dimanche 24 novembre 2024 10:47

SIEL 2024: Plannigramme

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L'accès au site du ministère canadien de l'Immigration a progressivement ralenti mardi soir à mesure que le candidat républicain Donald Trump emportait des Etats clés avant d'être inaccessible quand il s'approchait de la barre des 270 grands électeurs, synonyme de victoire.

Depuis fort longtemps on assiste à l’absence de grands leaders africains tel que le regretté souverain feu Mohamed V, Jamal Abdel Nasser et Nelson Mandela.  Voici que l’Afrique accueille aujourd’hui Sa Majesté Mohammed VI, comme un nouveau leader qui porte les espoirs des peuples et leurs rêves d’un futur meilleur. Il avance pour défendre leurs intérêts, dans une ère où l’Afrique est sur le point de se résigner à son sort empreint de soumissions, des répercussions des guerres civiles, des changements climatiques, des exodes massifs et les départs du continent noir vers le Nord loin de la soif, la faim, les violences et le terrorisme.    

Un leader qui a eu la confiance des peuples de l’Afrique avant ses gouvernants, préoccupé par le souci du développement du continent africain et qui s’enquiert, lors de ses visites, de ses villes, ses villages et ses jungles. C’est pour cela que le discours du 41e anniversaire de la marche verte, prononcé depuis Dakar, capitale du Sénégal, consacre dans sa première partie un précédent historique pour les Rois du Maroc ; et témoigne, dans sa deuxième, de l’amitié et de la fraternité pour le Sénégal. Le discours depuis Dakar ne devrait pas susciter l’exclamation, au contraire, si l’on considère la position historique du Sénégal vis-à-vis du Maroc et le soutien indéfectible dans ses causes justes, notamment la question de la souveraineté du Royaume. Quand le Maroc avait quitté l’Union Africaine en 1984, l’ancien Président Abdou Diouf avait même déclaré qu’ « il n’est pas possible d’imaginer l’organisation sans le Maroc … ».

Si le discours de la marche verte de 2015 avait été prononcé depuis Laayoune, capitale des provinces du sud, qui incarne les fondements de la stabilité, l’attachement de leurs enfants à leur marocanité et à leur système politique, et se distingue par son potentiel à devenir un axe de coopération économique reliant le Maroc à ses racines africaines ; le discours de la marche verte  de 2016 a, pour sa part, été prononcé depuis un pays frère, lié historiquement et spirituellement au Royaume et considéré parmi les Etats démocratiques de l’Afrique. Un pays qui respecte les institutions constitutionnelles et les urnes, qui jouit également d’une stabilité politique et sociale remarquable dans la région ; et non pas pays de coups d’état. Le Président Macky Sall considère le discours depuis Dakar comme un évènement historique, car Sa Majesté le Roi a voulu s’adresser à l’Afrique et aux Africains.

Dans le discours du 6 novembre 2016, Sa Majesté le Roi a utilisé un langage direct, dont les objectifs, à la dimension africaine, peuvent être facilement assimilés. Ceci justifie la référence faite à la carte africaine, qui porte plusieurs messages directs : le Maroc est un composant africain, le futur du Maroc est dans l’Afrique et le futur de l’Afrique dans le Maroc.

Confrontée depuis plusieurs mois à un flux migratoire massif en Méditerranée orientale et à la difficulté d’y répondre, l’Union européenne a signé avec la Turquie, dans l’urgence, l’accord du 18 mars 2016 que nous avions qualifié dans notre numéro d’avril « d’accord de la honte » en raison des échanges de populations qu’il organisait. La signature de cet accord a suscité polémiques et inquiétudes, liées à la crainte d’une remise en cause du droit d’asile et aux concessions faites à une Turquie en position de force. Sept mois après son entrée en vigueur, quel bilan peut-on dresser de cet accord ?

Aux yeux du monde, cette commune populaire de Bruxelles devient instantanément le "terreau du jihadisme", au grand dam  de ses habitants, dont une bonne partie est originaire du Maroc.

Une affiche électorale d’extrême-droite apposée sur un panneau électoral genevois concerne la campagne sur une initiative « Pour sortir du nucléaire » soumise au vote le 27 novembre prochain. Mais elle ne nous parle pas de politique énergétique. Elle appelle surtout à « tirer la prise de l’immigration ».

