Est une féministe Belgo-sénégalaise, juriste internationale et experte en droit du développement.
Panafricaniste et citoyenne du monde convaincue, elle travaille depuis une décennie sur les questions de justice, droits humains, genre et développement en Afrique, en Europe, en Asie, dans le Pacifique et le monde. Elle a occupé les fonctions de juriste et responsable des questions de genre et de droits des femmes au PNUD, à l’ONU FEMMES, la Commission de L’Union Africaine et le Tribunal pénal international pour le Rwanda. Diakhoumba Gassama est détentrice d’un Master en droit international des droits humains de l’Université du Western Cape au Cap en Afrique du Sud et d’une maitrise en droit international et européen de l’Université d’Aix-Marseille III en France.
Docteur d’Etat es-sciences, directeur de l’Ecole Doctorale des Télécommunications de l’Université de Dakar.
Professeur titulaire à l’école supérieure polytechnique de Dakar, président du Conseil National des Marocains au Sénégal (CNMS) et Directeur du Laboratoire de recherche en Imagerie Médicale et Bio Informatique. Il est membre du CCME.
Docteur en droit de l’université Mohamed V Agdal Rabat en droit international privé et droit de la famille.
Après avoir préparé un diplôme des études supérieures approfondies en management politique et social, Ouafa Essalhi a soutenu une thèse sur l’Application du Code marocain de la famille sur le sol européen, oublié en 2014 dans la collections du CCME.
Docteur en anthropologie de l’Université catholique de Louvain (UCL) en Belgique. Sa thèse doctorale porte sur les constructions identitaires d’artistes musulmans en contexte européen.
Diplômé en judaïsme, en philologie et en histoire orientale, cet agrégé d’arabe est aujourd’hui enseignant-chercheur à Sciences-Po Rabat (UIR) et chercheur-associé au Centre Jacques Berque. Il est membre du comité de direction du CISMOC (Centre interdisciplinaire d’études de l’islam dans le monde contemporain), du comité international du Master en Sociologie de l’islam européen de l’Université de Padoue (Italie), co-fondateur de la Yeshivah Madrasa, une maison d’étude portant sur l’étude des sources scripturaires juives et musulmanes, directeur du projet culturel Art&TIC et directeur-fondateur d’EmridNetwork (European Muslim Research on Islamic Development). Farid El Asri vient de co-éditer Islam belge au pluriel, Presses Universitaires de Louvain, 2012. Son ouvrage, Islam en musique, constructions identitaires d’artistes musulmans européens, paraîtra prochainement aux PUL.
Née en 1982 à Rabat, est artiste photographe, écrivain et productrice
Elle entame tôt son parcours s’études supérieurs en Amérique du nord puis en Europe, et développe à travers ses multiples voyages sa fibre artistique. Elle réalise pour le compte du Programme Alimentaire Mondial des Nations Unies une série de reportages photographiques en Haïti, au Mozambique et en Mauritanie. Nezha Alaoui est par ailleurs vice-présidente de l’ONG « World memory film project » pour la prévention du génocide et de la xénophobie, soutenue par l’ONU et d’importantes stars hollywoodiennes. Elle est aussi directrice fondatrice de Mayshad Art, entreprise d’édition, de production artistique, audiovisuel et d’événementiel.
Président du Conseil National de Sécurité(CNS).
François Banga Eboumi était ambassadeur du Gabon en France, puis en Espagne avant de devenir conseiller personnel de feu Omar Bongo dans les années 90. François banga Eboumi a été ambassadeur du Gabon au Maroc de 2004 à 2012.
Est diplômé en droit, islamologie et docteur en sciences politiques. Il est directeur de recherche au CNRS et, depuis septembre 2010, directeur du Centre Jacques-Berque pour les sciences humaines et sociales à Rabat (Maroc).
