs, employés de maison, médecins, professeurs etc...

"Les opportunités ne manquent entre nos deux pays. Si nous parvenons à signer un protocole d'entente avec le Mali, l'Arabie Saoudite s'engagera à offrir des visas de travail aux Maliens.

La migration légale, explique le ministre des Maliens de l'extérieur et de l'Intégration africaine, Badra Alou Macalou, obéit au principe du respect des lois et règlements du pays d'accueil. « On y va en toute quiétude, sans problème pour travailler. L'employeur a une obligation vis-à-vis de l'employé qui a lui aussi ses devoirs à honorer dans un cadre où tout est balisé ». Pour le ministre, cette visite de la délégation saoudienne constitue un nouveau départ dans les relations entre Bamako et Ryad.

"Nous nous efforçons depuis quelques années de promouvoir la migration légale qui permet aux travailleurs maliens d'émigrer en toute légalité en Arabie Saoudite et sous d'autres cieux. C'est dans ce sens que nous avons saisi les autorités saoudiennes à travers notre ambassade afin de voir ensemble les voies et les moyens permettant d’établir une coopération dans le cadre de la migration légale.

Jeudi, 30 Septembre 2010

Source : Journal l’Essor  (Mali)

Saida Fikri, auteur, compositeur, guitariste et interprète d'origine marocaine, est connue au Maghr.eb et en Europe pour l'expression d'une ferveur sociale dans un style inédit…Suite

Une majorité d'Allemands (55%) considèrent les immigrés musulmans comme un fardeau pour l'Allemagne, selon un sondage publié jeudi par le quotidien Financial Times Deutschland (FTD).

55% des personnes interrogées estiment ainsi que les musulmans ont "coûté financièrement et socialement beaucoup plus qu'ils n'ont rapporté économiquement" à l'Allemagne, selon cette étude de l'Institut Allensbach.

Seul un cinquième des personnes interrogées tirent un bilan positif.

La publication de ce sondage intervient alors que l'Allemagne a été secouée ces dernières semaines par une violente polémique sur l'immigration suscitée par un ancien responsable de la banque centrale allemande, Thilo Sarrazin.

Dans un livre paru fin août, l'ancien banquier central, poussé par la suite à la démission, a stigmatisé les immigrés musulmans affirmant notamment que le pays s'abrutissait à cause de leur faible niveau d'éducation et de leur manque d'intégration.

Ces thèses au vitriol, rejetées par nombre de responsables politiques, avaient trouvé un écho dans la population.

Selon ce sondage du FTD, 60% des personnes interrogées lui donnent ainsi raison.

En Allemagne vivent entre 3,8 et 4,3 millions de musulmans, soit entre 4,6% et 5,2% de la population, selon les chiffres du gouvernement.

Source : La Croix/AFP

"Le captif de Mabrouka" est l'intitulé du dernier roman de l'écrivain El Hassane Ait Moh, qui vient de paraître aux éditions "l'Harmattan".

Le nouveau roman aborde d'une manière très proche des questions qui ont été déjà traitées dans le premier opus "le thé n'a plus la même saveur", telles que les valeurs de tolérance et de la diversité par lesquelles se distingue la société marocaine, a déclaré l'auteur à la MAP.

"Le captif de Mabrouka" raconte l'histoire de Richard, un citoyen français, qui, à l'aube de sa vie et malgré les réticences de son épouse Colette, décide de revenir dans sa ville natale, Ouarzazate, et s'installe dans un l'hôtel populaire dénommé "Mabrouka".
Après quelques mésaventures au fil de son périple, ce quinquagénaire fait la connaissance de Charjane, un vieux clochard et ancien professeur d'arts plastiques qui lui révèle plus tard le secret de Mabrouka qui, sans qu'il le sache, était l'ancienne maison de ses parents convoitée par un certain Kinston, un Américain en mission de coopération.

Natif d'Ouarzazate en 1962, El Hassane Aït Moh est détenteur d'un DEA d'anthropologie et de sociologie et d'une licence en sciences de l'éducation à l'Université Lyon 2.