Le commissaire aux droits de l'homme du Conseil de l'Europe, Nils Muiznieks, s'est inquiété lundi de la violence avec laquelle la presse populaire britannique et une partie de la classe politique ont accueilli la décision de la Haute Cour de donner au Parlement britannique un droit de vote sur le Brexit.

La Commission européenne et le Réseau de sensibilisation à la radicalisation (RSR) organisent, ce mercredi à Bruxelles, la 3-ème Conférence de haut niveau sur la radicalisation, un phénomène qui suscite de fortes inquiétudes au sein de l’UE.

La justice allemande a annoncé lundi l'ouverture d'une enquête visant le patron de Facebook après le dépôt d'une plainte pour "incitation à la haine", alors que le réseau social est régulièrement accusé en Allemagne d'être trop tolérant vis-à-vis des contenus racistes.

Alors que les dirigeants mondiaux se donnent rendez-vous à Marrakech pour leur grand-messe (COP22), les attentes sont d’autant plus fortes que les Nations unies insistent sur le besoin de placer les droits de l’Homme au cœur de la feuille de route climatique.

Il est enfin possible de récupérer une carte de résidence pour les titulaires de la carte RETRAITÉ, depuis ce 1er novembre 2016. Les chibanis, et tous les retraités étrangers, peuvent maintenant recouvrer leur plein droit d’assuré à la sécurité sociale et couverture sociale dans leur globalité. Retour sur une carte de retraité ‘paradoxale’.

L'autorisation de sortie du territoire (AST) d'un mineur non accompagné par un titulaire de l'autorité parentale sera rétablie à partir du 15 janvier 2017. Le décret publié en ce sens au Journal officiel du 4 novembre 2016 fait suite à l'article 49 de la loi du 3 juin 2016…Suite

Le renforcement des relations entre le Maroc et le Canada a été au centre d'une rencontre, tenue récemment au Parlement fédéral à Ottawa, entre un comité de la Communauté juive marocaine de Toronto (CJMT), présidé par Simon Keslassy, et le Premier ministre canadien Justin Trudeau.

L'Arabie saoudite paiera d'ici décembre l'argent qu'elle doit à des compagnies privées et qu'elle avait tardé à leur verser en raison de la chute des recettes pétrolières, a annoncé lundi un comité présidé par le vice-prince héritier.

Le Premier ministre hongrois Viktor Orban poursuit sa bataille contre Bruxelles en demandant mardi au parlement d'inscrire sa politique hostile aux demandeurs d'asile dans la Constitution, mais il pourrait être mis en difficulté dans ce vote qui exige une majorité renforcée.

Les autorités italiennes ont annoncé que près de 3 000 migrants et réfugiés secourus en mer Méditerranée ont débarqué lundi dans divers ports du sud du pays.

La "jungle" de Calais illustre toutes les difficultés des Etats à contrôler ces flux de migration croissants.

Après "Illuminations" qui réunissait en un spectacle des jeunes hommes issus de l'immigration, le metteur en scène qui a fait ses débuts, autrefois, au Val Fourré, a choisi dix jeunes femmes, de 18 à 28 ans. L'une après l'autre, elles racontent leurs vies, exposent leurs points de vue. C'est "F(l)ammes. A la Poudrerie de Sevran, avant une longue tournée.

Sur fond de migration clandestine, « The Last of Us » [آخر واحد فينا ]brouille les cartes du réel et de la fiction. Il dessine en creux la rupture du contrat social, en ramenant l’ordre des existences à la loi du plus fort. Mais en plongeant son protagoniste dans un état de nature où l’homme serait un loup pour l’homme, Ala Eddine Slim ramène la politique à sa fable la plus originaire. Et c’est par là qu’il nous fait franchir le seuil d’une véritable expérience sensorielle. « The Last of Us » est en lice pour le prix de la première oeuvre de la 27ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage.

La Ville de Paris aimerait voir le cycle des évacuations suivies de réinstallations prendre fin. Le dispositif prévu sera-t-il suffisant ?

Invasion des catholiques irlandais, machination des juifs au sommet de l'État, infiltration des bolcheviks venus de l'Est... La peur de l'étranger n'a jamais quitté le débat politique dans la patrie de l'Oncle Sam.

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