Il est aussi professeur invité aux universités de Strasbourg et de Louvain, et enseignant à l’EHESS. Ses travaux se sont concentrés sur la sociologie et l’anthropologie du droit, particulièrement dans les pays du Proche-Orient arabe. Actuellement, ses recherches consistent en une approche des questions de vérité dans différents contextes arabophones, y compris les tribunaux et parlements, la psychiatrie, les médias et l’éducation religieuse. Il a dirigé de nombreux ouvrages collectifs, dont La Chari a aujourd’ hui (La Découverte, 2011) et Ethnographies of Islam (Edinburgh University Press, 2012). Parmi ses livres, on peut citer Le Jugement en action (Droz, 2006), Practi ces of Truth (Benjamins, 2011), Délibérer sous la coupole: L’ activité parlementaire dans les régimes autoritaires (Presses de l’IFPO, 2013).
Journaliste et producteur, Daniel Desesquelle est un passionné de la radio. Après un passage en tant que professeur d’économie au lycée français de Lisbonne, il intègre en 1983 radio France 3 à Amiens, qui venait alors de se créer.
Il se forme sur le tas, et intègre trois ans plus tard RFI. Spécialiste des questions de défense, Daniel Desesquelle enquête pendant dix ans sur le commerce des armes, anime des conférences sur le désarmement, et couvre plusieurs conflits en Afrique, dans le Golfe et en Yougoslavie. Il suivra aussi la dislocation du bloc soviétique, en partant en reportage en Allemagne, en Roumanie, en Tchécoslovaquie... Spécialiste de l’Europe, il se retrouve ainsi aux commandes de « Carrefour de l’Europe » en 2007, une émission hebdomadaire sur l’actualité de l’Europe sur Radio France internationale (RFI)
Sociologue, née en 1975 à Rabat, vit en Grande-Bretagne depuis 1999. Titulaire d’un master de la London School of Economics and Political Sciences et d’un doctorat de l’Université de Sussex consacré au capital social et à l’insertion des Marocains à Londres, elle a travaillé plusieurs années comme consultante et chercheuse dans le cadre de programmes européens sur l’intégration des minorités ethniques.
Coordinatrice de projet pour le Migrant and Refugee Communities Forum, elle a réalisé un projet d’histoire orale de la diaspora marocaine au Royaume Uni intitulé Moroccan Memories in Britain, exposé au Maroc durant l’automne 2009 (Tanger, Rabat, Essaouira). Myriam CHERTI est actuellement chercheur associée à l’Institute for Public Policy Research à Londres, et collabore également aux travaux du Sussex Centre for Migration Research et de l’Open Society Institute. Myriam CHERTI est
l’Auteur de Paradoxes of Social Capital: a Multi-Generational Study of Moroccans in London (Amsterdam University Press, 2008).
Est actuellement Professeur d’Histoire et d’Anthropologie Politique à l’Institut des Etudes Africaines, Université Mohammed V - Souissi Rabat, Maroc. En tant qu’enseignant, chercheur, Dr. Chegraoui avait servi au département d’histoire de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines - Saïs de l’Université Sidi Mohammed Ben Abdallah, à Fès, «Maroc»., membre du bureau de l’Association marocaine pour la recherche historique 2007-2013, et membre du Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique.
Il a mené des recherches sur l’histoire, l’Anthropologie politique de l’Afrique du nord, de l’Afrique sub-saharienne, l’islam politique. Actuellement, il est coordonateur d’un groupe de recherche sur l’Afrique : espaces géostatiques et civilisations. Travaux récemment publiés: Etat et Islam en Afrique de l’Ouest; Routes commerciales : Caravanes transsahariennes entre le Maghreb et le Soudan; les Ottomans dans l’historiographie traditionnelle marocaine; L’Odyssée d’El- Hadjj Umar au Moyen-Orient ou le rapport au pouvoir politique et idéologique ; Religion et ethnocentrisme au Maghreb ; Monarchie et islam politique au Maroc, de Mohammed Tozy (traduction à l’arabe en collaboration avec Mohammed Hatmi).Il a participé, en tant que visiting professor en Avril 2008 au programme : Contexte culturel «L’Islam: L’expérience marocaine», au Maricopa Community Colleges, Phoenix en Arizona USA. Consultant en affaires africaines pour des organismes nationaux et internationaux, médias marocains et étrangers.