Il s'est notamment penché sur la problématique de l'identité et la complexité des liens entre les hommes porteurs de cultures différentes.

Source : MAP

L'implication des jeunes est essentielle pour renforcer le partenariat maroco-néerlandais, ont souligné mercredi à Rabat les participants à un séminaire national sur "La coopération décentralisée en faveur de la participation citoyenne des jeunes".

Les intervenants ont mis l'accent sur l'importance de la formation et l'encadrement des jeunes générations notamment les femmes pour la pérennisation du projet "Matra Maroc" mis en oeuvre, depuis 2007, au Maroc et aux Pays-Bas grâce à l'appui du ministère néerlandais des Affaires étrangères.

Cette rencontre, qui s'inscrit dans le cadre de l'évaluation des acquis de l'expérience de projet "Matra Maroc", a été également l'occasion pour échanger les expériences et présenter des modèles concrets de coopération entre associations marocaines et néerlandaises.

Les intervenants ont plaidé pour l'implication d'autres bailleurs nationaux notamment les agences de développement et la continuité des échanges entre les communes. Ils ont aussi appelé à renforcer la participation citoyenne et créer d'autres conditions favorables à la contribution des jeunes.

Cette rencontre de deux jours a été également consacrée aux questions liées au renforcement des dynamiques des associations locales, leviers de la participation citoyenne au service de la gouvernance locale. Elle se poursuivra aussi par des visites de terrain de la délégation néerlandaise.

Plusieurs acteurs locaux et associatifs marocains et néerlandais ont pris part à ce séminaire organisé par l'Institut de formation des agents de développement (IFAD) et l'Agence internationale de l'association des communes néerlandaises (VNG international).

Source : MAP

Les chrétiens-démocrates néerlandais restent divisés sur le bien-fondé de conclure un accord avec le parti islamophobe de Geert Wilders pour former le premier gouvernement minoritaire aux Pays-Bas depuis la Seconde Guerre mondiale…Suite

L'artiste-peintre marocaine Zakia Azzouz exposera ses oeuvres, du 5 au 14 octobre prochain, au siège de la représentation de la Maison de l'Artisan à Paris.

Cette exposition, qui regroupe 18 toiles, se tiendra sous le signe "Retour de l'essence".

L'oeuvre de Zakia Azzouz se présente comme un zoom fragmentaire sur les modes, les réalités et les rêves du spectateur. Elle efface les frontières et facilite le rapprochement des pays et des hommes.

La peinture, comme toute autre forme d'expression, transcende les barrières des langues et permet de promouvoir le dialogue par le langage universel de l'art qui amène à la compréhension et au respect entre les différentes cultures, a-t-elle confié à la MAP.

Zakia Azzouz compte à son actif plusieurs expositions, dont une au siège de l'ambassade du Maroc à Paris sous le thème "Les couleurs du Monde".

Source : MAP

Il y a quelques jours encore, Sergio Redegalli, artiste de Newtown, un quartier bohème de Sydney, était inconnu du public australien. Désormais, sa dernière oeuvre a fait le tour du continent. Cette célébrité éclair tient à la peinture murale réalisée par le peintre-sculpteur sur la façade de son atelier : une femme en burqa, surmontée de l'inscription "Say no to burqas", ("Dites non aux burqas").

"Il ne s'agit pas de s'attaquer aux musulmans en général, a indiqué M. Redegalli. Mais les points de vue extrémistes ne fonctionnent pas dans ce pays. Les jeunes femmes (musulmanes) devraient avoir le droit d'être comme tout le monde." Une explication peu appréciée. Sa façade a été dégradée deux fois en une semaine, et l'artiste a engagé un vigile pour la surveiller. Au final, l'oeuvre murale aura été éphémère. Effrayé par la possibilité qu'un groupe néonazi récupère son initiative, l'artiste vient de repeindre la façade. On n'y trouve désormais plus qu'un message antiraciste.