Est né en 1990 en Italie, dans la région de Trévise. Il a grandi dans le nord de l’Italie ou il a commencé des études à l’institut technique professionnel.
Depuis l’age de 15 ans, Said Chaibi a commencé à travailler dans le domaine, notamment dans des associations
représentant les immigrés. Il a ensuite intégré le parti politique Gauche, écologie et liberté (Sinista Ecologia Liberta). Il défend les droits économiques entre les autochntones et les immigrants. Aujourd’ hui, Said Chaibi est le premier conseiller d’origine étrangère de la ville de Trévise.
Historien, a soutenu en 1991 une thèse de doctorat sur les relations dans le bassin méditerranéen au XIIIème siècle.
Président en 1993 de l’association de la mosquée de Strasbourg, on lui doit la construction de la Grande mosquée, premier lieu conçu dès l’origine pour le culte musulman dans cette ville. Expert de la Commission européenne (Programme « Une âme pour l’Europe », 1997-2003), il a présidé la commission formation du Conseil français du culte musulman (CFCM) et a été élu vice-président du conseil en 2005. En 2006, il rejoint l’Institut d’Etudes Islamiques de Bruxelles où il a fondé le Centre euro- islamique pour la culture et le dialogue, qu’il dirige (Charleroi, Belgique). Abdellah BOUSSOUF a été nommé Secrétaire général du Conseil de la
communauté marocaine à l’étranger en 2007.
(1976) est né au Maroc. Aux Pays-Bas, étudie la gestion Internationale à l’Ecole Supérieure de Haarlem.
En France, il poursuit ses études à l’Ecole Supérieure d’Angers et s’oriente vers les Médias en se spécialisant dans la gestion et la Commercialisation. Il obtient son diplôme en Média et Management.De retour aux Pays-Bas, Bouzia entame sa carrière professionnelle en travaillant dans diverses stations de radio et chaînes de TV... Il travaille pour NPS en tant que rédacteur / journaliste. A Radio colourful, il est développeur de programme, à Radio Haarlem 105, rédacteur en chef... Puis, éditeur et coordinateur pour les programmes de radio NIO...Bouzia est actuellement journaliste indépendant, réalisateur, rédacteur de la radiodiffusion NTR . Il est également professeur d’économie.
Président du Centre de la mémoire commune pour la démocratie et la paix, diplômé de l’université de Nantes, spécialité Déontologie et Droits de l’homme.
Expert national et international dans le domaine de la justice transitionnelle, ancien membre au sein de la commission nationale pour la préparation du plan national pour la déclaration des droit de l’homme, membre également de la commission de la préparation de la plateforme citoyenne pour la promotion de la culture des droits de l’homme. Boutaib a largement œuvré dans le processus de l’équité et la réconciliation initié au Maroc, ainsi qu’au traitement des questions politiques et des droits de l’homme non résolues entre le Maroc et son environnement géopolitique. Il s’intéresse notamment aux questions de l’ancrage et de la culture des droits de l’homme, de la mémoire collective et de la mémoire commune. Il est également expert dans les relations maroco-espagnoles.
Né à Tantan, titulaire d’un Doctorat de l’université Aix-Marseille (1997) et un DEA de l’université de la Sorbonne, à Paris.
Professeur Boubrik a enseigné à l’université d’Agadir et de Kénitra de 2000 à 2011 puis au département de sociologie à l’université Mohamed V, Agdal, Rabat. Il est directeur du Centre des études sahariennes (université Mohamed V, Agdal, Rabat) depuis 2013. Il est également conseiller auprès du Président du CNDH. M. Boubrik est l’auteur d’un nombre considérable d’ouvrages.
Doctorat en Histoire, donne cours “d’Histoire Economique” à l’Université de Las Palmas de Gran Canaria. Il est Professeur titulaire d’Université (Histoire Economique).