L'épisode reflète l'intérêt de la société australienne pour le débat sur la burqa. Pourtant, l'immigration originaire de pays musulmans y a été tardive, et 1,7 % de la population (estimée à 22 millions de personnes) est musulmane. Une présence faible qui reste regardée avec méfiance. Les projets de construction de mosquées ou d'écoles islamiques font souvent l'objet de protestations. La communauté musulmane, de son côté, a souffert de prises de position controversées de cheikhs extrémistes, minoritaires mais très médiatisés. "Les attentats du 11 septembre 2001, puis de Bali en 2002, ont accru la méfiance des Australiens vis-à-vis des musulmans", commente Ben Saul, codirecteur du Centre du droit international de Sydney.

Antagonismes sous-jacents

Dans ce contexte, le débat français a été suivi de près. "Beaucoup pensent ici qu'il n'est pas nécessaire de légiférer sur la façon de s'habiller", explique M. Saul. La décision de la France a donc été critiquée, mais elle a donné des idées à des hommes politiques. Un député de l'Etat de Nouvelle-Galles du Sud, le très conservateur Fred Niles, a ainsi proposé, sans succès, l'adoption d'une loi interdisant la burqa. En réaction, des groupes musulmans ont récemment manifesté à Sydney. La question semble révéler des antagonismes sous-jacents. Lors du défilé, des femmes voilées ont ainsi durement critiqué le mode de vie des femmes occidentales. De leur côté, des Australiens expriment leur peur des musulmans sur Internet, leur reprochant de ne pas s'intégrer à la communauté.

Si la grande majorité des hommes politiques australiens refusent toute interdiction de la burqa, la décision française semble avoir touché une corde sensible au sein de la société. Des conférences sur le sujet sont organisées dans les universités. Récemment, le député UMP Jacques Myard, ardent défenseur de la loi en France, était même invité par la chaîne publique SBS pour en débattre.

Source : Le Monde

La Commission européenne a décidé mercredi d'engager mi-octobre une procédure contre la France pour non respect de la législation de l'UE après les renvois de Roms, faute de garanties fermes d'ici là de Paris, et de démontrer que ces actions ne sont pas discriminatoires.

"La Commission a décidé aujourd'hui d'entamer une procédure d'infraction contre la France (...) car elle prive les citoyens des garanties procédurales essentielles, et cela doit être corrigé", a annoncé à la presse, en Français, Viviane Reding, la commissaire à la Justice en charge du dossier.

Cette procédure, pouvant éventuellement conduire à une saisine de la Cour de justice européenne, concerne une directive sur la libre circulation des citoyens de l'UE de 2004. Ce texte prévoit des garanties précises pour ceux qui sont expulsés.

"Nous avons pris la décision politique aujourd'hui. La France va en être informée et la décision définitive sera prise" mi-octobre, en fonction des réponses de Paris, a-t-elle expliqué à l'issue d'une réunion avec ses collègues commissaires.

La France de facto dispose donc d'un sursis pour éviter cette action, mais "elle est sous le couperet de la guillotine", a résumé un membre de la Commission sous couvert de l'anonymat.

Bruxelles n'a pas ouvert une autre procédure d'infraction envisagée un temps contre la France pour discrimination au sujet des renvois de Roms. Mais Mme Reding a annoncé avoir "écrit aujourd'hui (mercredi) au gouvernement français pour lui demander d'éliminer les doutes" sur des pratiques discriminatoires lors des expulsions visant les Roms.

"J'ai demandé une réponse pour le 15 octobre", a-t-elle ajouté.

Mme Reding a récusé toute reculade face à la France, malgré l'absence d'ouverture immédiate de procédure. "J'aurais reculé si j'avais annoncé que le dossier était clos", a-t-elle assuré.

"Une infraction pour discrimination est possible", a-t-elle affirmé. "Nous avons des affirmations et des garanties politiques données au plus haut niveau qu'il n'y a pas eu de discriminations. Mais nous avons certains doutes et ils doivent être éliminés", a-t-elle déclaré.

"Nous avons demandé aux autorités françaises de nous fournir des preuves, des documents très précis, comme les dossiers d'expulsions et les documents fournis aux citoyens européens expulsés", a-t-elle ajouté. Dans son collimateur: un circulaire française du 5 août ciblant les évacuations des Roms.

La fermeté affichée par Viviane Reding, engagée depuis deux semaines dans un bras de fer avec Paris, ne se retrouve toutefois pas dans le communiqué officiel sur le sujet de la Commission, qui cherche manifestement davantage l'apaisement avec la France.

Le texte indique simplement que "la Commission enverra une lettre de mise en demeure à la France" pour demander "un projet de mesure de transposition (de la directive de 2004) et un calendrier précis pour son adoption avant le 15 octobre 2010".

"La Commission de façon unanime à suivi à la lettre la proposition de Mme Reding", a toutefois assuré José Manuel Barroso lors d'une conférence de presse en réponse aux interrogation sur ces divergences de présentation des décisions du collège.

"L'objectif des décisions prises mercredi est de contraindre la France à se mettre en conformité", a expliqué un membre de la Commission sous couvert de l'anonymat.

Le gouvernement français s'est dit soulagé de ne pas être poursuivi pour discrimination.

Les groupes socialiste et Verts du Parlement européen ont salué la fermeté montrée par la Commission avec la décision de lancer une procédure d'infraction et lui ont demandé de ne pas céder sur les "présomptions de violations des directives anti-discrimination".

Source : AFP

À travers l'Europe, les partis populistes et xénophobes comptent désormais des députés dans quatorze Parlements nationaux.

Un séisme vient de frapper la Suède. Après les élections législatives du 19 septembre, des députés d’extrême droite vont, pour la première fois, siéger au Parlement de ce petit pays scandinave, inventeur de la social-démocratie moderne. Les Démocrates de Suède (SD) ont en effet remporté 5,7 % des suffrages et vingt sièges au Riksdag, tandis que le Parti social-démocrate enregistre son plus mauvais score depuis 1914. Leur leader, le peu charismatique Jimmie Akesson, a mené sans surprise une campagne anti-immigration fortement teintée d’islamophobie. « Bien sûr, tous les immigrants ne sont pas des criminels, estime-t-il, mais il y a une connexion. »

L’image de la Suède s’en trouve naturellement écornée, mais c’est l’arbre qui cache la forêt. La vérité est que peu de pays européens sont épargnés par cette poussée de l’extrême droite nationaliste. L’éclatement de la crise financière, en 2008, a entraîné des pertes d’emplois et l’adoption de mesures d’austérité qui ont indiscutablement favorisé le phénomène. « Mais les difficultés économiques ne suffisent pas à expliquer cette évolution, estime Jean-Dominique Giuliani, président de la Fondation Robert Schuman. La mondialisation a entraîné l’ouverture des frontières et provoqué des inquiétudes que le populisme transforme en réactions identitaires. » D’où un rejet croissant du multiculturalisme. Et, plus encore, de l’islam.

Outre la Suède, des députés d’extrême droite siègent dans les Parlements de treize pays européens : Italie, Belgique, Pays-Bas, Finlande, Lettonie, Lituanie, Slovaquie, Hongrie, Autriche, Slovénie, Bulgarie, Grèce et Danemark. En Italie, la Ligue du Nord, le principal allié de Silvio Berlusconi, participe même au gouvernement. L’un de ses membres, Roberto Maroni, est ministre de l’Intérieur. En France, le Front national ne compte aucun député en raison des particularités du système électoral, mais il reste un acteur majeur de la scène politique. En 2000, l’Autriche a été sanctionnée par l’Union européenne après l’entrée au gouvernement de représentants du FPÖ, le parti du très extrémiste Jörg Haider, aujourd’hui décédé.

Même quand elles ne parviennent pas à faire élire des députés, les formations d’extrême droite réussissent souvent à polluer le débat politique, les partis de la droite classique n’hésitant pas à reprendre à leur compte une partie du discours extrémiste.

29/09/2010

Source : Jeune Afrique

Le CFCM (Conseil français du culte musulman) proteste contre la tenue à l'Assemblée nationale d'un débat sur l'immigration et l'islamisme, organisé par le parti de la Droite Libre, dans un communiqué de président du CFCM Mohammed Moussaoui diffusé mercredi.