Ses lignes de recherche se centrent, entre autres, sur l’activité portuaire, l’émigration et l’entreprise. Chercheur principal dans les projets de recherche («Les ports et la configuration du tissu commercial dans les villes atlantiques (XIXème et XXème siècles»); « Modelos de Gestión de Puertos y la Comunidad Portuaria en el ámbito atlántico (siglos XIX y XX)”. Il a publié divers articles et livres sur les Canaries comme entité atlantique : agriculture, ports, migrations, il a coordonné les sessions lors de conférences internationales, et donné des conférences sur ces sujets. Il est l’auteur et l’éditeur de l’ouvrage collectif “Atlantic Ports and the First Globalisation, c. 1850-1930”.
Chercheur associé à l’Observatoire du religieux (IEP d’Aix en Provence) et conférencier.
Il enseigne notamment à l’Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence et à la Faculté Théologique Protestante de Paris, ses travaux portent sur l’herméneutique coranique contemporaine : il utilise les outils des sciences humaines pour analyser, expliquer, interpréter le Coran. En 2004, il a publié « Les nouveaux penseurs de l’islam », Éditions Albin-Michel, Paris, dans lequel sont présentés plusieurs intellectuels musulmans qui ont fait le choix d’approcher d’une manière nouvelle l’islam et ses textes fondateurs. En 2013, il publie « Le Coran expliqué aux jeunes » aux éditions du Seuil. Un livre sous forme de conversation et sans tabous, qui aborde toutes les questions concernant le Coran. Originaire du Maroc, Rachid Benzine vit en région parisienne depuis plus de trente ans. Il est membre du CCME.
Mohammed BENZAKOUR, poète et écrivain.
Il écrit régulièrement pour un certain nombre de grands journaux aux Pays- Bas, publie des opinions sur les questions relatives au multiculturalisme et à la diversité religieuse. Il a publié son premier livre en 2004, sur un combattant belge d’origine libanaise «Abu Gehgeh : Est-il un guide ou un imposteur ?». En 2005, il publie son deuxième livre «La caverne de Ben Laden», où il a rassemblé ses articles et réflexions sur la ligne d’intersection entre les deux cultures. En 2008, son recueil de nouvelles a paru sous le titre «chirurgiens répugnants». En 2013, il publie son roman «Yemma», une biographie de sa mère, qui a été transférée dans une clinique de soins infirmiers après son AVC, qui lui a causé une paralysie totale. Le livre un témoignage d’une année entière dans la clinique et les difficultés rencontrées par le patient ou sa famille. Mohammed
BENZAKOUR A obtenu un certain nombre de prix littéraires.
Est une femme politique ivoirienne, elle l’actuelle Ministre de la communication au Côté d’Ivoire depuis le 22 Novembre 2012.
Affoussiata Bamba Lamine est avocate inscrite au Barreau de Paris et titulaire d’un doctorat en droit européen des affaires comparées à l’Université Nancy II. Elle a été, de 2002 à 2005, conseillère juridique du Ministre d’Etat, Ministre de la Communication avant d’assurer le poste de directeur de cabinet adjoint en Charge des affaires juridiques, administratives et institutionnelles du Secrétaire Général des Forces Nouvelles. En 2012, Affoussiata Bamba Lamine est élue à l’assemblée nationale de la Côte d’Ivoire et préside la Commission des affaires générales et Institutionnelles. Affoussiata Bamba Lamine est membre du Comité d’évaluation et d’accompagnement de l’accord politique d’Ouagadougou (CEA) et Chevalier de l’ordre National du mérite de Côte d’ Ivoire
Professeur d’Histoire Contemporaine à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de Meknès (Université Moulay Ismail- Meknès).
Spécialiste des relations hispano-marocaines à l’époque contemporaine. Ses travaux de recherche portent essentiellement sur la présence espagnole dans le Rif. Auteur d’un ouvrage portant sur la société rifaine face au protectorat espagnol au Maroc (1912-1956). Il a également publié une vingtaine d’articles traitant différents aspects de l’histoire du Rif à l’époque coloniale.
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