Ce débat, sur le thème "Immigration, islamisme, la France menacée ?", devait se tenir au siège de l'UMP mais aura finalement lieu jeudi à l'Assemblée nationale.

Le CFCM "s'étonne qu'un débat organisé par des personnalités connues pour leurs prises de position outrancières et caricaturales à l'égard de l'Islam et des musulmans puisse se tenir dans un lieu hautement symbolique, garant de l'égalité et de la fraternité entre les citoyens". Il "dénonce avec force l'amalgame inacceptable qui découle de cette association malheureuse et scandaleuse entre la religion musulmane et le débat sur l'immigration".

Le CFCM souhaite que le président de l'Assemblée Bernard Accoyer "annule la tenue de cette rencontre qui risque de donner lieu à des dérapages de la part de certains intervenants".

Le débat prévu à l'UMP devait initialement porter sur les retraites et il a été déprogrammé quand il est apparu que le thème avait changé, a expliqué le secrétaire général de l'UMP Xavier Bertrand à M. Moussaoui. Ce dernier souhaite que ce débat sur l'immigration ne mette pas "de nouveau la religion musulmane sur les bancs des accusés".

Sur son site, La Droite Libre se présente comme un mouvement "libéral-conservateur associé à l'UMP", ce que l'UMP nie.

La Droite Libre et Riposte Laïque s'étaient associés à la démarche anti-islam du Bloc Identitaire lorsque ce mouvement d'extrême droite avait voulu organiser un apéro-géant "saucisson-pinard" dans le quartier multi-ethnique de La Goutte d'Or (XVIIIe arrondissement parisien), le 18 juin dernier. Le rassemblement avait été interdit.

29 sept 2010

Source : La Croix/AFP

Le projet de loi sur l'immigration présenté par Eric Besson, dont l'examen à l'Assemblée nationale a débuté mardi 28 septembre, est le quatrième texte sur ce thème initié sous la conduite de Nicolas Sarkozy depuis 2003, en tant que président de la République ou ministre de l'intérieur.

Depuis presque une décennie, le chef de l'Etat a fait des questions d'immigration l'une de ses spécialités. Mais il s'inscrit également dans une tradition caractéristique de la droite de gouvernement depuis l'arrivée au pouvoir de Valéry Giscard d'Estaing en 1974.

Dans un contexte marqué par deux chocs pétroliers, une forte récession et un chômage de masse, Giscard et ses gouvernements ont été conduits à remettre en cause l'arrivée massive de travailleurs étrangers venant des anciennes colonies françaises. Sont alors mises en places mesures et lois destinées à réguler l'immigration (suspensions temporaires des immigrations de travailleurs et familiales, aides au retour volontaire, retours forcés...).

HARO SUR L'IMMIGRATION CLANDESTINE

Christian Bonnet, ministre de l'intérieur de 1977 à 1981, et Lionel Stoléru, secrétaire d'Etat chargé des travailleurs manuels et immigrés, sont les deux maîtres d'œuvre de cette politique. Ce dernier, invité en 1977 sur Antenne 2, justifie le coup d'arrêt porté à l'immigration, niant tout racisme et rejetant l'idée selon laquelle les Français ne seraient pas capables de "vider les poubelles chez soi".

Dans les années 80, les gouvernements de gauche s'emploient à casser ce mouvement et régularise des dizaines de milliers d'étrangers. Dans le même temps, la France assiste à la montée du Front national. Associant les thèmes de l'immigration, de l'insécurité et du chômage, il recueille 14,4 % des voix à la présidentielle de 1988. Avec la "marche des beurs" et l'émergence de l'association SOS-Racisme, le sujet prend une place de plus en plus importante.

Dans ce contexte, la droite, arrivée au gouvernement en 1986 et menée par le premier ministre Jacques Chirac, muscle son approche. Elle s'en prend alors principalement aux immigrés clandestins, une ligne qu'elle conserve jusqu'à aujourd'hui. La loi Pasqua de 1986 veut renforcer les procédures d'expulsion, tandis que, la même année, l'expulsion de 101 Maliens entrés illégalement domine l'actualité d'octobre.

"LE BRUIT ET L'ODEUR"

Lors du deuxième mandat de Mitterrand, le gouvernement de Michel Rocard veut reprendre les rênes. Pierre Joxe, ministre de l'intérieur socialiste, avait adouci en 1989 les procédures d'expulsion, en instaurant par exemple un recours juridictionnel contre les mesures de reconduite à la frontière.

Le RPR, de son côté, organise en 1990 des "états généraux de l'immigration", voulant cultiver une image ferme et décomplexée. Elle sera symbolisée par la célèbre et controversée déclaration de Jacques Chirac, qui évoque "le bruit et l'odeur" des immigrés, dans le souci de "sortir de la langue de bois habituelle au sujet des immigrés" et de ne pas laisser à Jean-Marie Le Pen "le monopole de ses thèmes".

Des propos qui ne terniront en rien l'image du maire de Paris. Bien au contraire : il gagne immédiatement cinq points d'opinions favorables. En 1993, à peine la droite revenue aux affaires, la loi Pasqua remet le couvert contre l'immigration clandestine et instaure la déchéance de nationalité.

La seconde loi Pasqua, puis la loi Debré en 1997, durcissent les conditions de séjours des étrangers, tout en renforçant les mesures répressives. Lorsqu'en 1997, Jean-Pierre Chevènement, ministre de l'intérieur du gouvernement Jospin, entreprend de présenter sa loi sur l'immigration, la gauche se divise et certains jugent la révision trop timide.

Sans surprise, l'opposition de droite se montre très critique. L'occasion, déjà, pour Nicolas Sarkozy, de mettre en garde contre "les appels d'air" que, selon lui, les régularisations généreraient.

Puis arrive 2002 et le tremblement de terre provoqué par l'arrivée de Jean-Marie Le Pen au second tour de la présidentielle. A nouveau au pouvoir, la droite, emmenée par Nicolas Sarkozy au ministère de l'intérieur, reprend les thématiques sécuritaires, et y associe la question de l'identité nationale. "Nous raccompagnerons chez eux deux fois

La même année, il assortit cette fermeté d'une loi relative "à la maîtrise de l’immigration et au séjour des étrangers", puis d'une loi en 2006 sur "l'immigration choisie". A l'approche de l'élection de 2007, il enfonce le clou, au risque, parfois, de déraper : "Personne n'est obligé, je répète, d'habiter en France, mais quand on habite en France, on respecte ses règles, c'est-à-dire qu'on n'est pas polygame, on ne pratique pas l'excision sur ses filles, on n'égorge pas le mouton dans son appartement et on respecte les règles républicaines." Cette déclaration du candidat de l'UMP, exposée sur un plateau de TF1 en février, est jugée raciste par l'une des participantes.

Quelques mois seulement après l'élection présidentielle, lors de laquelle le Front national est en net recul (11 % des suffrages), c'est une loi de Brice Hortefeux qui est votée, signe que Nicolas Sarkozy entend poursuivre dans la même voie. Une direction qu'il n'a jamais abandonnée. Dernier exemple en date : le désormais célèbre discours de Grenoble, dans lequel le chef de l'Etat établit un lien de causalité entre immigration et délinquance.

30/09/2010

Source : Le Monde

Le ministère chargé de la Communauté marocaine résidant à l'étranger organisera une conférence de presse, jeudi 30 septembre à Rabat, rapporte un communiqué de presse. Cette conférence sera l'occasion de présenter le bilan du Programme national d'accompagnement des Marocains résidant à l'étranger pendant la période estivale 2010.

A cette occasion, Mohamed Ameur, ministre chargé de la Communauté marocaine résidant à l'étranger, présentera également les programmes engagés par le ministère au profit des Marocains résidant à l'étranger.

Source : Aujourd’hui le Maroc du 29 septembre

En Espagne, ce qui était censé être des épreuves de concours d'accès au résidanat de médecine a tourné au cauchemar pour les étudiants marocains en médecine. Selon une nouvelle norme instaurée par le ministère de la Santé et de la politique sociale, seuls 10% des candidats étrangers auront accès à ce concours que doit réussir tout médecin généraliste désirant suivre une spécialité donnée…Suite

La semaine prochaine sur France 3, le Maroc sera à l’honneur, lors de l’émission « Des racines et des ailes », qui sera diffusée mercredi à 20h35 (heure de France). Vedettes de ce numéro « spécial Maroc », les villes de Fès et Casablanca que les téléspectateurs auront l’occasion de voir sous un autre angle…

Intitulé pour l’occasion « Le goût du Maroc de Fès à Casablanca », l’émission nous analyse un Maroc à cheval entre tradition et modernité, à travers deux villes à l’image forte. Il sera question de confronter les profils de Fès, la vieille dame au voile sacré, et Casablanca la moderne. Il s'agira surtout de porter un regard plus attentif sur l’architecture caractéristique de ces deux villes.

A Fès, l’équipe de reporters nous amène à la découverte de la plus ancienne médina du Royaume, qui semble s’ouvrir peu à peu sur l’extérieur, après des siècles repliée sur elle-même. Les caméras ont accompagné Laïla Skali, architecte originaire de la capitale spirituelle. Avec elle on découvrira les trésors cachés de la vieille médina : ses jolies bâtisse et aussi ses ateliers d’artisans.

A Casablanca, l’histoire de l’architecture de la capitale économique sera contée par Monique Eleb, professeur d’architecture à Paris, née à Casablanca. On découvrira ainsi comment l’héritage européen a fusionné avec les influences locales.

Tel est donc le menu que proposera France 3, le mercredi 6 octobre à 20h 35 (heure de France, 18h35 heure du Maroc). Avis aux passionnés d’architecture. Plus d’information sur l’émission, disponibles sur le site de la chaîne.

Source : Yabiladi

Le jeune milieu de terrain belgo-hispano-marocain Mehdi Carcela-Gonzales, qui évolue au Standard de Liège (D1/Bel), a finalement opté pour le maillot de l'équipe du Maroc, apprend-on, lundi à Bruxelles, d'une source de la Fédération royale marocaine de football (FRMF).

"Mehdi Carcela a opté pour l'équipe nationale de football du Maroc et le choix du talentueux milieu de terrain sera officiellement annoncé dès finalisation de la procédure par la FIFA", a confié à la MAP Noureddine Moukrim, fraîchement nommé coordinateur auprès de la FRMF, chargé de la prospection des jeunes joueurs marocains en Belgique et aux Pays-Bas.

"Le dossier de Mehdi Carcella est actuellement soumis à la FIFA. Il s'agit de simples formalités, le joueur ayant déjà signé un document dans lequel il exprime son choix de jouer pour le Onze marocain", a affirmé M. Moukrim.

Selon la même source, Mehdi Carcela n'a jamais fait de déclaration officielle ni exprimé son souhait de porter le maillot de la sélection belge.

"Il avait demandé un délai pour régler certaines questions administratives. Son choix a toujours été de faire partie du Onze national marocain", a-t-il souligné.

Le joueur du Standard de Liège possède la triple nationalité maroco-belgo-espagnole, sa mère étant marocaine.

Révélation du championnat belge, le jeune joueur de 21 ans avait été convoqué à plusieurs reprises en équipe nationale belge mais avait décliné l'offre.

Milieu de terrain, il peut également évoluer sur le flanc gauche ou en attaque. Il a signé à 19 ans un contrat professionnel de 4 ans avec le Standard.

29 Septembre 2010

Source : Libération.ma

Le Sénégal est le meilleurs accès aux marchés de l'Afrique de l'ouest, plusieurs acteurs économiques marocains au Sénégal ont compris l'importance pour leurs activités du tissu associatif et des compétences marocaines installées dans ce pays ami où l'apport marocain axé historiquement sur le commerce, se diversifie pour s'orienter vers les services et l'industrie. Un réseau des Compétences marocaines au Sénégal, annoncé en mars dernier, devait déboucher sur un Club.

Comment s'organise l'immigration marocaine au Sénégal plus ancienne que celle en Europe? Quel est le rôle du Conseil National des Marocain au Sénégal qui regroupe plusieurs associations? Des questions que notre équipe a posé à Monsieur Sidi Mohamed FARSI son président. Notre invité est également membre du CCME et directeur de l’Ecole Doctorale des Télécommunications de l’Université de Dakar, professeur titulaire à l’école supérieure polytechnique de Dakar, et Directeur du Laboratoire de recherche en Imagerie Médicale et Bio Informatique…Suite

Le Maroc est passé d’un pays de transit à un pays d’accueil pour les migrants subsahariens selon les résultats préliminaires d’une étude sociologique rendue publique lundi à Rabat. D’après la même étude, conduite par le Centre Jacques Berque pour le développement des sciences humaines et sociales au Maroc et l’ONG italienne Coopération internationale sud-sud (CISS), le choix de rester au Maroc est une conséquence du développement économique que connait le Royaume. Toutefois, d’autres raisons pousseraient les migrants à s’établir au Maroc, malgré eux-mêmes.

Le Royaume du Maroc n'est plus comme il l’était jadis, uniquement un pays émetteur d'immigrés. Le Maroc est depuis plus de deux décennies, une terre d’accueil pour les étudiants subsahariens. Aujourd’hui, il y a quelques 7000 étudiants subsahariens inscrits dans écoles supérieures marocaines.

Mais aussi depuis des années, le Maroc est perçu par d’autres Subsahariens comme une porte donnant accès à l’eldorado européen. Nombreux sont ceux qui ont tenté l’aventure – surtout les hommes – pour essayer de rejoindre le Vieux contient à travers le Maroc. Le désir initial d’aller en Europe est laissé souvent de côté au profit d’un établissement au Maroc. Au final, ils sont nombreux à choisir la terre marocaine, en attente d’un passage illusoire vers le Vieux continent.

L’étude sur les « droits des immigrés et l'altérité culturelle », a indiqué que leur « séjour permanent » au Maroc est lié le plus souvent à la pratique d’emplois et de petits métiers, dont les Marocains ne veulent pas, ou ne pratiquent pas à grande échelle. Ainsi, il n’est pas rare de croiser des porteurs ou des vendeurs ambulants aux alentours des marchés. Selon les chercheurs, l’entretien d’une relation avec des Marocaines victimes d’exclusion sociale, comme les femmes divorcées ou les mères célibataires, est aussi une raison pour ces migrants de résider au Maroc.

Toutefois, à côté de ces exemples mineurs, la difficulté d’accès à l’Europe est également un motif obligeant les migrants à se sédentariser au Maroc. La crise économique qui a frappé l’Espagne, principale porte d’entrée de l’Europe via le Maroc, a eu des répercussions sur la politique migratoire de ce pays. De plus, les frontières du sud de l’Europe, notamment celles de l’Espagne, sont de plus en plus difficiles à franchir. Du coup, beaucoup de Subsahariens se sont retrouvés « coincés » au Maroc : impossible de traverser la Méditerranée ou de faire marche arrière et retourner dans leur pays d’origine.  Ils n’ont plus d’alternative à part plonger dans la mendicité, triste réalité quotidienne de centaines de migrants subsahariens au Maroc.

Le directeur du Centre Jacques Berque, Michel Peraldi a déclaré que la transformation du Maroc en un pays d’accueil,  exige une réflexion sur la situation de ces immigrants clandestins, dont personne ne connait le nombre, faute de statistiques officielles. Conscient de ce vide, le Haut commissariat des Nations Unies pour les refugiés (HCR) en collaboration avec la Fondation Orient Occident (FOO) et le soutien des Coopérations suisse, néerlandaise et suédoise, a décidé dès 2007 de la création d'un centre d'accueil pour réfugiés. Ce centre inauguré en juin dernier à Rabat qui est le premier du genre au Maghreb, a été cofinancé essentiellement par la Coopération suisse et la Fondation de la Commission espagnole pour le soutient du réfugié (CEAR).

29/09/2010

Source : Yabiladi

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